PrésentationMode d’emploiServices associésRéutilisations

Liste des pages

 
Froment, Jules.
Lyon, G. Patissier, 1927.
Cote : 110133 vol. CLX n° 3.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 185 1-185
10
Image : Fig. 1. Appareillage de l'Oscillométrie simultanée
13
Image : Fig. 8 et 9. Dans ces deux cas d'hémorragie cérébrale avec inondation ventriculaire, l'irradiation longitudinale des réflexes de défense s'observe. D'où que parte l'excitation (voir flèche) elle se répercute au bras droit : or, la lésion cérébrale est à gauche
14
Image : Fig. 10. Dispositifs des tambours récepteurs et de l'appareil inscripteur, pour l'inscription simultanée à la cuisse de la contraction des muscles opposants dits antagonistes de la cuisse
Pl. III
Image : Fig. 11. Inscription simultanée de la contraction des antagonistes, quadriceps, biceps et fléchisseurs internes (demi-tendineux et demi-membraneux) / Fig. 12. Inscription de la contraction des antagonistes. (jambier antérieur et triceps sural), observée pendant la trépidation épileptoïde du pied et au moment de l’arrêt de cette trépidation provoquée, d’une part en déterminant un flexion reflex, d’autre part en déterminant un crossed extension reflex
Pl. IV
Image : Fig. 13. Le signe du journal dans la paralysie cubitale / Fig. 14. Le signe de la station accroupie dans la paralysie du nerf crural / Fig. 15. Le test de la flexion forcée des jambes et la paralysie du sciatique poplité interne
22
Image : Fig. 16. Test de la poignée de main / Fig. 17. Test de l’écartement des doigts / Fig. 18. Test de la tabatière anatomique
23
Image : Jambe normale / Jambe malade / Lorsque la jambe portante est la jambe saine, les tendons des muscles du groupe antéro-externe se dessinent comme sur celles qui sont figurées à gauche. Mais quand la jambe portante est la jambe malade, on ne peut déceler, tant par la vue que par la palpation, non plus que sur celles figurées à droite, aucune saillie de ces tendons
Pl. VII
Image : Fig. 19. L'occlusion des yeux associée au plafonnement ou Signe du plafonnement (voir photographie médiane) décèle du côté droit une parésie faciale type périphérique que le signe de Ch. Bell ne permet pas de dépister (voir photographie de gauche), et que la légère asymétrie de la mimique (voir photographie de droite) ne pourrait à elle seule permettre d'affirmer / Fig. 20. Signe de la double nuque décelant, dans un cas de paralysie du nerf spinal, l’impotence du trapèze gauche. La reconstitution du phénomène sur écorchés en montre le substratum anatomique. Ces dessins dûs à P. Bonnet donnent une idée aussi exacte que possible du signe que nous avons décrit avec lui
26
Image : Fig. 21. L'adducteur du pouce. - Mouvements qu'il commande et modes de prises qui en dépendent
Pl. VIII
Image : Opposition à l'index (court abducteur) / Opposition à l'auriculaire (court fléchisseur) typique et atypique (en pointillé) / Opposition impossible / Pseudo-Opposition / Pseudot-Opposition (long fléchisseur) / Pseudo-Opposition (adducteur) / Le bracelet opposant rétablit l'opposition a l'index devenue impossible
Pl. IX
Image : Fig. 22 et 23. Prise du porte-plume dans la paralysie du médian (attitude de suppléance) / Fig. 24 à 29. Prise d'un encrier par un blessé atteint de paralysie du médian avec et sans correction de l'attitude pathologique au moyen du bracelet opposant / Fig. 30 et 31. L’appareil à traction, sans cran d’arrêt à gauche corrige bien l’attitude vicieuse de la paralysie radiale au repos. Mais dès qu’il s’agit de faire un effort de préhension énergique, fût-ce seulement de porter une boule de buis à laquelle est suspendue 1 kilo, la main retombe entraînée par la contraction des fléchisseurs. La force, par suite, n’est nullement accrue par le dit appareil
Pl. X
Image : Cinématographie de la marche et, en haut à droite, photographie de l’attitude d'un blessé de la partie supéro-externe de la cuisse droite, atteint de contracture des muscles pelvi-trochantériens avec parésie des orteils et du pied / Contracture des fléchisseurs de la jambe consécutive à une blessure de la cuisse subsistant jusqu'à une phase avancée de la narcose chloroforrmique et reparaissant, au réveil, avant le retour des réflexes cutanés et conjonctivaux
