Image : [Le role du médecin aux colonies par le maréchal Lyautey de l'Académie française]

Image : Hôpital indigène (à Fès). La plus haute justification de la colonisation, selon la grande pensée réalisée d'un même coeur par le Maréchal Lyautey et Mme Lyautey

Image : Une vue du Moyen-Atlas, l'un des massifs montagneux auxquels le Maroc doit son remarquable réseau hydrographique. Pont sur l’oued Sebou, important ouvrage d'art parmi ceux qui honorent l'effort français

Image : Rabat : les Ouddaïas et la ville indigène. Le port de Casablanca, construit d'après le plan grandiose du Maréchal Lyautey et qu’admire si jalousement l’Étranger

Image : Le pont portugais à Khenifra ; une rue dans la Casbah de Marrakech : deux de ces aspects du vieux Maroc qui contrastent avec ceux de la vie moderne

Image : Deux beaux types de femmes berbères, race plus ou moins mélangée de sang arabe, selon les tribus, et restée en partie rurale et nomade, race qui conquit l’Andalousie. Puis, l’un des aspects du "bled” marocain

Image : Un marché en plein vent à Marrakech, capitale du Sud où aiment à se réunir les montagnards de la région. En bas, un coin des souks couverts de Fès, ville religieuse, universitaire, et à la fois commerçante

Image : [La légion au Maroc par André Therive]

Image : En lettrine, un noir athlétique en plein effort musculaire. Puis un danseur Batetela (Congo Belge) coiffé pour la fête

Image : Musiciens, danseuses et danseurs noirs, en proie au rythme (fête indigène à Niamey, Niger, A. O. F.) / Les visages de ces femmes annoncent l’ivresse due à la danse et que suivra tout à l'heure l'insensibilité

Image : Joueurs de tam-tam et danseur Kanembous. Les femmes rythment des mains sa danse acrobatique

Image : Type de femmes du Nord Cameroun, de celles qui ont gardé " l'habitude du transport sur la tête”. Race formée de peuplades très diverses par leurs origines (l’origine blanche, par exemple des conquérants Foulbés venus d'Égypte vers le IV° siècle et qui envahirent de vastes étendues)

Image : Coran de Samory

Image : [Madagascar Hier et aujourd’hui]

Image : A gauche, une rizière irriguée. Ici, des rizières étagées, dans la région du centre de la Grande Ile. La culture du riz, l’une des principales de cette colonie essentiellement agricole, s’améliore de jour en jour sous l’action de nos méthodes. D’une part, les travaux d’irrigation ont le plus heureux effet sur le rendement des terres. D'autre part, la sélection des semences permet d’obtenir une qualité du produit qui l’égale aux plus belles variétés

Image : L'opération du repiquage dans une rizière irriguée. L'indigène de Madagascar, intelligent et d'un caractère généralement doux et gai, se rend compte peu à peu de ce qu’apporte notre expérience à sa vocation agricole : en moins de vingt ans, d'immenses friches sont devenues cultures / La route d'Ambatolampy à Faratsiho. La route! Le réseau routier, pareil a un réseau sanguin, par son importance vitale ! Avant la conquête, l’Ile n’était sillonnée que de pistes. Elle a aujourd'hui 3. 000 km. de bonnes voies carrossables

Image : Le canal des Pangalanes, chapelet de lagunes, le long de la côte Est, du nord de Tamatave à Fianarantsoa. Ces voies naturelles, améliorées par le dragage et réunies par le creusement des seuils rocheux, forment un canal de 670 km. de long. Ci-dessous, un type de femme Sakalave

Image : [Dessin humoristique]

Image : [L'Indochine trente ans après par G. Hanotaux de l'Académie française]

Image : Le temple "qui revoit le soleil”, à Angkor. Puis, une petite pagode, auprès de la pagode des dames, à Hadong (Tonkin)

Image : Annamites en prière devant le tombeau de l'Empereur Tuduc, à Thua-Thien (Annam), l'un des beaux monuments de l’art annamite qui compte de nombreux chefs-d'oeuvre. Palais, tombeaux, statues, portiques, pagodes et pagodons — avec les soies brodées et les bijoux ciselés qui sont souvent des miracles de goût et de patience — témoignent d'une très antique civilisation. Loin d’étouffer celle-ci, la France la ressuscite. Page 35, paysage tonkinois

Image : [L’Indochine Trente ans après]

Image : Deux femmes cambodgiennnes, dont le sourire exprime bien la douceur d’une race sympathique / Un village sur pilotis, comme aux temps anciens, dans la province de Bac Kan (Tonkin)

Image : Femmes moï du Sud-Annam. Cette race farouche et courageuse offre souvent de très beaux types / Retour de pêche à Hadong chef-lieu de l’une des plus riches provinces du Tonkin

Image : [A travers l'exposition coloniale]

Image : En page 38, les murs d’enceinte du pavillon du Maroc, à l’intérieur duquel on trouvera une cour du vieux Marrakech, une salle de peintures indigènes, de vastes dioramas, une carte lumineuse, d'austères évocations de l'antique Empire Chérifien, etc... Ci-contre, le minaret du pavillon de la Tunisie où sont reproduits les souks si pittoresques

Image : Une reproduction de la mosquée de Djenné, ancienne capitale de l’empire songhaï, aujourd’hui chef-lieu de cercle du Soudan Français (Afrique Occidentale Française) : l’un des plus parfaits spécimens de l’architecture africaine — sous le ciel de Paris

Image : Dans la même partie de l'Exposition, la terrasse du restaurant de l’Afrique Occidentale Française. Cette construction, très fidèlement inspirée de celles de la colonie, se mire dans l’eau calme d’un petit lac spécialement creusé pour le plaisir des yeux

Image : La tour des Bucranes, monument fétichiste de Madagascar, couvert du haut en bas de sculptures stylisées et surmonté d’immenses cornes de boeufs qui évoquent l'élevage, l’une des principales richesses de la grande Ile. Madagascar en a bien d’autres, telles que le graphite, l’or, le charbon, peut-être le pétrole, etc.

