Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647)
Note [98]
V. note [3], lettre latine 104, pour les fièvres continues qu’on appelait synoques. Je n’ai pas trouvé où Galien les a assimilées aux rhumatismes, dont la forme principale était la goutte.
Dans les deux chapitres sur les fièvres synoques (iv et v, livre ii, pages 227‑233) de sa Pathologie (édition française de Paris, 1655, v. supra notule {d}, note [94]), Jean Fernel les a liées aux états inflammatoires, mais n’a parlé ni de Galien ni des rhumatismes.