Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647)
Note [17]
Columella (v. note [32], lettre 99), à propos de la génisse saillie par le taureau, dans son De Re rustica [L’Économie agricole] (livre vi, chapitre xxiv) :
Nam quamvis plena fœtu non expletur libidine. Adeo ultra naturæ terminos etiam in pecudibus plurimum pollent blandæ voluptatis illecebræ ![Quoique pleine, elle n’est pas rassasiée de plaisir : tant sont impérieux, même chez le bétail, les doux attraits de la volupté, bien au delà de ce qu’exige la nature !]