À Charles Spon, le 26 juillet 1661
Note [1]
« ça s’est fait contre mon gré ».
V. note [6], lettre de Charles Spon, le 15 janvier 1658, pour sa Sibylla medica [Sibylle médicale] (Lyon, Jean-Antoine ii Huguetan et Marc-Antoine Ravaud, 1661, in‑4o), traduction en vers latins des Pronostics d’Hippocrate (avec dédicace à Guy Patin).
La particule que Patin attachait ici pour la première fois au nom d’André Falconet, en l’appelant ensuite « mondit sieur », tenait probablement au fait que son ami lyonnais avait été honoré du titre d’écuyer, premier grade de la noblesse, qui rendait gentilhomme.