À Johann Georg Volckamer, les 22 et 23 avril 1650
Note [3]
Guy Patin vénérait tout ce que Caspar Hofmann avait pu écrire, même ses attaques contre Galien et Jean Fernel (v. note [12], lettre 81). Au début des années 1640, Charles Spon et son ami Johann Georg Volckamer lui avaient inspiré cette passion pour un médecin bavarois dont il s’est acharné à publier les œuvres, mais il n’est parvenu ni à faire entièrement imprimer ces compilations stériles et déjà passées de mode, ni à les préserver du profond oubli où elles ont sombré.