Bains, bulles et beautés

Exposition à Grasse

Le pôle Pharmacie attire votre attention sur une exposition actuellement en cours au musée international de la Parfumerie (Grasse) – pour ceux de nos lecteurs qui vont passer leurs vacances dans le Sud :

« Bains, bulles et beautés »

Elle est consacrée aux pratiques du bain et de la toilette en Occident du 18e siècle à nos jours. Les collections du musée (affiches, objets, mobilier, savons…) sont complétées pour l’occasion par des prêts institutionnels ou privés.

Vous pouvez la visiter jusqu’au 30 septembre 2014.

En savoir plus

Le site de l’exposition

Le dossier de presse

– Le catalogue de l’exposition est disponible au pôle Pharmacie en salle Dorveaux : cote 613.410 9 MIP ; inventaire 120320. Il comprend notamment une contribution du docteur Philippe Brenot, psychiatre et anthropologue, directeur des enseignements de sexologie et de sexualité humaine à l’Université Paris Descartes. Philippe Brenot avait dirigé en 2013 l’ouvrage collectif : Le parfum et l’amour, éditions L’Esprit du temps, avec la participation de dix spécialistes de diverses disciplines (biologie, anthropologie, philosophie, etc.). Cote BIU Santé Pharmacie 391.63 BRE ; inv. 215892.

Contribution à l’histoire des parfums dans la ville de Grasse / Pascale Alibert ; sous la direction de J. Julien, [S.l.] , [s.n.],1990. Cote BIU Santé Pharmacie TPHA 12903.

Le bain et le miroir : soins du corps et cosmétiques de l’Antiquité à la Renaissance : [exposition, Paris, Musée de Cluny, Ecouen, Musée national de la Renaissance, 20 mai – 21 septembre 2009 / [catalogue sous la direction d’Isabelle Bardiès-Fronty, Michèle Bimbenet-Privat et Philippe Walter], Paris. Cote BIU Santé Pharmacie 646.72 BAI.

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Armées, Guerres… Santé, Mort

Exposition à la bibliothèque de Châtenay

Il ne vous reste que quelques jours (jusqu’au 25 juin) pour aller découvrir l’exposition « Armées, Guerres… Santé, Mort » (musée Albarelle, musée d’histoire du médicament, de la pharmacie et de la santé, BU Châtenay-Malabry, université Paris-Sud).

Cette manifestation est consacrée aux services de santé des armées, aux hôpitaux militaires, aux blessés et aux morts pour cause de guerre.

La BIU Santé a prêté un certain nombre de documents pour cette présentation :

* H. Ravaton.- Chirurgien d’armée ou traité des plaies d’armes à feu…- Paris, 1768 (30691)

* L. Legouest.- Traité de chirurgie d’armée.- Paris, 1863 (30719)

* J. Dardignac.- Considération clinique des plaies de la face par arme à feu.- Thèse médecine Paris. 1871 n°220 (Paris 1871 n°220)

* E. Revolat.- Nouvelle hygiène militaire.- Lyon, 1803 (33023)

* R. Desgenettes.- Histoire médicale de l’armée d’Orient.- Paris, 1802 (36664)

* Souvenirs d’un ambulancier,… carnet de croquis du peintre Alfred Auteroche.- St-Étienne, 2008 (193948)

* Des Cilleuls.- Le Service de santé militaire des origines à nos jours.- Paris, 1961 (147591)

À la mémoire des médecins, pharmaciens et étudiants morts pour la patrie 1914-1918.- Paris, 1920 (27017)

* Image CISC0190 Ambulance du Théâtre Français, 1870 (voir aussi dans l’escalier menant au pôle Médecine de la bibliothèque !)

* Image CISA1033 Aux Dardanelles… 1914-15

En savoir plus

Le site officiel de l’exposition

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Charcot, une vie avec l’image

Du 14 mai au 8 juillet se tient à Paris à la chapelle Saint-Louis de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière l’exposition « Charcot, une vie avec l’image ».

Crédits : Ernest Pignon-Ernest / Laurence Dentinger GHPS/AP-HP

La BIU Santé est partenaire de cette exposition pour laquelle elle a prêté cinq documents dont trois ouvrages de Jean Martin Charcot :

Charcot / P. Richer. Les démoniaques dans l’art, 1887 (cote 21727)

Charcot. Les difformes et les malades dans l’art, 1889 (cote 8884)

Charcot. La foi qui guérit, 1897 (cote 50209)

H. Meige. Les possédées noires, 1894 (cote 51888-2)

Portrait de Freud en 1891, in Studies on hysteria, 1957 (167501-2)

Cette exposition est organisée par le Pr. David Cohen et le docteur Catherine Bouchara, du service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent de la Pitié-Salpêtrière, avec une scénographie signée Philippe Pumain.

