À Claude II Belin, le 27 avril 1632
Note [2]
« les actes de l’art libéral doivent être libéraux. » La gratuité des soins prodigués à un autre médecin ou à un membre de sa famille reste une tradition de la confraternité. Il s’agissait ici, on va le comprendre, de visites que Guy Patin avait faites au chevet du frère de Claude ii Belin, malade à Paris.