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1914, Articles originaux. -
Masson et Cie,
1914.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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36 Extirpation de l'oesophage thoracique pour cancer à l'aide de la respiration artificielle Par Amédée Baumgartner... / Sociétés de Paris. Société médicale des hôpitaux. 9 janvier 1914 / Société de biologie. 27 décembre 1913 (fin)
Image : Figure 1. A, Tuyau adapté à la soufflerie; B, Flacon à eau chaude; C, Passage d'air pur; D, Flacon à mélange anesthésique; E, Appareil à anesthésie; F, Glisseur obturant à volonté; G, Orifice de sortie de l'air expiré; H, Arrêt aux arcades dentaires du tube intratrachéal; I, et K, Arrêt à la glotte
44 Technique de l'anesthésie locale dans la colpo-périnéorraphie. Par M. Léon Kendirdjy...Technique de l'anesthésie locale
Image : Figure 2. Colporraphie antérieure. Deuxième piqûre faite en territoire déjà anesthésié, l'aiguille se dirigeant vers la gauche de l'opérateur / Figure 3. Colporraphie antérieure. La moitié gauche (droite de la malade) de la muqueuse est anesthésiée / Figure 4. Colporraphie antérieure. Toute la muqueuse de la paroi antérieure du vagin est anesthésiée, sa couleur est blanchâtre et elle semble oedématiée / Figure 5. Colporraphie antérieure. Quatre pinces délimitent le fragment losangique de muqueuse qu'il faudra tout à l'heure exciser / Figure 6. Colpo-périneorraphie. Première piqûre faite avec l'aiguille courbe, sur la ligne médiane et au-devant de l'anus / Figure 7. Colpo-périnéorraphie. Deuxième piqûre faite dans le territoire de la première, et remontant le long du bord droit (gauche de l'opérateur) de l'orifice vulvaire / Figure 8. Colpo-périnéorraphie. L'orifice vulvaire est encadré par un bourrelet de novocaïne, qui dépasse de chaque côté les limites de dissection et, si l'on veut, de résection de la muqueuse, marquées par des croix / Figure 9. Colpo-périnéorraphie. Commencement du 2e temps : injection de novocaïne sous la muqueuse de la paroi postérieure du vagin, dans le sens des flèches, donc en remontant de chaque côté sous les parois latérales. Aiguille droite
85 De l'intubation caoutchoutée oesophagienne. Par M. Guisez
Image : Figure 1. Tube de Leyden Ranvers avec son mandrin / Figure 2. Tube de Gottstein pour sténose du cardia / Figure 3. Drains à intubation pour les sténoses cicatricielles du rhino-pharynx / Figure 4. Sonde à intubation pour les sténoses de l'oesophage / Figure 5. Drains préparés pour l'introduction / Figure 6. Vue endoscopique du tube introduit dans la sténose / Figure 7. Tube placé dans la sténose cicatricielle au tiers moyen de l'oesophage
86 De l'intubation caoutchoutée oesophagienne. Par M. Guisez
Image : Figure 8. Schéma montrant la façon dont est fixé le tube dans un rétrécissement de l'oesophage / Figure 9. Sonde à intubation placée dans une sténose inflammatoire du cardia / Figure 10. Introduction du tube dans une sténose cancéreuse
141 Une nouvelle mycose humaine. La chalarose. Par MM. H. Roger, A. Sartory et P.-J. Ménard. 1. - Etude clinique
Image : Figure 1. 1 à 4 bis. Culture en goutte pendante (bouillon Martin faiblement alcalinisé) au 38e jour. Gr. : 955 fois. 2. Formes cylindrium. 3. Formes renflées. 4. Formes oïdiennes. 4 bis. Sortes d'arthrospores. 5 à 7. Culture en goutte pendante (bouillon Martin additionné d'une petite quantité de dextrine) au 37e jour. Gr. : 600 fois. Formes filamenteuses. 6. Dislocation des éléments (cloison). 7. Formes cylindrium. 8. Formes en massue. Gr. : 1,000 fois. 9. Formes fusidium. Gr. : 1.000 fois / Figure 2. 1. Aspect d'une culture d'un mois formant voile sur bouillon Martin. Gr. : 800 fois. 2 et 3. Formes diverses sur le même milieu. Gr. : 850 fois. 4 et 5. Cultures en goutte pendante (bouillon Martin). Gr. : 600 fois. 6. Ramifications du champignon, Gr. : 600 fois. 7. Formes en massue. Gr. 800 fois. 8. Culture en goutte pendante (bouillon Martin dextrine). Gr. : 625 fois. 9 et 10. Formes diverses observées dans les vieilles cultures. Gr. : 625 fois