Elle s’attache à montrer le lien étroit qui existe entre art et science dans la vie et l’œuvre de Jean-Martin Charcot, à travers notamment une sélection des nombreux dessins qu’il réalisa au cours de ses observations, des photographies de patients et des montages audiovisuels thématiques. Une partie de l’exposition est consacrée aux prolongements actuels de la pensée en images de Charcot. Des réalisations d’artistes contemporains faisant écho à son œuvre ainsi que des travaux de patients viennent compléter l’ensemble.

Crédit : Laurence Dentinger GHPS/AP-HP

Cette exposition s’inscrit dans la continuité de l’ouvrage publié par Catherine Bouchara en 2013 (Charcot, une vie avec l’image, Paris : Éditions Philippe Rey, 2013 [cote BIU Santé : 273926]).

Charcot à la BIU Santé

Retrouvez Jean-Martin Charcot dans les collections numériques de la BIU Santé en cliquant ici.

En savoir plus

Le site de l’exposition ;

Description de l’exposition sur le site de l’AP-HP ;

Estelle Lambert

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Des crânes au musée

Une exposition consacrée au chirurgien Paul Tessier (1917-2008)

L’exposition « Crânes concrets, avant-projet d’un solid museum Paul Tessier » vient de s’ouvrir au musée d’Histoire de la médecine (du 14 mai au 29 août 2014, 12, rue de l’École-de-Médecine, Paris 6e). Elle a été réalisée par l’Association Française des Chirurgiens de la Face avec le concours de l’université Paris Descartes.

Elle est consacrée au travail de Paul Tessier (1917-2008), chirurgien plasticien français ayant exercé à l’hôpital Foch de Suresnes.

Une exposition sur un chirurgien ? De quoi s’agit-il au juste ?

D’un hommage à Paul Tessier ? L’admiration n’est certes pas absente de l’esprit des organisateurs. Cependant, non. L’exposition évite les pièges de l’histoire célébration.

Cette exposition est-elle pédagogique ? Non. Ni ne veut l’être, bien qu’on y apprenne. Face à ces objets et documents, à chacun de faire ce qu’il veut, ce qu’il peut, avec son étonnement d’homme devant des malformations effrayantes et des techniques opératoires effarantes, avec son savoir d’homme de l’art éventuellement, avec sa curiosité personnelle en tout cas. « À charge pour le visiteur, nous disent les organisateurs, plongé dans ce pêle-mêle, de dénouer l’écheveau, de souligner, de biffer, de jauger, de commenter… »

L’exposition Paul Tessier interroge le spectateur sur plusieurs limites

Crâne acrylique
Syndrome d’Apert – Edimbourg
Phase 3 : un « LE FORT III type ». Long tenon malaire-Sagittal split des R.O.L – Greffes osseuses iliaques.

Limite chirurgicale et anatomique (sphère rhinologique, sphère cérébrale) : celle-ci a été franchie par Paul Tessier, et a permis la naissance d’une nouvelle sous-spécialité chirurgicale, la chirurgie craniofaciale.

Limite éthique : que peut-on opérer ? Où commence la démesure de l’opérateur ?

Limite du possible technique, et de la virtuosité de l’opérateur.

Limite entre science et art, technique et œuvre.

Limite enfin entre ce qui intéresse des spécialistes, et ce qui peut intéresser tout un chacun. Celle-ci me semble franchie dans cette exposition.

De l’œuvre d’un chirurgien on ne peut garder que des traces. Au musée : des crânes, patiemment réunis ; des instruments, des photographies, des textes, un film d’opération. Des schémas préparatoires. Des crânes sciés, ébauches et réflexion en vue d’une étonnante ébénisterie sur le vivant. Voilà des parties du crâne qu’on traite comme le tiroir d’un meuble. Tenons et mortaises d’os… Et voici des patients, nés avec des visages de cauchemar, et à qui le chirurgien a donné une figure humaine.

Pour en savoir plus

– La thèse de Benjamin Guichard traite de la constitution de la collection Tessier : Le crayon rouge, outil d’une rupture chirurgicale. Elle est consultable au pôle Médecine de la BIU Santé (cote 2011AMIEM025) ;

La biographie de Paul Tessier sur le site de la BIU Santé ;

Un article du Monde (19 mai 2014) présentant l’exposition ;

– En cette période de centenaire de 1914-1918, retrouvez notre exposition virtuelle sur les gueules cassées.

Jean-François Vincent

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Ouverture du Musée Virtuel de l’Art Dentaire (MVAD)

Le 17 avril dernier a été mis en ligne le nouveau Musée Virtuel de l’Art Dentaire.

