Note [19] |
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« On pardonne à l’Antiquité d’avoir mêlé les dieux aux choses humaines, car cela donne plus de lustre à la naissance des villes. » Cette finesse sceptique de Tite-Live (Ab Urbe Condita [Histoire de Rome], Préface, § 7) faisait ici l’admiration de Guy Patin, par comparaison avec les autres anciens historiens ou moralistes qu’il citait ; mais tout cela n’égalait pas sa vénération pour La Sagesse de Pierre Charron (qui s’était fait prêtre après avoir été avocat, v. note [7], lettre 73) : « Lisez la Sagesse de Charron tous les ans deux fois », écrivait-il à Hugues ii de Salins (fin de sa lettre du 6 mars 1655). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Patiniana I‑4 (1701), note 19. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8199&cln=19 (Consulté le 23/05/2024) |