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tome 86. - Paris, 1948.
Cote : PF92.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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314 Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 4. La surface granulaire assure non seulement rétention tangentielle mais aussi la rétention frontale
Pl. I Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 1. Surfaces à rétention tangentielle / Fig. 2. Surfaces à rétention tangentielle assemblées en un dièdre / Fig. 3. — Des surfaces à rétention tangentielle appliquées aux parois d’une cavité ou à la surface d’un cylindre constituent une rétention puissante / Fig. 7. Grains d'alumine sous le microscope
315 Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 5. — En A où l’on éprouve la rétention tangentielle, tous les grains travaillent en subissant des efforts de cisaillement. En B, c’est la rétention frontale qui est éprouvée, les grains marqués d’une flèche ne travaillent pas, les autres subissent des efforts de traction
316 Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 6. — En A, des grains cubiques jointifs reproduisent la surface traitée. En B, l’espacement des cubes libère leurs 4 faces latérales
320 Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 8 et 9. — (Décollements sur vulcanite), les fléches indiquent les zones de décollement. Les dents rugueuses restent adhérentes à la vulcanite / Fig. 10. On peut observer aussi, des décollements sur éprouvettes d’acrylicque
Pl. II Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 11. Ces dents sont fixées par Une quelconque de leurs faces ou cuspides. En A, sur une lette réglette de vulcanisate. en B, sur une réglette d'acrylique; on les casse plus souvent en voulant les arracher / Fig. 12. Ces dents privées de leurs crampons ont été fixées sur des socles de vulcanite, on les casse en cherchant à les détacher / Fig. 12 bis. — Ces dents a tube sont fixées sans tenon par Leurs faces gingivales à des socles d’acrylique transparent
Pl. III Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 13. — Il a fallu casser ces dénis pour les détacher de leur support acrylique / Fig. 13 bis. — Diatos incisives tenues par Le plat de leur queue d’aronde ; celle de droite a pu être cassée sans lâcher son support de résine / Fig. 15. — Dents préparées pour le ??? des éprouvettes (A et H). En C, éprouvette en acrylique transparent prête à l’essai / Fig. 16. — En A et B, on observe que les crampons lisses de platine s’extraient facilement de la vulcanite rouge
321 Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Schéma du montage des éprouvettes destinées à comparer l'efficacité de la rétention granulaire et des rétentions classiques
Pl. IV Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 17. — En A dans la vulcanite rose les crampons à tête lachent facilement. En B, dans la vulcanite dure c’est la dent qui casse / Fig. 18. — 2 éprouvettes avec crampons à tête et vulcanite dure : ce sont les crampons qui font casser la porcelaine / Fig. 19. Epreuves sur diatos. En A et B, éprouvettes vulcanite. En C éprouvette acrylique (Dents cassées aux trous) / Fig. 19. Epreuves sur diatos. En A et B, éprouvettes vulcanite. En C éprouvette acrylique (Dents cassées aux trous) / Fig. 20. — Montage d’un éprouvette pour essai de traction
Pl. V Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 21. Machine dynamométrique ayant servi aux essais de traction / Fig. 22. En A éprouvette acrylique dent à crampons platine lisses. Rupture : 12k750. En B, molaire crampons à tète sur acrylique. Rupture : 8k500 / Fig. 23. Eprouvettes acrylique : en A crampons à tête. Rupture : 16k500. En B diato prémolaire : rupture 9k500. En C diato prémolaire : rupture 5k500
Pl. VI Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 24. — Eprouvettes acryliques : en A diato molaire. Rupture : 4k600. En B, dialo molaire. Rupture : 17k600 / Fig. 26. — Encombrement comparé d'une très grosse canine à rétention granulaire et d’une petite canine diato / Fig. . 28. — Dents expérimentales plates et à talon, sans leurs grains,montrant leurs concavités internes / Fig. 27. Diatos amincies à l’extrême solidement retenues sur acrylique malgré des fractures intercuspidiennes