Hébergé par la BIU Santé, cet ensemble est consultable à l’adresse suivante: https://www.biusante.parisdescartes.fr/mvad

Il vient rejoindre les portails de la Société française d’histoire de l’art dentaire (SFHAD) et de l’Association de sauvegarde du patrimoine de l’art dentaire (ASPAD), déjà partenaires de la bibliothèque.

À l’origine, le musée Pierre-Fauchard

En 1880 l’École dentaire de Paris s’enrichit d’un musée, déjà préfiguré l’année précédente par la constitution  du « Cercle des dentistes de Paris ». Les dons viennent peu à peu agrandir la collection, qui prend en 1937 l’appellation de musée Pierre-Fauchard (du nom de l’un des fondateurs de l’art dentaire, au XVIIe s. – auquel la BIU Santé a d’ailleurs consacré une exposition virtuelle, que vous pouvez retrouver en cliquant ici).

En 1986, le conseil national de l’Ordre prend en charge les collections du musée, avant d’en céder la propriété au musée de l’AP-HP en 2001.

Pourquoi un musée virtuel ?

En 2012 le musée de l’AP-HP est malheureusement contraint à la fermeture. Ses collections sont mises en caisse, stockées à l’hôpital Bicêtre, en attendant des jours meilleurs (peut-être à terme à l’Hôtel-Dieu de Paris ?).

Faute d’exposition physique, il est alors décidé de créer une vitrine virtuelle pour ces collections : les livres du fonds, déjà déposés à la BIU Santé, ont pu être numérisés et mis en ligne. On complète ces documents par un choix de photographies, mettant en valeur les plus belles pièces du musée. Y sont également adjoints des objets d’autres collections, privées ou publiques (musée de la Faculté de chirurgie dentaire de Lyon, Aspad, musées de Rouen…)

Jacobus Anglicus, Omne Bonum (Opusculum), 1326-1347. BL Ms Royal 6E VI (vol. II), Fo 503b, British Library, London.

Que trouve-t-on déjà en ligne ?

« Nous voulons que ce musée virtuel soit chronologique, historique, visuel et esthétique. » Guy Robert, président de l’association du MVAD.

Le but du musée est « d’expliquer l’art dentaire depuis sa fondation ».

Ce projet n’en est qu’à ses débuts, et est appelé à s’agrandir prochainement. Des instruments, pélicans et tiretoires, sont les premiers à être mis en lumière. Les textes anciens alternent avec les photographies d’objets, le tout accompagné d’explications rédigées par des spécialistes du domaine, Micheline Ruel-Kellermann et Pierre Baron.

Les présentations sont à la fois thématiques et chronologiques, et accompagnées de références bibliographiques et iconographiques.

En savoir plus sur l’association

L’Association du Musée Virtuel de l’Art Dentaire (MVAD) regroupe l’Ordre national des chirurgiens-dentistes (ONCD), l’Académie nationale de chirurgie dentaire (ANCD), la Société française d’histoire de l’art dentaire (SFHAD), l’Association Dentaire Française (ADF), la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) et l’Union des chirurgiens-dentistes retraités (UCDR).

Avec d’autres donateurs, ces institutions soutiennent financièrement l’association. Cette dernière fonctionne également en partenariat avec la BIU Santé , l’Association de sauvegarde du patrimoine de l’art dentaire (ASPAD), le musée de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et le Musée dentaire de Lyon (MDL).

En savoir plus

Interview de Guy Robert, président de l’association du Musée Virtuel de l’Art Dentaire ;

La page Facebook du musée ;

– Pour des renseignements plus précis, écrivez à : mvad2014@gmail.com

Géricault, fragments de compassion (suite)

Comme nous vous l’avions annoncé à la fin de l’année dernière, la BIU Santé a prêté plusieurs documents pour l’exposition Géricault, images de vie, images de mort.

D’abord inaugurée à la Schirn Kunsthalle de Francfort-sur-le-Main, cette présentation vient de rouvrir au Museum voor Schone Kunsten de Gand, et ce jusqu’au 25 mai 2014.

Elle est désormais intitulée Géricault, fragments de compassion, et associée au projet de deux artistes contemporains, Alfredo & Isabel Aquilizan.

Retrouvez notre billet de novembre 2013 sur le sujet en cliquant ici.

En savoir plus sur cette exposition : un article de Culturebox du 19 octobre 2013.

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Géricault, images de vie, images de mort

Du 18 octobre 2013 au 26 janvier 2014 se tient à la Schirn Kunsthalle de Francfort-sur-le-Main l’exposition Géricault, des images de vie et de mort.

