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Demenÿ, Georges .
Paris : Fournier, 1909.
Cote : 65254.
La couverture manque.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 388 page précédente 251-388
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Image : Le professeur Marey (1830-1904). Initiateur de la méthode graphique en physiologie (Cliché Nadar)
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Image : Première installation ayant servi de laboratoire à MM. Marey et Demeny avant la fondation de la station physiologique (1881)/ Panorama des b^^aliments et installations de la station physiologique du Parc des Princes en 1889. Dans ce laboratoire ont été faites les premières expériences de chronophotographie et les études sur les mouvements
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Image : Fig. 56. Fiche individuelle, mensurations importantes à prendre sur un sujet pour se rendre compte de sa conformation
299 Photographies à travers un réseau
Image : Fig. 56. Réseau millimétré placé devant un sujet photographié
300
Image : Fig. 57. Plate-forme tournant pour photographier un sujet successivement sous différents points de vue / Fig. 58. Profils d'après la superposition des images photographiques d'un sujet aux phases extrêmes de l'inspiration (trait ponctué) et de l'expiration (trait plein)
301 Photographies composites. Analyses cinématiques
Image : Fig. 59. Sujet en expérience portant des baguettes indicatrices pour explorer et amplifier les changements de courbure de la colonne vertébrale et les mouvements du thorax
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Image : Fig. 60. Ecran noir formé d'un hangar profond couvert de velours noir pour prendre sur un même plaque des images chronophotographiques successives d'un sujet en mouvement. Les appareils sont placés dans la chambre roulante
303
Image : Fig. 61. Appareil chronophotographique de Marey/ Fig. 62. analyse chronophotographique d'un saut de haie épreuve obtenue sur une même plaque devant un fond noir (méthode Marey)
304 Images partielles
Image : Fig. 63. Sujet vêtu de noir et portant des points et lignes blanches pour indiquer ses différents segments articulaires / Fig. 64. Analyse chronophotographique d'un pas de course au moyen de la méthode des photographies partielles de Marey
305 Images cinématographiques
Image : Fig. 65. Appareil chronophotographique réversible Demeny (1893) à bandes de 6 centimètres
306 Méthode graphique
Image : Fig. 66. Coupe du dynamographe montrant la disposition pour explorer la pression normale et les pressions tangentielles en avant en arrière du pied sur le sol
308 Appareil de mensuration
Image : Fig. 67. Appareil pour explorer le durcissement des muscles pendant leur contraction ou leur tonicité pendant le repos/ Fig. 68. Sujet portant au bras l'appareil explorateur du durcissement de ses muscles
309
Image : Fig. 69. Rachigraphe destiné à tracer les courbures du rachis sur deux feuilles de papier dans deux plans rectangulaires
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Image : Fig. 70. Conformateur à main/ Fig. 71. Conformateur double destiné à prendre les coupes verticales du corps
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Image : Fig. 72. Thoracomètre à fiches prendre les sections horizontales de la poitrine/ Fig. 73. Sections horizontales et sections verticales correspondantes du corps avec les mouvements respiratoires
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Image : Fig. 74. Influence des mouvements respiratoires profonds sur la durée nécessaire à ramener le calme dans la respiration après une course
323
Image : Fig. 75. Tracés des battements de l'artère radicale pendant un effort de A en B, la pression monte pendant l'effort, mais la manière de cesser cet effort brusquement ou progressivement sur la chute de la pression artérielle et sur la rentrée du sang veineux dans le thorax
325 Note VI. Fatigue du muscle dans les efforts statiques
Image : Fig. 76. Loi d'allongement du muscle raccourci en contraction statique sous l'action d'un poids dont la valeur augmente. Les courbes 1, 2, 3, 5, 7 kilos. Le temps est compté en minutes sur la ligne des abscisses
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Image : Fig. 77. Structure d'un muscle gros et court et d'un muscle long et mince comparée à leur mode de travail et adapté à la force ou à l'étendue des mouvements
328
