À Charles Spon, le 16 novembre 1655
Note [15]
« de la gent des antimoniaux » ; on apprend plus bas qu’il s’agissait de François Landrieu, natif de Laon, dont Guy Patin avait signalé la licence à Spon dans sa lettre du 6 septembre 1652, et qui était le plus jeune des 61 signeurs de l’antimoine la même année (v. note [3], lettre 333), avant même d’avoir été reçu docteur régent (décembre 1653).