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Luys, Jules.
1860.
Paris : imprimerie de Schiller aîné
Cote : 90975.
Concours pour l'agrégation en médecine
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de pages : 32
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 1  [Page de titre]
 2  [Liste des professeurs]
 3  Doit-on admettre une fièvre puerpérale ?
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 5  I - Et d'abord l'épidémicité
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 8  II - Un des arguments les plus puissants que l'Ecole de la maternité invoque en sa faveur, c'est la contagion
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 10  III - La fièvre puerpérale est si bien un principe malade qui se propage par contagion, que le médecin lui-même peut servir de transmission pour porter avec lui à distance le germe de la maladie
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 12  IV - Un autre argument en faveur de l'essentialité de la fièvre puerpérale, c'est la mortalité extraordinaire qui sévit sur les fœtus et les enfants nouveau-nés
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 15  V - Voyons maintenant la symptomatologie
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 17  VI - D'une autre part, sur quelles preuves s'est-on appuyé pour soutenir que la fièvre puerpérale sévissait et sur la femme enceinte et sur la femme en travail ?
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 21  VII - Autre preuve de l'essentialité : les lésions observées sur les femmes mortes de fièvres puerpérales ont été nulles / VIII - Un des caractères des fièvres essentielles, a-t-on dit, c'est de présenter une allure irrégulière des formes variées
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 23  VIII - Que dire enfin des altérations du sang que l'on a signalées dans la fièvre puerpérale ?
 24   IX - Puisque l'existence d'une fièvre puerpérale, comme cause de mort chez les femmes en couches, n'est pas démontrée, de quoi donc meurent-elles, comment meurent-elles ?
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 30  X - Ainsi pour nous, nous n'admettons pas l'existence d'une fièvre puerpérale
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