À Johann Jakob Seubert, le 11 janvier 1658
Note [2]
Sans doute s’agissait-il de la veuve d’un libraire strasbourgeois dont le fonds contenait les ouvrages en blanc (en feuilles non reliées) que Melchior Sebizius avait jusqu’alors publiés (v. infra note [3]) et que Guy Patin désirait acheter (même en double, puisqu’il avait déjà demandé ces livres à Sebizius en personne) pour lui et ses deux fils médecins, Robert et Charles.