À Johannes Antonides Vander Linden, le 23 mars 1657, note 3.
Note [3]

Dans son accès d’amertume, Guy Patin semblait oublier la chaire royale que Jean ii Riolan lui avait cédée en survivance : était-ce ingratitude ou dépit de devoir en régler le prix aux héritiers ? En juillet 1657, comme il s’y était engagé en 1654, il versa 4 000 livres à la veuve de Riolan, en faveur de Marie Procé, sa petite-fille (v. note [2] des Leçons au Collège de France), dont Jean ii avait été le tuteur (v. note [47], lettre 487).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 23 mars 1657, note 3.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1111&cln=3

(Consulté le 03/05/2024)

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