Image : Le pavillon des Indes Néerlandaises, dont l’architecture est celle des temples de Java, nettement différente de l'architecture indochinoise, comme on le verra plus loin. Le très grand intérêt d'une telle "Exposition coloniale internationale ” apparaît ici à tous les artistes : il ne sera pas moindre pour le Commerce et l’Industrie

Image : [A travers l'exposition coloniale]

Image : A gauche, l'escalier principal du massif central des Temples prodigieux d'Angkor- Vat. Ici, l’architecture féerique d'une tour. L'on doit proclamer bien haut que c’est grâce à la France que les chefs-d'oeuvre de l’art Khmer ont resurgi de la forêt vierge

Image : Joséphine Baker, pas de chez nous, mais si joliment exotique !

Image : [Écrivains coloniaux]

Image : Les joueuses de flûte, devant l’idole, par Gauguin que l’on est tenté d’appeler «  Gauguin l’admirable », autant pour ses paysages bretons que pour ses scènes tahitiennes où la beauté du dessin égale la puissance du coloris. Ci-contre, « mon boy à Agba », par Herviault le véridique

Image : La halte au désert, œuvre de Bascoulès qui peignit cette toile superbement lumineuse, entre autres, au bordj de Taghit (grand Erg).

Image : Au bord du canal d’eau douce, à Suez, par du Gardier, coureur de mers qui rapporte de ses escales de délicieuses impressions.

Image : Femmes tonkinoises d’Inguimberty, autre peintre voyageur, qui a su rendre si fidèlement la lumière d’Extrême-Orient

Image : Sur la photo de gauche à droite, assis, MM. Luc Durtain, le Dr Sauvé, chirurgien des Hôpitaux, Paul Strauss, Mme Luka, MM. Louis Mourier, Aug. Perret, le Dr François Débat. Au 2° rang, debout, MM. Paul Follot, le Dr Jacques Decourt, médecin des Hôpitaux, André Dignimont, Pierre Dominique, Bernard Naudin, Marcel Midy, le Pr Perrot, de l'Académie de Médecine, le Dr Louste, médecin des Hôpitaux, le Pr, Goris, Directeur de la Pharmacie Centrale des Hôpitaux, le Dr Decourt, Président de l'Association Internationale des Médecins, le Pr Jean - Louis Faure, de l’Académie de Médecine, le Dr Claisse, médecin des Hôpitaux, le Dr Dodart des Loges, Le Dr Filassier, le Dr Gil Robin, Clément Serveau. Assistaient en outre au dîner le Dr Vallon, le Dr Le Mée, laryngologiste des hôpitaux, le Dr Chevallier, médecin des hôpitaux

Image : Détail d’une centrifuge à l’usine du Pancrinol, à Garches

Image : Soudage des ampoules aux laboratoires du Docteur Debat, à Garches

Image : C’est le même outillage puissant et original qui sert à la préparation du Pancrinol et de L’Inorénol

Image : Le Docteur Henri Gougerot Professeur agrégé, médecin de l’hôpital Saint-Louis, dessiné par Bilis

Image : [Un maitre de la dermatologie]

Image : Nancy : la place du gouvernement. En lettrine, la masse d’appariteur, jadis donnée au Collège Royal de Médecine de Nancy par Carolus Bagard, son président

Image : L’une des belles grilles de fer forgé, noir et or, de la place Stanislas

Image : L’entrée du musée, ancien palais des ducs de Lorraine, du XVIe s.

Image : Les bords de la Moselle

Image : Je viens de faire au long de la Moselle le tour de promenade qu’y faisaient mon père et mon grand-père. La jeunesse du paysage était éblouissante, et son fond de silence, tragique... » (Maurice Barrés) Ci-contre, la maison de barrés à Charmes

Image : « C’est la colline de Sion-Vaudémont, faible éminence sur une terre la plus usée de France, sorte d’autel dressé au milieu du plateau qui va des falaises champenoises jusqu’à la chaine des Vosges... dans tous nos cantons, dès que le terrain s’élève, le regard découvre avec saisissement la belle forme immobile, soit toute nette, soit voilée de pluie... ». (Extrait de la « colline inspirée » de Maurice Barrés)

Image : En automne, la colline est bleue sous un grand ciel ardoisé, dans une atmosphère pénétrée par une douce lumière d’une jaune mirabelle. J’aime y monter par les jours dorés de septembre et me réjouir là-haut du silence, des heures unies, d’un ciel immense ou glissent les nuages et d’un vent perpétuel qui nous frappe de sa masse. Ces photos prises en automne, illustrent les impressions de barrés dans la «colline inspirée»