144 Un nouveau forceps. Le forceps correcteur. Par M. Hantcher...
Image : Figure 1. Les cuillers mobiles dans les directions A'B' et C'D' ont leurs axes parallèles, tandis que dans les positions AB et CD leurs extrémités profondes C.A. se rapprochent de façon à prévenir le dérapage / Figure 2. L'appareil vu dans sa position normale
145 Un nouveau forceps. Le forceps correcteur. Par M. Hantcher...
Image : Figure 3. Le forceps mis en place, dans une position occipito-postérieure / Figure 4. Les cuillers mobiles ont fait corps avec la tête foetale / Figure 5. Le forceps est appliqué sur le siège décomplété mode de fesses, muni des cuillers mobiles spéciales pour cette présentation
162 L'épreuve de la compression oculaire du nitrite d'amyle et de l'atropine dans le diagnostic des bradycardies totales d'origine nerveuse. L'automatisme ventriculaire provoqué par la compression oculaire et l'atropine dans les bradycardies totales. Par M. Petzetakis
Image : Figure 4. Bradycardie totale post-rhumatismale. A, la compression auriculaire a déjà commencé. Après le ralentissement du pouls, on voit sur le pouls veineux, vers la fin de la figure, la contraction auriculaire qui vient un peu après le ventricule, puis, sur la prochaine pulsation, l'oreillette vient un peu avant le ventricule (l'intervalle a-c, est très diminué). - B. (suite de la précédente). Tout au début, on voit la fusion de la contraction auriculaire et ventriculaire, ensuite il y a deux pulsations dans lesquelles la contraction auriculaire vient 1/5 de seconde ou un peu plus après le ventricule / Figure 5. Bradycardie totale ictérique. A, avant l'atropine. - B. après injection de 0,002 d'atropine / Figure 6. Bradycardie totale ictérique. Tracé du sujet qui présentait l'épreuve paradoxale de l'atropine / Figure 7. Epreuve du nitrite d'amyle. A, B, C, accélération donnée par le nitrite d'amyle dans un cas de ces bradycardies. Tracés veineux successifs depuis l'accélération maxima et au fur et à mesure que le pouls revient à la normale. - D, tracé pris au moment de l'accélération maxima dans un autre cas ; l'intervalle ac est très raccourci
184 Les protozoaires en pathologie humaine. Par M. L. Lagane. Classification
Image : Figure 5. Leishmania dan un frottis de pulpe splénique / Figure 6. Lamblia intestinalis fixé à une cellule épithéliale / Figure 7. Balantidium ayant quitté le cul-de-sac d'une glande altérée pour pénétrer dans les tissus (cas d'Askanazy) / Figure 8. Spirochaeta berbera de la fièvre récurrente algérienne (sang humain)
227 Puissance organogénique de la cellule cancéreuse. Par le Professeur Maurice Letulle
Image : Figure 3. Epithélioma cylindrique ayant perforé l'extrémité libre de l'appendice et tapissant, de ses bourgeons cancéreux, le péritoine péri-appendiculaire. - Gross.: 18/1 / Figure 4. Adénopathie cancéreuse cervicale, secondaire à un cancer de la muqueuse génienne / Figure 5. (Détail de la figure précédente.). Portion de la paroi d'un kyste épithéliomateux creusé en plein tissu réticulé d'un ganglion cervical, cancéreux secondairement à un épithélioma pavimenteux lobulé de la muqueuse buccale
238 Tumeurs endocrines de l'appendice. Par MM. A. Gosset... et P. Masson...
Image : Figure 2. Coupe transversale passant un peu au-dessous du tiret portant le chiffre 5 de la figure précédente / Figure 3. Travées néoplasiques plus ou moins épaisses, ramifiées en tous sens dans un stroma peu abondant / Figure 4. 1, Cellules bordant une cloison conjonctivo-vasculaire. 2, Une cellule dont le corps cytoplasmique est très profond conserve ses rapports avec le stroma par un pied effilé et granuleux; 3, Cellules profondes très vacuolaires, peut granuleuses
243 Bassin rétréci par absence de sacrum. Par M. P. Desfosses
Image : Figure 1. Cas de Ralph et Fitch. Garçon de 6 ans. Absence partielle du sacrum / Figure 2. Enfant de 1 an 1/2 (A. Rendu et H. Verrier, Revue d'orthopédie, 1913). Absence partielle du sacrum, malformation de l'anus, pieds bots, microcéphalie / Figure 3. Cas de Solowij. Femme de 32 ans. Absence partielle du sacrum / Figure 4. Schéma de la radiographie / Figure 5. Radiographie de la fillette Marg L... (Cliché Georges Martin)