À Johannes Antonides Vander Linden, le 28 novembre 1659
Note [10]
Dans un paragraphe consacré aux gaz intestinaux de ses « Morceaux choisis médicaux » (Leyde, 1656, v. note [29], lettre 338), Johannes Antonides Vander Linden pimentait deux citations de Jacques Houllier et de Jérôme Cardan avec cette remarque (page 178) : In talibus commentariis secure Slendrianus dormire solet [En présence de tels commentaires, un « Slendrien » a coutume de s’endormir paisiblement] ; v. note [2], lettre latine 132, pour le retour de Guy Patin sur ce mot après l’explication que Vander Linden lui a fournie.