Pl. XI
Image : Aspect des déformations : - Imbrication des doigts - main d'accoucheur - attitude du chien qui fait le beau, - toutes attitudes rappelant celles que la tétanie imprime au membre supérieur. Cinématographie d'un cas de parésie flasque de la main consécutive à une blessure du 2e espace interosseux dorsal. La main gauche oscillant passivement comme un corps inerte témoignait de la réalité de l'impotence
35
Image : 24 heures après l'accident / 48 heures après l'accident / Quatre mois après l'accident / Huit jours après l'accident / Six mois après l'accident
Pl. XIII
Image : Fig. 34. Tumeur extra-médullaire, radiographies en séries et schéma de concordance. Les radiographies antéro-postérieures ont été inversées afin que la colonne lipiodolée se présente en vue antérieure de même que la tumeur représentée en A. Le sens des flèches indique celui dans lequel s'exerçait la pesanteur au moment où était faite la radiographie (position assise : flèche dirigée vers le bas ; - position de Trendelenburg : flèche dirigée vers le haut) / Fig. 35. Tumeur intra-médullaire, radiographies en séries et schéma de concordance. A gauche, disposition schématique de la topographie médullaire ; - à droite, la tumeur médullaire ; - au centre, les radiographies antéro-postérieures avec l'indication du moment où celles-ci ont été faites par rapport à l'injection et du sens dans lequel s'exerçait alors la pesanteur (position assise : flèche dirigée vers le bas ; - position de Trendelenburg : flèche dirigée vers le haut). La tumeur remonte jusqu'aux premières dorsales mais n'atteint le maximum de son développement qu'entre le corps vertébral de DIII et celui de DIV
Pl. XIV
Image : Fig. I, cas R. Coupe des pédoncules cérébraux (Coloration par la méthode de Loyez) / Fig. II, Cas R. Coupe de la protubérance à l'union du tiers moyen et du tièrs supérieur / Fig. III, cas R. Schéma topographique de la tumeur, vue paramédiane gauche / Fig. IV. Situation respective de la tumeur et des voies oculogyres dans le cas R. (d'après le schéma de Dejerine)
Pl. XV
Image : Fig. I. Cas S. Coupe de la protubérance à sa partie moyenne (coloration par la méthode de Loyez) / Fig. II, Cas S. Dessin schématique d'une coupe de la protubérance à sa partie inférieure / Fig. III, Cas S. Schéma topographique de la tumeur, vue paramédiane gauche / Fig. IV. Situation respective, dans le cas S, du tubercule et des voies oculogyres cortico-nucléaires (schéma de Lapersonne et Cantonnet)
Pl. XVI
Image : Photographie et schéma topographique des tumeurs qui étaient développées sur les nerfs crâniens suivants : à droite V, VIII. IX, X, XI ; à gauche V, VII, VIII, IX, X et XII
Pl. XVII
Image : Fig. I. Coupe topographique de la tumeur du nerf accoustique droit (coloration par la méthode de Loyez). - Le cervelet atrophié est refoulé par la tumeur. Dans la substance blanche, on aperçoit un nodule gliomateux / Fig. II. Coupe histologique de la même tumeur (coloration hématéine, éosine, safran). - Structure classique du gliome périphérique avec aspects tourbillonnants, caractères syncytiaux, ébauche de disposition en palissades des noyaux
Pl. XVIII
Image : Dans la marche du type habituel lordose accusée (cas Tiss) / Mise en regard de la lordose de la dysbasia (cas Bob, au centre), et des figures de Duchenne de Boulogne représentant la lordose paralytique des muscles abdominaux (à gauche) et la lordose paralytique des muscles spinaux (à droite) / Dans la marche en portant : aucune lordose (cas Tiss) / Attitudes du tronc aux différentes phases du pas (cas Bob.) / Méiopragie du système des fléchisseurs du tronc ; le redressement forcé est plus aisé que normalement (cas Bob) / Dans le saut, aucune lordose (cas Tiss)
47
Image : L'ascension d'un escalier s'accompagne de lordose, si celle-ci se fait lentement, comme à gauche, mais si celle-ci se fait avec élan, comme à droite, elle redevient normale (cas Tiss.) / La descente lente d'un escalier détermine une lordose marquée (cas Tiss.) / La marche en tirant ne détermine aucune lordose et se fait normalement (cas Tiss.)
