À Charles Spon, le 26 juillet 1661
Note [2]
« dont je considère le talent comme admirable par tous les livres qu’il a écrits. » V. notes [16], lettre 605, pour le « Saint Georges de Cappadoce » de Théophile Raynaud, enfin publié à Lyon chez Guillaume Barbier, et [11], lettre 687, pour son « Saint Antoine » (Grenoble, 1659).
V. note [8], lettre 71, pour le portrait du R.P. Raynaud qui figure en tête de ses Opera (Lyon, 1663).