À Charles Spon, les 5 et 7 juin 1652
Note [21]
« en l’état tourmenté de nos affaires ».
V. note [57], lettre 176, pour le siège de Paris en 1649 que le P. François Faure, évêque de Glandèves depuis mars 1651 (v. note [7], lettre 259), n’avait pas même considéré comme un péché véniel de la pieuse reine à l’encontre des Français.