Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-3
Note [44]
Cet article détourne, au profit des hommes et aux dépens des femmes, le véritable sens du propos que Phèdre tient à son fils Hippolyte dans la tragédie de Sénèque le Jeune qui porte le nom de l’un ou l’autre de ces deux personnages (vers 607, acte ii, scène 3) :
Curæ leves loquuntur, ingentes stupent[Les peines légères sont disertes, les immenses sont muettes].
Il serait concevable qu’il s’agît d’une raillerie misogyne de Guy Patin si la suite (v. infra note [45]) n’en dissuadait pas le critique méticuleux et méfiant.