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1919, n° 31, partie médicale. - Paris : J.-B. Baillière et fils, 1919.
Cote : 111502, 1919, n°31.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 532 1-250 page précédente
54 Appareillage des fractures de cuisse permettant à la fois leur traitement dans les formations des armées et leur évacuation, par MM. Georges Gross et Lucien Grimault
Image : Fig.1 et Fig. 2 Les deux schémas permettent de comprendre facilement tous les petits détails précédents, qui tous ont leur importance
92 Les accidents causés par les rayons X, par le Dr E. Albert-Weil. Accidents professionnels / Sur les spondylites post-traumatiques, par J. Cluzet
Image : Fig. 1 La radiographie obtenue le 12 avril 1918 montre une fracture avec perte de substance intéressant les 2e et 3e lombaires, à la partie inférieure externe gauche du corps de la 2e et à la partie supérieure externe gauche du corps de la 3e. Celle-ci est légèrement basculée à droite et son apophyse transverse gauche est fracturée à son extrémité
93 Sur les spondylites post-traumatiques, par J. Cluzet / Spondylites de voisinage / Spondylites à distance
Image : Fig. 2 A l'examen radiographique, effectué le 10 juin 1918, on constate une spondylite de la 3e lombaire. Un ostéophyte (bec de corbeau) est parti du bord gauche et supérieur du corps de cette vertèbre et s'est élevé par sa pointe jusqu'au niveau du bord inférieur gauche de la 2e lombaire
94 Sur les spondylites post-traumatiques, par J. Cluzet. Spondylites à distance
Image : Fig. 3 Fistule de la région dorso-lombaire droite avec suppuration légère jusqu'au 20 septembre 1917. Le 1er octobre, début brusque d'une douleur lombaire qui a persisté avec une intensité variable. Gêne des mouvements du tronc qui font penser à des manifestations rhumatismales. Un premier examen radiographique, effectué le 26 novembre 1917, montrera deux éclats d'obus dans l'angle formé par la douzième côte droite et la 1re lombaire. En outre, on distingue sur le côté droit des 1re et 2e lombaires, deux ostéophytes ayant leur base sur la partie des corps vertébraux qui correspond au pédicule / Fig. 4 Deuxième radiographie le 17 décembre 1917, après une intervention au cours de laquelle l'un des projectiles fut extrait. Les deux ombres ostéophytiques sont beaucoup plus accusées et plus homogènes ; elles se sont prolongées et forment un pont unissant, l'une la 1re et la 2e lombaires, l'autre, la 2e et la 3e lombaires
95 Sur les spondylites post-traumatiques, par J. Cluzet. Spondylites à distance
Image : Fig. 5 Afin de rendre plus facile la comparaison, nous donnons la radiographie obtenue chez un malade (quarante-quatre ans) qui nous fut adressé pour recherche de calcul rénal et chez lequel existait une lombarthrie bien caractérisée. Chez aucun de nos blessés le traumatisme n'a été accompagné d'une spondylose aussi étendue / Fig. 6 L'examen radiographique montre, avec une fracture consolidée de la diaphyse fémorale au tiers moyen, un ostéophyte au-dessus du condyle interne, dans la région où la douleur est au maximum
109 L'examen radiologique au lit du blessé, par le Dr J. Chatelain. II. Transport de tout l'appareillage radiologique
Image : Fig. 1. - Radiographie de face. Il suffit de mettre en parallélisme le plateau basal et l'axe du membre à radiographier avant de faire passer le courant / Fig. 2. - Radiographie de profil
133 Les plaies « qui traînent », par le Dr G. Milian. Plaies entretenues
Image : Fig. 3. - Plaie chirurgicalement entretenue
134 Les plaies « qui traînent », par le Dr G. Milian. Plaies entretenues / Traitement des plaies qui traînent
Image : Fig. 4. - Dermite artificielle autour d'une plaie par coup de couteau
135 Les plaies « qui traînent », par le Dr G. Milian. Traitement des plaies qui traînent / Les névrites par ischémie, par E. Duhot / Les névrites par ischémie avant la guerre
Image : Fig. 5. - Traits à l'encre tracés sur le pansement pour empêcher qu'il ne soit déplacé sans que le médecin s'en aperçoive
148 Névrites et polynévrites d'origine palustre, par le Dr Laurent Moreau. Symptomatologie
Image : Fig. 2. - Paralysie faciale palustre, à droite, accompagnant une polynévrite des membres inférieurs
149 Névrites et polynévrites d'origine palustre, par le Dr Laurent Moreau. Symptomatologie