Image : A l’autre extrémité, le pauvre village de Vaudémont, avec les deux aiguilles de son clocher et de sa tour, se meurt dans les débris romains et féodaux de son passé légendaire... ” (Maurice Barrés «la colline inspirée»). En haut les ruines de Vaudémont. À gauche, la tour Brunehaut

Image : En haut, le cimetière de N. -D. de Sion ou Maurice Barrés repose auprès des siens. À droite, la lanterne des morts élevée à sa mémoire sur cette “ colline inspirée ” ou il voyait" une table des lois non écrites de la Lorraine” et l’un des hauts lieux “ou souffle l'esprit"

Image : La place d’Haroué ou le maitre Lorrain s’est plu à méditer, comme il le rapporte dans un “homme libre"... “ Je n’ai pas oublié cette soirée silencieuse, vers les cinq heures, dans la petite ville d’Haroué... ’’ A droite le lavoir de charmes. En face et en haut la rue de Chamagne, le pays natal du peintre Claude Gelée, appelé “ le Lorrain”

Image : [Les grands horizons de Lorraine]

Image : « L’éternelle bataille qui a été la vie des pays lorrains. »

Image : Près de Verdun, Belle-Ville-Sur-Meuse (1917) et, ci-dessus, aspects du fort de Vaux, pendant et après la plus terrible bataille de tous les temps : trois documents qui illustrent tragiquement l’appellation émouvante de "terre de souffrance” donnée à la Lorraine par Désiré Ferry

Image : Deux vues des forges d'Homécourt, par lesquelles l’art du photographe a su évoquer la puissance de travail de la Lorraine industrielle. C’est dans ces usines qu'est transformée en acier une partie de la considérable production minière des bassins lorrains, et que la distillation de la houille permet d’obtenir de nombreux et précieux produits chimiques

Image : [La Lorraine terre de souffrance et d'énergie]

Image : Dans un décor d'arbres et d’eau, les remparts de Verdun. Le paysage, un peu austère, à toute la sérénité qui n’appartient qu’à la mesure. C’est le pays qui se souvient et qui médite. Vienne un rayon de soleil, ce pays sait sourire. Mais ce n’est jamais sans gravité: charme de plus, comme sur quelques rares et patriciens visages de femmes

Image : Les beaux arbres de Vittel, évocateurs de la forêt vosgienne

Image : [Edmond de Goncourt]

Image : La Dangeville, l’un de ces merveilleux portraits de La Tour, qui gardent vivantes, à travers les siècles, les figures disparues. Celle-ci, malgré le surnom méprisant que lui donna Goncourt, nous fait aimer une actrice « très 18e », qui simplement dut jouer, dans la vie comme au théâtre, les soubrettes faciles. A gauche, Goncourt et Daudet

Image : [Le porche corinthien]

Image : [Le porche corinthien]

Image : Sur la photo, assis de gauche à droite, MM. le Dr Laubry, le Pr Marcel Labbé, Mme Tamara de Lampicka, artiste peintre, MM. Oberkirch, J. H. Rosny aîné, le Dr Sainton, médecin des hôpitaux, André Litchtenberger. Debout, de gauche à droite, MM. Etienne Bernard et Flandin, médecins des hôpitaux, le Pr Gabriel Bertrand, de l'Institut, Emile Vuillermoz, le Pr Carnot, le Dr Dausset, M. Dejust-Defiol, le Dr René Benard, médecin des hôpitaux, le Dr Débat, Bernard Naudin, le Dr Dejust, Clément Serveau, le Dr Vallon, R. de Laromiguière, rédacteur en chef d’ "Art et Médecine”. Au fond, MM. Jean Variot et Renoux. Assistaient en outre au dîner Mme Anna Marsan, Secrétaire de la rédaction d’"Art et Médecine”, MM. A. Thérive, Siclis et Ledieu

Image : [L'ermitage de Seine-Port]

Image : [L'ermitage de Seine-Port]

Image : [L'ermitage de Seine-Port]

Image : [Discophilie]

Image : [Une station d'altitude en Indo-Chine]

Image : Baudelaire par Daumier : à la fois marqué par la souffrance et le génie

Image : Lamartine par Scheffer : à l’époque où le poète était miné par la tuberculose

Image : [Les médecins littérateurs par René de Laromiguière]

Image : [Lectures par Pierre Dominique]

Image : De haut en bas, Sim Viva et Mme Marguerite Deval, à gauche, Pizani, dans « Brummel »

Image : En haut, Betty Daussmond, Renée Dorvy et C.P. Cousin. En bas, Maurice Escande, Abel Tarride et le Gallo, dans « Balthazar »

Image : Salle de bains équipée avec le chauffe-eau électrique. Le décorateur a judicieusement choisi l’emplacement de l’appareil. Une porte – Ouverte ici – le soustrait ordinairement aux regards

Image : Une chambre chaude électrique où cultivent 2.000 litres de bouillons microbiens qui vont servir à la préparation de 100.000 tubes « d’Inosepta »

Image : Appareil à concentrer sous le vide, à basse température, aux laboratoires du Docteur Débat

Image : C’est le même outillage puissant et original qui sert à la préparation du Pancrinol et de L’Inorénol

Image : Le Docteur Laignel – Lavastine Professeur agrégé à la Faculté de Médecine médecin de la Pitié, dessiné par A. Bilis