Image : Fig. 77. Variation de l'effort du membre inférieur sur le sol pendant différentes marches. Cet effort est décomposé en effort normal et efforts tangentiels positif dans le sens de la progression, négatif en sens contraire
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Image : Fig. 78. Analyses simultanées et synchrones du mouvement de la jambe et de la pression normale et tangentielle en avant et en arrière pendant l'appui du pied. Les images et les valeurs de la pression correspondent à des 45° de seconde
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Image : Fig. 78 bis. Effort normal et tangentiel de la jambe dans la marche le corps penché en avant ou avec une charge/ Fig. 79. Décomposition de l'effort de la jambe dans une course de fond et une course de vélocité
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Image : Fig. 80. Mouvement de la jambe et pressions normale et tangentielles du pied sur le sol pendant un appui du pied dans la course. Les chiffres indiquent des 45e de seconde
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Image : Fig. 81. Effort de la jambe, ses composantes normale et tangentielle dans le départ et l'arrêt de la course/ Fig. 82. Effort normal et tangentiel du pied dans un saut en longueur de pied ferme
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Image : Fig. 83. Composantes normales et tangentielles de l'effort de la jambe dans deux sauts avec élan en longueur et en hauteur/ Fig. 84. Tracées de la pression du pied dans la chute de deux sauts en longueur, l'un (1) à la française, l'autre (2) à la suédoise
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Image : Fig. 85. Décomposition de l'effort de la jambe dans la marche sur un terrain incliné
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Image : Fig. 86. Courbes de la pression normale du pied sur le sol pendant l'amortissement de deux sauts en profondeur/ Fig. 87. Courbe de la vitesse verticale de la hanche dans un saut en profondeur exécuté avec l'aide des bras et souplesse (trait plein) et à la suédoise (trait ponctué). On voit la vitesse être brusquement arrêtée dans le second cas
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Image : Fig. 88. Comparaison des trajectoires de la tête et de la hanche dans deux sauts en longueur de pied ferme exécutés selon la méthode suédoise (trait plein), et française (trait ponctué). On voit dans le dernier la chute se prolonger et la vitesse du corps s'annuler progressivement
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Image : FIG. 89. 1. Courbes de la vitesse horizontale de la tête dans deux sauts en longueur effectués : l'un (trait plein), à la manière française; l'autre (trait ponctué), à la manière suédoise. 2. Courbes de la vitesse s'annuler plus brusquement dans le saut suédois, ce qui correspond à une tension plus forte des muscles que dans le cas d'un amortissement moelleux et progressif. Cette tension est mise en évidence dans les tracés dynamographiques normaux et tangentiels à droite de la figure où l'on voit les pressions normales et tangentielles du saut suédois (à l'extrême droite) n'avoir pas de durée mais acquérir une grande valeur
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Image : Fig. 90. inclinaisons différentes. Du membres inférieur par rapport à la direction de la vitesse au moment de la chute d'un saut en longueur
343
Image : Fig. 91. Analyse chronophotographique sur plaque fixe et sur fond noir d'un coup d'épée (Coup droit progressif)
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Image : Fig. 92. Epure tirée de l'épreuve chronophotographique précédente où sont indiquées les positions synchrones de la hanche, de la tête, de l'épaule, du poignet et de la pointe de fleuret avec leurs trajectoires respectives, à des intervalles d'1/45 de seconde. On voit ainsi comment la trajectoire de la pointe est engendrée
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Image : Fig. 93. Courbes de la vitesse horizontale de la pointe, du poignet, de l'épaule et de la hanche dans le coup droit exécuté progressivement
347 Note XI. La vitesse du coup de poing
Image : Fig. 94. Courbes de la vitesse de la pointe, du poignet, de l'épaule et de la hanche dans le coup droit exécuté brusquement
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Image : Fig. 95. Disposition pour mesurer la vitesse du coup de poing et tracés obtenus donnant en 100e de seconde la durée relative de l'acte nerveux et celle de l'exécution avec l'intensité du coup
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