[Ms BIU Santé no 2007, fo 221 vo | LAT | IMG]
Je vous écris de nouveau sans aucune nécessité, comme je fis dernièrement, le 16e de novembre. [1] Je vous envoie néanmoins ce mot car je dispose d’un commis qui s’en va dans votre pays. Je salue tous vos libraires, que sont les excellents Schönwetter, [2] Götze [3] et Beyer, [4] ainsi que MM. les deux Horst [5][6] et Lotich. [7] Vos livres ne m’ont toujours pas été restitués, par l’effronterie et l’obstination d’un fripon sans aloi. [2][8][9] Je vous demande donc encore de ne plus rien m’envoyer, sauf à risquer une fâcheuse perte. Je vous joins une lettre de l’épouse de M. Mocquillon, [10] que je salue. Vale et aimez-moi.
De Paris, ce 14e de décembre 1667.
Vôtre de tout cœur, G.P.