Image : A la fondation Pierre Budin

Image : Ce ravissant petit être, au corps lumineux, ces deux bébés potelés, un peu interdits, un peu effrayés, malgré le sourire maternel, dans l'attente de la consultation, donnent bien à penser qu'il ne s’agit pour eux que de médecine préventive

Image : L’on apprend, aux consultations de nourrissons, que le pèse-bébé est, révérence parler, d’une compétence médicale certaine. Il dénonce l’alimentation défectueuse, l’assimilation déficiente, le mal à son début. Ces photographies ont été prises à la consultation du mercredi de la fondation Pierre Budin

Image : [Art et Médecine]

Image : De gauche à droite: M. le Professeur Léon Bernard ; M. Désiré Ferry ; M. Paul Strauss ; M. Lucien Saint ; M. Le Doyen Balthazard ; M. Albert Sarraut ; M. Paul Reynaud ; M. Le Maréchal Lyautey ; M. Blaisot ; M. Lebrun ; M. Le Doyen Radais ; M. Marcel Olivier ; M. Bonnefous ; M. Le Pr Hartmann

Image : Un long pays onduleux, coupé de vallons, ou les domaines des paysans, herbages et prairies à pommiers étaient entourés de grands arbres dont les têtes touffues semblaient luisantes sous les rayons du soleil. On touchait à la fin de juillet ; c’était la saison vigoureuse ou cette terre fait épanouir sa sève et sa vie... » (Maupassant)

Image : La Normandie, justement célèbre par ses prairies, ses bocages, ses vergers et les haies qui bordent et ombragent ses chemins sinueux, la Normandie, cette émeraude, se pare aussi de plaines d'or. À l’époque de la moisson, les grands chars, comme en Beauce, sont nimbés d'une gloire solaire

Image : Rongée par la mer, la falaise d’Étretat

Image : [La Normandie]

Image : Normandie herbagère, éclatante et mouillée, mon esprit et mon sang, mon amour, mon pays, nous voulons venir vivre un jour, doux et vieillis, parmi tes prés, au fond d'une maison rayée. Strophe de Mme Delarue-Mardrus

Image : [Une lettre - missive de Gustave Flaubert par le docteur Streletski]

Image : A gauche, le pavillon ou est installé le musée Flaubert, dernier vestige de l’ancienne propriété du grand écrivain à Croisset. Ici, un autographe de la collection du Dr. Streletski et l'allée ou Flaubert composa Salammbo

Image : [Un pèlerinage littéraire à Rouen par André Maurois]

Image : On dominait l’immense vallée, longue et large que le fleuve clair parcourait d’un bout à l’autre avec de grandes ondulations... Puis, la ville apparaissait sur la rive droite, un peu noyée dans la brume matinale, avec des éclats de soleil sur ses toits, et ses mille clochers légers, pointus ou trapus... » Tel était le Rouen décrit par Maupassant, tel il est ici, aussi magnifique qu’au temps de Bel-Ami. Ci-contre, des remorqueurs à quai, vu du pont transbordeur

Image : Au premier plan, l’extrémité du jardin de Corneille à Petit- Couronne ou l’illustre tragique avait sa maison de campagne, à quelques lieues de Rouen, dans une paix propice à l’esprit derrière la fragile clôture, la Seine en crue, qui parfois envahit le jardin à gauche, l’ancien four ou cuisit le pain du poète. Cette vue a été pris de l’une des fenêtres du grenier de Corneille

Image : La maison de Corneille à Petit - Couronne, restée presque intacte, nous dit André Maurois. C’est aujourd'hui un musée digne du pèlerinage des fervents de la vraie grandeur littéraire. Derrière la maison se trouve, lieu non moins émouvant, le verger avec la table de pierre sur laquelle l'histoire assure que Corneille écrivit le "cid", entre autres oeuvres immortelles

Image : A Rouen, la rue des Hauts-Mariages, l’une des plus vieilles de la ville, et si étroite qu’une potence de bec de gaz la traverse d’un mur à l’autre. Et, ci-dessous, l’intérieur d’une cour, dans cette même rue

Image : L'un des plus beaux joyaux de l’art des cathédrales : la cathédrale de Rouen, construite au XIIIe siècle, pour remplacer celle qui avait été incendiée en 1200. Le nombre et la magnificence des églises témoignent, à peu près depuis cette époque, de la richesse d'un pays ou celles de Rouen sont particulièrement éloquentes

Image : Au milieu d’un moutonnement forestier, la tache blanche d’un grand hôtel, à Bagnoles- de- l’Orne. La forêt — celle d’Andaine, celle d’Écouves — est l’un des charmes de cette région qui en possède de si variés et de si pittoresques qu'on l’a surnommée justement la petite Suisse

Image : Le château Saint - Hilaire, à Louviers. C’est bien la maison Normande, dans son cadre de verdure, avec «l'utile qui est ornement», mais c'est aussi une élégante gentilhommière, par ses tours coiffées pointu et ses murs enrichis de très belles et rares statues de bois nichées dans le lierre

Image : Le « bois de Villiers», à Poissy, propriété de Mme Agache, d’où l'on découvre une vue splendide sur un paysage sylvestre et la vallée de la Seine formant au loin une large boucle. C’est une demeure aux vastes baies par lesquelles pénètre à flots la lumière avec la senteur des gazons et des arbres

Image : La Pommeraye, l’une des plus belle oeuvres d’Henri Jacquelin. Elle est à la fois grâce et puissance, noblesse et charme. Et les allées, les bouquets d’arbres, les parterres fleuris, les miroirs d’eau font à cette demeure, sur un fond de cotes boisées, un décor ou l’art embellit la nature

Image : Prince, je jure icy, foy de Normand Que mieux vaudroit estre en Caux un moment Roy d’Yvetot qu’Empereur d’Allemagne

Image : De haut en bas et de gauche à droite, Sacha Guitry, Romuald Joubé, Yvonne Printemps, Sacha Guitry et Pierre Fresnay. A gauche, Marthe Harel. Ci-contre, de gauche à droite, Bl. Montel, J. Renouardt, J.Marconi et F. Gravey.