Pl. XX
Image : Dysbasia lordotica, cinématographie (Cas tiss.). a, marche du type habituel : lordose mobile accusée ; - b, saut : pas de lordose ; - d, marche en portant : pas de lordose ; - c, la dysbasie lordotique et son contraire (cas Donj. parkinsonien)
Pl. XXI
Image : Dysbasia lordotica, cinématographie (cas Tiss.). e, marche du type habituel : lordose mobile accusée ; - f, marche avec tétanisation des abdominaux : pas de lordose ; g et h, marche avec ceinture - cuissart articulée, limitant l'extension du bassin : pas de lordose
52
Image : Inclinaisons antéro-postérieures du tronc / rotations du bassin et des mouvements de torsion du tronc / bascules du bassin et inclinaisons latérales du tronc
53
Image : Schéma des oscillations imprimées au bassin et au tronc par la marche
Pl. XXIV
Image : 1, 2 et 3. Attitudes dans lesquelles le tronc n'est pas étayé et où (pose de 2 minutes), le bras tremble parce qu'il n'est pas vraiment au repos / 4 et 5. Attitudes dans lesquelles le tronc est plus ou moins bien étayé, ce qui permet au même malade de poser sans bouger si peu que ce soit 3 et 5 minutes / 6. Attitude où le tremblement s'est notablement atténué (pose de 5 minutes, bien que la main placée sur la table de champ, pouce en l'air soit peu étayée ; par contre le tronc est étayé, la tète reposant sur l'autre main bras accoudé)
Pl. XXV
Image : Le perkinsonien post-encéphalitique grand trembleur étant accoudé la tête reposant sur une main, le tremblement de l'autre main s'arrête complètement : tracé rectiligne. Cesse-t-il de s'accouder, on voit après quelques instants reparaître et s'accroître le tremblement, ce que marquent les ondulations du tracé. S'accoude-t-il à nouveau, la ligne du tracé redevient peu après rectiligne
Pl. XXVI
Image : Myogrammes enregistrant la résistance des antagonistes chez un parkinsonien à la période d'état et ses variations en fonction de l'attitude générale du corps
59
Image : Fig. 36. Dispositif expérimental adopté pour l'étude de la résistance aux mouvements passifs des muscles opposants dits antagonistes
60
Image : Fig. 37. Épreuve dite «au comptoir» (131)
Pl. XXVII
Image : Il a suffi de faire écrire sur papier réglé double trait (b) une parkinsonienne très micrographique (a) pour qu'elle trace aussitôt, sans difficulté, des lettres hautes et de grand calibre. Ecrivant 8 jours après sur papier quadrillé (c) - sans qu'il y ait eu rééducation - elle continue à adopter une écriture dont les dimensions se rapprochent de celles que lui ont imposées les doubles traits et plus encore du type d'écriture qu'elle avait avant sa maladie (reproduction sans réduction)
Pl. XXX
Image : Fig. 39. Le classique polygone du langage / Fig. 40. Le schéma que nous lui avons substitué - pour ce qui a trait à l'émission du langage, parole et écriture
74
Image : Fig. 41. - Paralysie générale venant compliquer un tabes et dont les troubles de l’élocution remontent à deux mois
75
Image : Fig. 42. - Paralysie générale chez un homme cultivé
78
Image : Fig. 43. Paraphasie en écrivant observée chez un aphasique moteur qui indiquait sans se tromper le nombre de syllabes ou de lettres du mot qu'il ne pouvait prononcer
81
Image : Psycho-physiologie du langage chez l'homme normal et chez l'aphasique
88
Image : Fig. 44. Coupe médiane et sagittale de l'hypophyse chez le singe (Herring)
Pl. XXXI
Image : Epreuve Témoin dite épreuve «à blanc» / Test biologique A. Extrait de lobe postérieur d'hypophyse / Test biologique B. Adrénaline
Pl. XXXII
Image : Fig. 1. 2, 3, 4. Bacchus antiques de type féminin (d'après le Répertoire de la Sculpture grecque et romaine de Salomon Reinach). De très belle plastique, mais purement conventionnels, ils diffèrent en tous points du Bacchus de Rubens monstrueux mais vrai / Le Bacchus de l'Ermitage (syndrome adiposo-génital)
96
Image : Fig. 45. La paroi postérieure de l'oreillette droite a été incisée verticalement de haut en bas, et horizontalement le long du sillon auriculo-ventriculaire ; le volet gauche de cette paroi complètement rabattu est maintenu par une pince
97
Image : Fig. 46. O. G., oreillette gauche ; O. D., oreillette droite ; S. V., sinus veineux ; I, septum spurium (repli formé par la paroi de l'oreillette refoulée par la pénétration du sinus veineux) ; II, valvule sinusale droite ; III, valvule sinusale gauche et sa pointe ; IV, spina vestibuli ; V, septum primum de Born ; VI, septum secundum de Born ; VII, espace intercepto-valvulaire de Rose ; VIII, foramen ovale II / Fig. 47. Même nomenclature. Le télescopage du sinus veineux dans l'oreillette s'est accentué. Il y a fusion en une cloison unique du septum primum, du septum secundum et du septum spurium avec disparition de l'espace intersepto-valvulaire de Röse. La valvule sinusale gauche est devenue la valvule oblitérant le foramen ovale II. La valvule sinusale droite va donner naissance en haut à la valvule d'Eustachi et en bas à la valvule de Thébésius ; à ce niveau, le sinus veineux (région moyenne) va constituer le sinus coronaire
Nombre de réponses : 185 1-185