La BIU Santé a prêté plusieurs ouvrages mettant en valeur les liens unissant l’œuvre de l’artiste à l’histoire de la médecine :

  • J. Gamelin. Nouveau recueil d’ostéologie et de myologie… 1779 (cote : 1894, en ligne sur Medic@)
  • E. Esquirol. Des maladies mentales… 1838 (cote : 34169, en ligne sur Medic@)
  • P. Pinel. Traité médico-philosophique sur l’aliénation mentale. 1801 (cote : 48035)
  • C. Bell. Essays on the anatomy and philosophy of expressions. 1824 (cote : 22741)
  • J. Bell. Explaining the anatomy of the bones, muscles and joints. 1794 (cote : 146481)
  • Ch. Le Brun / S. Le Clerc. Caractères des passions gravés sur les dessins de Le Brun, par S. Le Clerc. 17XX (cote : 75447)
  • C. Monnet. Études d’anatomie à l’usage des peintres. 1775 (cote : 9226)
Gravure tirée de Gamelin (cliquez sur l’image pour le détail).
Gravure tirée de Esquirol (cliquez sur l’image pour le détail).

 

Autant de documents dont les planches présentent des motifs se rattachant aux préoccupations de Géricault : anatomie du corps humain (Gamelin, Monnet, John Bell), théorie des expressions et de la physiognomonie (Le Brun, Charles Bell), psychiatrie (Pinel, Esquirol).

L’exposition sera ensuite présentée au Museum voor Schone Kunsten de Gand du 21 février au 25 mai 2014.

En savoir plus sur cette exposition : un article de Culturebox du 19 octobre 2013.

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Expositions multiples à Nancy

L'homme au masqueLa ville de Nancy connaît une activité culturelle flamboyante en cette année 2013. L’opération «Renaissance Nancy 2013» est le cadre d’un ensemble d’expositions diverses, auxquelles la BIU Santé participe via des prêts d’objets.

Tout d’abord, le Muséum-Aquarium de Nancy présente une exposition intitulée «Corps en images : de la Renaissance à la recherche contemporaine »», jusqu’au 5 janvier 2014.

On y retrouve l’ouvrage suivant, Anatomia del corpo humano de Juan Valverde (1560) avec la gravure de l’homme au masque (à droite, cote 000282 du pôle Méd.).

Le musée des Beaux-Arts de Nancy a, quant à lui, coorganisé avec le musée du Louvre «L’Automne de La Renaissance» (jusqu’au 4 août 2013). Y est présenté notre exemplaire de Dell’Historia Naturale par Ferrante Imperato, (1599, cote RES 6004 pôle Pharma.), au frontispice magnifique :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le catalogue de cette manifestation est empruntable au pôle Pharmacie, et consultable sur place au pôle Médecine. Un colloque a été organisé en lien avec cette exposition (cliquez ici pour le programme).

Enfin, deux livres ont été prêtés pour l’exposition du musée lorrain, «Un nouveau monde, naissance de la Lorraine moderne» (jusqu’au 4 août 2013) :

Histoire des plantes de Dodoens (1557, accessible gratuitement en ligne via Medic@)

– De occulta philosophia de Cornelius Agrippa (1567, dont vous pouvez commander une reproduction numérique via EOD).

Les pots de pharmacie, exposition à Sèvres

Pots à pharmacieLa cité de la Céramique présente dans le Carré Actualités cinquante pots de pharmacie provenant d’un ensemble qui compte près de 500 céramiques.

Cette collection, constituée grâce au legs du docteur Fombeure en 1949 et du docteur Chompret en 1957, président des Amis de Sèvres, nous éclaire tant sur la connaissance des formes et des techniques, que sur les circuits commerciaux et la diffusion des savoirs…

Exposition ouverte du 10 juillet au 7 octobre 2013.

Plus d’infos en cliquant ici.

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Le cas Rousseau : exposition au musée d’Histoire de la médecine

C’est aujourd’hui l’anniversaire de la mort de Jean-Jacques Rousseau – et c’est également aujourd’hui que le musée d’Histoire de la médecine accueille une nouvelle exposition consacrée au philosophe, écrivain et musicien :

Le cas Rousseau

Affiche Le cas RousseauCette manifestation, qui a déjà été accueillie dans 6 hôpitaux différents en France et en Suisse, a été conçue par Christine de Bissy et le scénographe Gilles Lambert.

Elle évoque les rapports complexes entretenus par Jean-Jacques Rousseau avec la maladie.

Plus de détails dans le dossier de presse à télécharger en cliquant ici.

Ouverture jusqu’au 30 septembre 2013 : 14h-17h30 sauf jeudi et dimanche (sauf samedi et dimanche du 15 juillet au 31 août (horaires d’été) – fermé le 15 août, jour férié).

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