Image : Marie Laurencin, Qu’elle rie, et Marie Laurencin, l’or enceint ses belles prunelles

Image : [Dessin humoristique]

Image : L’on a vu, dans une page précédente, un portrait de Marie Laurencin accoudée a un clavier. Elle à bien l’expression singulière, difficile à déchiffrer, que nota Fernand Vallon. Le charme en est certain. Serait-ce pas celui de l’intelligence, comme chez une colette ? Mais elle est secrète, comme nombre de ses figures de femmes aux yeux noirs

Image : Ne sont-elles pas secrètes, ces jeunes filles, ces jeunes femmes souriantes ou graves? Il faut avouer que leur séduction est un peu ambiguë. Pourtant un « Exquis doigté » les a idéalisées. Ce serait aller trop loin que de voir dans les femmes de Marie Laurencin autant de Jocondes, mais ce peintre subtil est peut-être profond, par le don d’évoquer l’éternel féminin

Image : Le professeur Gosset. – cette fois apparait, semble-t-il, chez le peintre comme un art moins inquiet. Marie Laurencin exprima fidèlement le regard droit et l’esprit clair de son modèle

Image : Studio Delbo, composition Achem

Image : [Lectures]

Image : [Les médecins littérateurs]

Image : [Au théâtre Marigny Moineau]

Image : [Dessin Humoristique]

Image : [La cuisine électrique]

Image : Une vue des usines du Pancrinol, à Garches (S.-et-O.)

Image : C’est Se même outillage puissant et original qui sert à la préparation du Pancrinol et de l’Inorénol

Image : A L'usine du Pancrinol, à Garches, une centrifuge

Image : Aux usines du Pancrinol, à Garches, une chaufferie

Image : Le Professeur Castaigne, directeur de l’École de Médecine de Clermont – Ferrand, dessiné par A. Bilis. (Voir page 16)

Image : [Art et chirurgie]

Image : Le Docteur Labey, à Lariboisière, procède à l’extraction d’un fibrome. Le cas, qui est fréquent, était ce jour-là particulièrement grave, la malade n’ayant demandé que très tard l'intervention chirurgicale. C’est en pareille circonstance qu’il faut joindre au savoir le plus d’imagination et de décision. Chaque adhérence pose un problème à résoudre à l’instant même. La main du sculpteur a le droit d’hésiter, non celle du chirurgien. L’on dit à bon droit d’une opération difficile qui a réussi, que c’est une oeuvre d’art

Image : L’opération terminée, le Docteur Labey, à droite et, en face de lui, son assistant M. Richard, interne des hôpitaux, examinent le fibrome dont le maitre vient de délivrer la patiente

Image : Docteur Lasnet

Image : Des indigènes du Togo attendent la piqure qui, plus ou moins répétée, selon l’état d’avancement de la maladie du sommeil, détruira dans leur organisme le redoutable microbe. Les lettres et les chiffres blancs indiquent à même la peau, méthode expéditive, le traitement prescrit. Nul risque de se tromper d’ordonnance

Image : Dans un laboratoire parfaitement outillé, des infirmiers indigènes apprennent le maniement du microscope. Ce recrutement et cette éducation d’infirmiers noirs sont un beau témoignage d’action civilisatrice. — Ci-dessous, très grossie, la mouche tsé-tsé et une vue microscopique des trypanosomes qu’elle instille

Image : [Au pays des volcans éteints]

Image : La façade méridionale de l’Hôtel-Dieu

Image : [Deux auvergnes]

Image : Quelques-uns des aspects infiniment variés de l’Auvergne. Page 18, une vue de la chaine des Puys. Ici, lieu célèbre d'excursion, les roches tuilières, au pied desquelles la forêt vient battre comme une mer. Ci-dessous, la plaine opulente. L'Auvergne a l’étonnant privilège d’être aussi riche de beautés naturelles que de produits agricoles- et, dans ses eaux, de secrets de santé

Image : Autant certaines parties de la montagne auvergnate sont rudes, sévères, quasi-tragiques, bien faites pour les exploits des grandes compagnies de jadis, autant la plaine est paisible, fertile, faite pour la douceur de vivre. La Limagne est à cet égard une terre illustre. Ici, la force lente et magnifique des boeufs prépare les récoltes qui feront l’orgueil des granges

Image : Une cour de ferme que la lumière d’un matin d’été met en fête. Le menu peuple de la basse-cour s’est précipité, bec tendu, à l’appel familier de la fermière. “ O fortunatos nimium... ” ! Mais l’image d’un marché aux boeufs évoque moins la paix du coeur. L’on a durement peiné; peut-être la maladie a-t-elle visité l’étable. Les prix seront âprement discutés

