« je me glorifie hautement d’avoir eu un si grand précepteur et prie bien pour le repos de son âme. » V. note [5], lettre 15, pour Nicolas Piètre, mort en 1649.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 9 avril 1660, note 26.