Note [2] |
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Guy Patin, sans doute en se relisant, a ajouté dans la marge le motif de cette invitation à dîner. Pierre Perreau, fils de Jacques, ayant obtenu le premier lieu de sa licence (v. note [8], lettre 3) en juillet (v. note [44], lettre 223), pouvait aborder le premier les épreuves du doctorat : seul recensé dans Baron et dans les Comment. F.M.P., son acte pastillaire eut lieu le 20 décembre sur une double question rituelle, An Arctati propius dentes/ Proceritas corporis Vitæ diuturnioris indicium ? [Un indice de vie plus longue se trouve-t-il dans des dents fort resserrées/ dans une grande taille corporelle ?] |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 18 octobre 1650, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0246&cln=2 (Consulté le 04/05/2024) |