Image : Le pas de la Cère, l’un des sites charmants du Cantal ou l'abondance de rivières fait foisonner les verdures. La Cère, pittoresque sur tout son parcours et notamment dans sa traversée des gorges bien connues, est aussi un éden des pêcheurs. Ci-dessous, rochers de Vendex près du Mont-Dore

Image : Sur les hauteurs, de gras pâturages semés de fermes et de boqueteaux : l'élevage est l'une des richesses de l'Auvergne. L'on distingue, dans le lointain, les montagnes de la Corrèze

Image : [L'Auvergne thermale]

Image : Le Mont-Dore, la ville aux douze sources chaudes, vue du terrain de golf (en page 26). Ici, un paysage hivernal: sur la place de la mairie de Royat, une fontaine couverte de neige. Les montagnes forment la ligne d’horizon. Au-dessous, la source hyperthermale (66°) du Dôme, située à quelque trois kilomètres de Vichy et que l’on projette d'amener jusqu’au centre thermal par une canalisation

Image : [Promenade française]

Image : De magnifiques types de planeurs, de grande envergure et d’une “ finesse ” qui est le résultat de longues et minutieuses études poursuivies tour à tour en vol et dans les laboratoires aérodynamiques. Il n'est pas exagéré de dire que ces appareils perfection nés permettent de planer presque indéfiniment

Image : [Promenade française]

Image : Ce que l’on pourra contempler, à la remorque d’un nuage, le jour ou le rêve d’Hervé Lauwick sera entré dans la pratique sportive. Mais d’Ores et déjà, ces photos prises en avion témoignent de la beauté du spectacle offert aux amateurs de « promenades françaises ». À gauche, Mézières et le pont du Gard – le nord et le midi. – Ici, le Mont Saint-Michel, puis l’immense amphithéâtre des Arènes de Nîmes un jour de courses de taureaux, qui attirèrent une véritable fourmilière : vision d’un Lilliput ou le pied de Gulliver chercherait vainement à se poser

Image : Qui n’a été tenté, au moins une fois dans sa vie, par le sort du chemineau, depuis surtout que Richepin l’embellit de son lyrisme ! Mais le poète, encore qu’il connut l’essor de l’aviation, n’avait pas prévu le vagabondage aérien, merveilleusement hasardeux, des futurs planeurs au long cours qui suivront la théorie des nuages comme l’amant des grandes routes suivait les romanis aux lentes caravanes... C’est couchés dans le lit du vent que nous verrons un jour l’adorable Chenonceau ou la puissante Phocée…

Image : Les trois oeuvres reproduites dans ces pages montrent la rare souplesse d’un talent qui dépasse aussi, par une espèce de force tranquille, sure d’elle, la commune mesure. Sans connaitre le modèle de cette tête d’enfant, sculptée en 1906, l'on sent la vérité de l’effigie : la mélancolie résignée de cette bouche émeut. Puis, dans le bracelet et le lustre apparaissent les dons d'invention et d’élégance de Charles Le Cour

Image : [Un dîner avec Elie Faure]

Image : [Adonis ou Jésus]

Image : A gauche, le Christ au tombeau de Munich et, ci-contre, celui de Milan, tous deux attribués à Botticelli. Ce sont en tout cas de grandes oeuvres et qui posent un bien curieux problème. À quels mobiles obéit le peintre Florentin lorsque, contrairement à une tradition sacrée, il donna au Christ les traits efféminés d'Adonis ? Adonaï, Adonis, dieu syrien trop charmant, déjà suspect à son origine par son hermaphrodisme, devenu franchement obscène en Phrygie, prendrait ici la place de l'Auguste crucifié ? Blasphème inexplicable. Peut-être, simplement, l’artiste fut-il séduit par la beauté d'un modèle

Image : [Dessin Humoristique]

Image : [Dessin Humoristique]

Image : Beethoven par A. Bourdelle sanguine de la collection du Docteur Julia

Image : En Haut, M. Jacques Baumer ; trois attitudes de Mlle Jeanne Chevrel et, au dessous, M. Bertheir. En bas, M. Jacques Baumer avec Mlles Andréyor et Line Noro, par L. de la Rocha

Image : [Discophilie par Émile Vuillermoz]

Image : [Les médecins littérateurs]

Image : [Lectures Georges Bernanos et Paul Morand]

Image : [L'armoire frigorifique]

Image : Les laboratoires du Docteur Debat, à Garches (S.-et-O)

Image : Régulateur physiologique de la fonction rénale

Image : L’Inorénol abaisse le taux d’urée sanguine

Image : Le Docteur Émile Forgue, Professeur de clinique chirurgicale à la Faculté de Montpellier, membre associé national de l’Académie de Médecine. (Voir page 12)

Image : [Choses humaines par Paul Valéry de l'Académie française]

Image : La faculté de médecine, à gauche de la cathédrale

Image : [Le Docteur A. Remond de Metz]

Image : Le Docteur Dartigues par J. L. Faure

Image : A gauche, femmes mois (Indochine) et ci-contre, mère congolaise. La France, qui a sauvé de la mort des multitudes d’enfants, en Asie comme en Afrique, se doit à leur conservation

Image : [L'âme de nos paysages]

