Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-3
Note [42]
Vers 85-88 des Remèdes à l’amour, précédés de leur libre traduction, mise entre guillemets français, dont voici une version plus littérale :
« Cet arbre, qui offre ses vastes ombrages aux promeneurs, ne fut au début, quand on l’a planté, qu’une brindille ; des mains pouvaient alors l’arracher tout entier du sol ; mais le voici dans son immense épanouissement, enflé de sa toute-puissance. »
J’abandonne tout aussi volontiers aux rédacteurs de L’Esprit de Guy Patin leur oiseuse digression sur Ovide.