Note [54] |
|
« pour cette raison ». Mû par son gallicanisme, et par sa haine des moines et des jésuites, Guy Patin a volontiers adhéré à certaines thèses protestantes, notamment dans ses lettres au calviniste Charles Spon, son meilleur ami (v. note [15], lettre 97) ; mais il n’a jamais laissé croire qu’il était disposé à abandonner le catholicisme.Cet article du Patiniana figure dans le manuscrit de Vienne (pages 45‑46). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Patiniana I‑2 (1701), note 54. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8197&cln=54 (Consulté le 01/06/2024) |