Image : Le Tarn anime de ses eaux tour à tour rapides et apaisées des paysages étonnamment divers, aussi riants dans la vallée élargie qu'ils étaient sauvages dans la région des Gorges. À gauche, et en haut, le Tarn entre Sainte-Énimie et la Malène ; en bas, les gorges à la sortie des détroits. Puis, ci-dessous, Castelbouc

Image : Une vue de Carcassonne que dominent les tours pointues et les créneaux des fortifications médiévales. La, peut-on dire, toutes les pierres sont imprégnées d’histoire guerrière : celle, notamment, des croisades contre les albigeois. Ci-contre, Ax-les-thermes, la petite ville ariégeoise, charmante, extrêmement riche en eaux sulfureuses

Image : Albi qui ne mérite pas seulement sa célébrité par une cathédrale splendide. Ce monument insigne et l’archevêché, les ponts, les demeures d'autrefois — pierres et briques rouges ou fauves — forment un ensemble qui, au moins par sa couleur, est probablement unique au monde. Le Tarn coule au milieu, émeraude ou parfois rouge brique

Image : [Rome en France]

Image : Dédiée à Caius et à Lucius, fils adoptifs d’Auguste, la maison carrée faisait partie du forum nîmois. Ici, le jardin de la Fontaine à Nîmes. Au XVIIIe siècle, sur les vestiges des thermes, l’ingénieur maréchal rétablit les balustres, les bains, les parterres qui ornaient la source sacrée de Némausus, au temps d’Auguste. Au bord de cette source sont les ruines pittoresques du "temple de Diane

Image : Vestige d'une église du XIIIe siècle détruite par les huguenots. Le clocher de Saint-Etienne, à la fois roman et gothique, contraste avec le style général du sanctuaire rebâti à Uzès, à la fin du XVIIIe siècle. La tour Fenestrelle est, elle aussi, un vestige de la cathédrale détruite en 1621, au cours des guerres de religion et rebâtie au XVIIe siècle. Son campanile, à dire d’expert, daterait du XIe siècle / En page 27 : Uzès. — Ce pont à la vénitienne, bâti par le baron de Castille, reliait son hôtel, curieux édifice de style empire, aux jardins situés de l’autre côté. Cette terrasse, ourlée de balustres, voisine du pavillon ou racine composa, dit-on, sa première tragédie, faisait partie du jardin épiscopal. Elle domine le vallon de la fontaine d’Eure, la source amenée jadis à la fontaine de Nîmes, par l’aqueduc majestueux du pont du Gard

Image : [Rome en France]

Image : Les remparts d’Aigues-Mortes et la tour de Constance. Qui aurait été bâtie par les romains. Elle a été aménagée en Bastille, au moyen âge. Au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, elle a servi de prison, pour les protestants rebelles aux dragonnades. À sa pointe, dans une corbeille de fer, on entretenait un brasier, la nuit

Image : Aigues-Mortes, inséparable du souvenir de Saint Louis. Les remparts purent édifiés sous le règne de Philippe Le Bel. Intacts, au milieu des salines et des marais, ils constituent un document des plus éloquents-et sans doute le plus authentique — sur les villes fortifiées du moyen âge. Ci-dessous, porte dans les remparts

Image : [A propos d’une exposition à Nice]

Image : Page 30, un détail de la vénus anadyomène. Le peintre Amaury-Duval, qui fut l’élève d’Ingres, à écrit dans ses curieux souvenirs, au sujet de cette œuvre admirable : «  il existe peu de choses qui m’aient produit une aussi vive émotion… il me sembla que c’était ainsi que devait être la peinture d’Apelle ». Jugement qui implique l’idée d’éternité. Or, si cette vénus mérite la durée, serait-ce pas grâce au dessin qui est « La probité de l’art ». Ici, une étude d’Ingres (Détail), autre illustration de sa maxime favorite

Image : Baigneuse d’Ingres, dessin (Détail) de la collection Bonnat

Image : L’une des études d’Ingres pour l’odalisque (Musée du Louvre)

Image : [Toulouse Lautrec]

Image : Page 34, La goulue, de face et, ici, dansant vis-à-vis de valentin le désossé, au Moulin-Rouge. L’on doit au gout singulier de Toulouse-Lautrec pour les lieux de plaisir un témoignage que rien ne pourrait remplacer, s’il disparaissait, sur certains aspects d’une époque passée. L’ancien moulin-rouge a connu le jazz après le cancan… mais peut-être reverra-t-on, car tout recommence, les danses d’une nouvelle goulue et les gouts « Fin de siècle » qui permirent, Toulouse-Lautrec aidant, qu’elle fut célèbre

Image : « ’L’Historiographe trépidant des expressions et des manières d'être de son temps scrutait encore plus les visages qu’il ne s’exerçait à fixer les silhouettes ”, écrit Thiébault-Sisson. Cette étude de Jane Avril montre la forme d’art préférée du maitre dessinateur

Image : La goulue (De dos) et sa soeur. Ci-dessous, miss May Belfort chantant devant la rampe, en robe jaune et portant un chat noir dans ses bras. Les visages féminins de Toulouse-Lautrec dégagent presque toujours une poignante émotion. Il a peint des âmes tragiquement lasses

Image : [L'archaïsme et Aristide Maillol]

