À Charles Spon, le 18 juin 1649

Note [71]

Le génie d’Hippocrate devait demeurer inaccessible au vulgaire, qui incluait les chirurgiens, ordinairement incapables de lire le latin (et encore moins le grec). Guy Patin n’avait pas l’honnêteté de convenir que, ne sachant que des bribes de grec, il ne connaissait Hippocrate que par les traductions de ses œuvres en latin.

L’Esprit de Guy Patin a repris et un peu étendu de passage (v. note [49] du Faux Patiniana II‑1).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 juin 1649, note 71.

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(Consulté le 18/05/2024)

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