À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 4.
Note [4]

« toujours en raison de cette putréfaction sale et extrême, dont dépend la malignité de la maladie et de tous les symptômes qui en découlent ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 4.

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(Consulté le 06/05/2024)

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