Image : Pomone et la femme accroupie. F. Vallon a dénoncé la mélanisation de la première. On aperçoit ce que Maillol a « ajouté d'Hottentot à la petite déesse ». Mais le paganisme de cette fécondité est adorable, et divine la simplicité de son offrande. La femme accroupie évoque, selon la belle expression de L. Werth, s’appliquant précisément à l’oeuvre de Maillol « la paix des corps sculptés, dont les volumes se lient aux volumes, comme les montagnes aux montagnes »

Image : Aux jardins des tuileries, cette figure funéraire veille sur la mémoire offensée de Cézanne. Sa moue et ses grands yeux graves disent son émotion. Elle est longue, flexible et fine comme une baigneuse du peintre. Car, sourd, cette fois, aux exigences d’une esthétique qui lui prescrit de mieux équilibrer la forme humaine, le sculpteur n'a pas épaissi les membres inférieurs. Il n’a pas corrigé la créature du bon dieu et la muse de Cézanne ignore “ l’éléphantiasis ” des femmes de Maillol. Si vivante et si souple malgré son hiératisme, elle se soulève à demi sur la raide draperie pour montrer au passant le rameau toujours vert, tardive consolation des génies méconnus par leur temps

Image : [Charles Guéret médecin, poète et imprimeur]

Image : [Paul Dardé tailleur de pierres]

Image : Deux aspects du talent de Paul Dardé : une « femme pâmée » et " le faune ” qui, au salon de 1920, révéla de façon sensationnelle le sculpteur inconnu la veille. Deux aspects aussi, de la volupté. Mais la femme a une expression quasi dramatique et le faune un rire menaçant et ces deux oeuvres évoquent avec une égale maitrise la plus redoutable des puissances

Image : [Au port]

Image : Des Pyrénées à l'océan, la Garonne se soumettait au vouloir humain, fécondant les champs, dispensant la lumière, communiquant sa force aux instruments de labeur. Il y avait, de loin en loin, au bord des routes, des postes distributeurs d’électricité, que l’on appelait des " fontaines d’énergie ’’. Et, le Languedoc ayant enfin creusé son canal, s’enorgueillissait des grands navires traversant ses plaines

Image : [Au port]

Image : Tout ce que le concours intégral des forces naturelles avait apporté de soulagement à la peine des hommes, l’audace des conceptions en bénéficia. Et les loisirs élargis permirent d'incessantes recherches d’art. Les ponts jalonnaient la plaine de leurs élévations colossales et les usines avaient une superbe de temples

Image : [Le Languedoc joueur de balle]

Image : [Le Languedoc joueur de balle]

Image : De gauche à droite, assis au premier rang : MM. les prof. Bezançon et Jean-Louis Faure, de l’Académie de Médecine ; Achard, de l’Institut ; le maréchal Franchet d’Espérey ; G. Hanotaux, de l’Académie Française; l’amiral Lacaze ; H. Bordeaux, de l’Académie Française; le prof. Desgrez, de l’Institut; Desvallières, de l’Académie des Beaux- Arts. Au second rang: prof. agr. Donzelot ; Mme Anna Marsan ; prof. agr. Pasteur-Valéry-Radot ; Cl. Serveau ; Dr Wiart ; M. Monteil ; Mme Mad. Luka ; prof. Coutières, de l’Ac. de Méd. ; médecin gal Cadiot; pharmacien gal Bloch; prof. Laignel-Lavastine; médecins généraux Rouvillois et Lasnet; prof. agr. Obertin ; prof. Lereboullet. Derrière le second rang : M. Merveau ; prof. agr. Basset ; Drs Roussel, Marquezy, Dodart des Loges ; M. Ledieu ; prof. agr. de Gaudard d’Alaines ; Dr Vallon et, au-dessous, Dr Louis Ramond ; Dr Guimbellot; Kvapil ; Drs Débat et Viau ; Jacquelin et, au- dessous, Dr Cathala ; J. Hérissay ; Drs Bonnet-Roy, Perrier, Caïn, Guilbert ; prof. agr. Vaudescal ; Bilis ; Dr Dupuy de Frenelle ; de Laire et, au-dessous Dr Maingot; Otton Friesz; O. Bailly ; Dr Haret, M. Delange. Le prof. Hutinel, les Drs Luc Durtain, Crouzon et Crinon, assistaient aussi au dîner

Image : Le banquet (dans le salon de l’hôtel George V, ou fut signé le plan Young le 7 juin 1929). M. Hanotaux avait à sa droite M. l'amiral Lacaze et à sa gauche M. le Prof. J. -L. Faure. En face de lui, le maréchal Franchet d’Espérey avait à sa droite M. H. Bordeaux et à sa gauche M. le Prof. Ch. Achard

Image : [Discophilie par Émile Vuillermoz]

Image : Les organes employés à la préparation du Pancrinol et de l’Inorénol sont de toute première qualité. Un vétérinaire spécialiste attaché à nos Laboratoires vérifie, chaque jour, leur qualité irréprochable

Image : Un Docteur ès sciences, assisté d’un pharmacien, exerce un contrôle rigoureux et continu sur les matières premières et sur les produits en cours de fabrication

Image : Dans nos Laboratoires de Physiologie nous nous assurons de l’activité et de l’innocuité de nos préparations opothérapiques

Image : Dans le département antivirus-thérapique les bactériologistes examinent chaque jour les souches microbiennes et les cultures destinées à la préparation de l’Inosepta et de l’Inoxyl