323 Travaux originaux. La couche granulaire rétentive moyen nouveau de fixation des dents artificielles de céramique par Paul Gonon et René Lakermance
Image : Fig. 25. La section utile d’une dent à crampon est inférieure à la section d’une dent mince à rétention granulaire
345 Travaux originaux. Les alginates par Ch. Bonsack
Image : Fig. 2. — Coupe schématique d’une empreinte mod / Fig. 3. — Vue occlusale d’une empreinte mod
347 Travaux originaux. Les alginates par Ch. Bonsack
Image : Fig. 4. A : modèle exécuté d’après une empreinte combinée kerr-cire molle bords toujours légèrement arrondis. — B : avec empreinte d’alginate (Angles droits parfaits)
348 Travaux originaux. Les alginates par Ch. Bonsack
Image : Fig. 5 a / Fig. 5 b. — Remplacement d'une dent à tube par Une dent en résine à insertion jugale / Fig. 5 c. — Coupe au milieu de la hauteur du pont
385 Nécrologie. M. Louis Monet
Image : M. Louis Monet
392 Travaux originaux. Considérations sur la stabilisation et le montage des prothèses complètes par R. Marguerite
Image : Légende des dessins schématiques : F = ligne faitière / O = plan d’occlusion / CA = plan horizontal de Camper / AB = génératrices du cône de sustentation / M = ligne médiane / L = courbe latérale ou de Spèe / GA = grand axe des porcelaines / CF = courbe frontale
393 Travaux originaux. Considérations sur la stabilisation et le montage des prothèses complètes par R. Marguerite
Image : IX coupe frontale et cone de sustentation / X tracé de l’arcade dentaire / X/ XI/ XIIprothèse inférieure montée sur calotte sphérique
409 Travaux originaux. Technique et appareillage pour la réduction et la contention des disjonctions cranio-faciales par Eugène Goubard
Image : Pièce offerte au µ Musée de l’µ École µ Dentaire de µ Paris par Notre confrère µ Eugène Goubard
459 Travaux originaux. Essai sur la résistance des matériaux dentaires (Contribution aux travaux de la Commission des alliages à usage bucco-dentaire du C. E. M. D. E. N. T) par Ch. Bennejeant (À suivre)
Image : Fig 3. — Résultantes et composantes vestibulaires (Les prémolaires droites. L’action égale de la réaction. La somme n’est pas arithmétique, mais géométrique. L’occlusion intercalaire, très proche de la verticale, en permet une présentation simplifiée
461 Travaux originaux. Essai sur la résistance des matériaux dentaires (Contribution aux travaux de la Commission des alliages à usage bucco-dentaire du C. E. M. D. E. N. T) par Ch. Bennejeant (À suivre)
Image : Fig. 4. — Les efforts verticaux de la mandibule agissent à la manière d’un marteau sur l'enclume formée par La mâchoire supérieure
465 Travaux originaux. Essai sur la résistance des matériaux dentaires (Contribution aux travaux de la Commission des alliages à usage bucco-dentaire du C. E. M. D. E. N. T) par Ch. Bennejeant (À suivre)
Image : Fig 7. — Courbes extrêmes de traction. — 1° Rupture plastique : Or pur re 3 kg /mmq Rm 11 kg /9 mmq. Rr 5 kg 2/mmq. Argent pur re 8 kg /mmq. Rm 20 kg /mmq. Rr 18 kg /mmq. — 2° Rupture intermédiaire : Alliage d’or à 750/1000 (Cu 250), re 41 kg, 5 /mmq. Rm 52 kg. 5 /mmq. Rr 52 kg. 1 /mmq. — 3° Rupture fragile : Vega 1 d’Holtzer Re 85 kg /mmq. Rm 101 kg /mmq. Rr 100 kg /mmq
467 Travaux originaux. Essai sur la résistance des matériaux dentaires (Contribution aux travaux de la Commission des alliages à usage bucco-dentaire du C. E. M. D. E. N. T) par Ch. Bennejeant (À suivre)
Image : Fig. 8. — La bonne résistance à la compression de la fonte grise l’a fait utiliser comme socle de fauteuil dentaire. La forme adoptée est celle d’un solide d’égale résistance
474 Travaux originaux. Essai sur la résistance des matériaux dentaires (Contribution aux travaux de la Commission des alliages à usage bucco-dentaire du C. E. M. D. E. N. T) par Ch. Bennejeant (À suivre)
Image : Fig. 11. — La force d’un ressort dentaire ne croit pas proportionnellement au diamètre, de son fil (Dont les spires ont un rayon fixé à 1,25 m /m. ). La charge pratique unitaire dépend pour chaque métal ou alliage, d’un facteur G, qui correspond au 2/5 du module d’élasticité. Ce sont les métaux à module d’élasticité élevé, qui donnent les ressorts les plus fins et les plus élastiques. Tous les ressorts dentaires actuels subissent d’emblée la déformation parmanente. Ils n’ont du ressort que la désignation commerciale
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