Image : Fig. 3. - Polynévrite palustre des membres inférieurs / Fig. 4. - Pied gauche tombant par paralysie du sciatique poplité externe
171 Classification anatomo-clinique des pneumothorax spontanés chez les tuberculeux, par le Dr Ch. Sabourin. I / II. Pneumothorax de la grande cavité de la plèvre
Image : Figures 1 et 2 Le premier a trait à un jeune homme portant de très graves lésions scissurales du poumon gauche avec localisation insignifiante sur le côté droit
172 Classification anatomo-clinique des pneumothorax spontanés chez les tuberculeux, par le Dr Ch. Sabourin. II. Pneumothorax de la grande cavité de la plèvre
Image : Figures 3 et 4 Les plus volumineux refoulent le tiers, la moitié, les deux tiers d'un poumon, en un mot tout ce qui est libre d'adhérences là où l'air peut s'infiltrer / Figures 5 et 6 Parmi les plus restreints, les uns forment une poche qui refoule plus ou moins le parenchyme pulmonaire comme le font les précedents / Figures 7 et 8 Les autres semblent s'étaler comme un matelas d'air sur la surface du poumon et méritent vraiment le nom de superficiels
174 Classification anatomo-clinique des pneumothorax spontanés chez les tuberculeux, par le Dr Ch. Sabourin. III. Pneumothorax médiastiniques ou juxta-médiastiniques
Image : Figures 9 et 10 Le schéma peut donner une idée d'un pneumothorax juxta-médiastinique proprement dit avec symptômes de tumeur interne amenant rapidement la mort / Figures 11 et 12 Le schéma, au contraire, concerne un pneumothorax de la loge pleurale péricardique
176 Classification anatomo-clinique des pneumothorax spontanés chez les tuberculeux, par le Dr Ch. Sabourin. IV. Les pneumothorax scissuraux ou interlobaires / V. Pneumothorax médiastino-interlobaires
Image : Figures 13 et 14 Du côté droit, le pnuemothorax peut occuper seulement le segment horizontal ou supérieur de l'interlobe : il peut s'étendre aux deux segments / Figures 15 et 16 Tantôt il est restreint aux parties centrales de l'interlobe, les marges scissurales étant largement soudées ; tantôt il occupe presque tout l'espace interlobaire, son volume son siège, sa forme dépendant de l'état de la plèvre scissurale avant la perforation
177 Classification anatomo-clinique des pneumothorax spontanés chez les tuberculeux, par le Dr Ch. Sabourin. V. Pneumothorax médiastino-interlobaires
Image : Figures 17 et 18 Le pneumothorax médiastino-interlobaire peut être plus ou moins partiel, occupant une portion de la plèvre médiastine et envahissant le segment supérieur de l'interlobe à gauche par exemple / Figures 19 et 20 et à droite. Il peut être plus ou moins vaste, descendant plus bas dans les régions inférieures de l'espace scissurale / Figures 21 et 22 Les schémas représentent un pneumothorax médiastino-interlobaire, d'abord presque résorbé, qui, le vingt et unième jour, envahit une nouvelle portion de l'interlobe, et une autre le trente et unième jour / Figures 23 et 24 et Figure 25 Le pneumothorax médiastinique évolua à début très angoissant ; l'accoutumance se fit, la résorption s'effectua presque totale, amenant une quasi-guérison apparente de l'hydropneumothorax au bout de six semaines
209 Pseudo-oreillons. A propos de trois observations, par le Dr Denéchau. Observation III
Image : Fig. 1 Notre troisième malade, V… Georges, quarante-trois ans, cultivateur, sans aucun antécédent héréditaire spécial, sans aucun passé, ni signe de saturnisme, part dès la mobilisation ; il est évacué en mars 1915, il aurait contracté les oreillons, sans orchite d'ailleurs
230 La part respective de la plastique chirurgicale et de la plastique artistique dans le traitement terminal des grandes mutilations faciales, par le Dr L. Dufourmentel
Image : Fig. 1, Fig. 2 et Fig. 3 représentent un cas de destruction totale du nez et de la lèvre supérieure, et les résultats donnés par le traitement chiruugical et l'application prothétique
231 La part respective de la plastique chirurgicale et de la plastique artistique dans le traitement terminal des grandes mutilations faciales, par le Dr L. Dufourmentel
Image : Fig. 4, Fig. 5 , Fig. 6 et Fig. 7 Les photographies représentant les étapes successives du blessé Loubat, permet de juger l'intérêt pratique et la valeur de cette méthode
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