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1922, n° 45, partie médicale. - Paris : J.-B. Baillière et fils, 1922.
Cote : 111502, 1922, n°45.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 616 1-250 page précédente
24 Rupture incomplète de l'aorte insuffisance aortique fonctionnelle consécutive, par le Dr L. Gallavardin et le Dr L. Gravier. Observation
Image : Fig. 2. - Coupe histologique de la rupture / Fig. 3. - Coupe histologique de la rupture
25 Rupture incomplète de l'aorte insuffisance aortique fonctionnelle consécutive, par le Dr L. Gallavardin et le Dr L. Gravier. Observation
Image : Fig. 4. - Détail des lésions du fond de la rupture / Fig. 5. - Rupture incomplète de l'aorte ; lésions athéromateuses surajoutées / Fig. 6. - Coupe histologique de la rupture / Fig. 7. - Détail des lésions sur le fond de la rupture
73 La torsion du cordon spermatique chez l'enfant, par le Dr Albert Mouchet. II. Considérations cliniques / III. Considérations thérapeutiques / La correction des scolioses graves par le plâtre en position d'escrime, par le Dr Carle Roederer
Image : Fig. 1. - Le sujet, atteint d'une scoliose droite dorsale, lombaire gauche, est assis sur la fesse gauche. Il tire en avant et en haut le bras gauche, en arrière et en bas la jambe droite et détermine ainsi une double correction de ses courbures. Le plâtre est fait de bandes et d'attelles par plusieurs aides afin de gagner du temps, la position étant difficile à tenir / Fig. 2. - Pendant que le plâtre sèche, les aides déterminent par des pressions et des tractions indiquées sur la légende, une torsion correctrice de chacune des rotations suivant l'axe
74 La correction des scolioses graves par le plâtre en position d'escrime, par le Dr Carle Roederer / Le plâtre en escrime
Image : Fig. 3. et 4. - Plâtre posé pour une scoliose totale gauche / Fig. 5. - Face antérieure. Noter, au-devant de la cuisse gauche, la brièveté du corset due à la flexion de la cuisse pendant la confection du plâtre / Fig. 6. et 7. - Etat de correction d'une scoliose dorso-lombaire gauche, après trois mois de correction en plâtre d'escrime
103 Questions de pneumothorax. La compression simultanée ou successive des deux poumons est-elle possible ? Par le Dr Hervé
Image : Fig. 1. - Radiographie de M. S..., avant la première intervention, le 14 mai 1915. Vue dorsale / Fig. 2. - En l'absence de radiographie au cours du traitement du pneumothorax, ce calque donne l'image du poumon alors que la compression du foyer tuberculeux reste encore à son maximum, et que le lobe inférieur commence à se déplisser (le 14 mai 1918)
104 Questions de pneumothorax. La compression simultanée ou successive des deux poumons est-elle possible ? Par le Dr Hervé
Image : Fig. 3. - Radiographie prise le 18 octobre 1921, avant le second pneumothorax / Fig. 4. - Cliché pris quelques semaines après la compression du poumon gauche, le 5 février 1922
137 L'examen radiologique du contour rénal, par G. Maingot / 1° Radiographie simple de la région lombaire
Image : Fig. 1. - Radiographie du rein / Fig. 2. - Radiographie du rein. Le compresseur vise directement la loge rénale / Fig. 3. - Position du compresseur en traits discontinus pour la radiographie de la figure 1, en trait plein pour la radiographie de la figure 2
138 L'examen radiologique du contour rénal, par G. Maingot.1° Radiographie simple de la région lombaire
Image : Fig. 4. - Schéma de l'image du rein et de la capsule surrénale obtenue sans insufflation
141 L'examen radiologique du contour rénal, par G. Maingot. 2° Radiographie de l'abdomen après injections gazeuses
Image : Fig. 7. - Pneumopéritoine. Le pôle supérieur des reins se confond avec le foie à droite et la rate à gauche
142 L'examen radiologique du contour rénal, par G. Maingot. 2° Radiographie de l'abdomen après injections gazeuses / 3° Examen radioscopique du rein sans insufflation colique, péritonéale ou périrénale
Image : Fig. 8. - Insufflation périrénale / Fig. 9. - Insufflation périrénale. Le gaz est injecté en deçà du feuillet de Zuckerkandl
143 L'examen radiologique du contour rénal, par G. Maingot. 3° Examen radioscopique du rein sans insufflation colique, péritonéale ou périrénale
Image : Fig. 10. - Image radioscopique du pôle inférieur du rein droit d'un sujet atteint de ptose colique avec distension gazeuse spontanée des côlons droits
149 Instrumentation pour ostéosynthèse. Un serre-ligatures à usages multiples, par J. Tourneix
Image : Fig. 1. - Mise en place d'une boucle métallique à l'aide du ligatureur / Fig. 2. - Le serre-ligatures démonté
150 Instrumentation pour ostéosynthèse. Un serre-ligatures à usages multiples, par J. Tourneix / Observation I (Dr Picot) (fig. 3 et 4) / Observation II (Dr Picot) (fig. 5 et 6) / Observation III (personnelle) (fig. 7 et 8)
Image : Fig. 3. - Fracture oblique de jambe au tiers inférieur / Fig. 4. - Cerclage par une boucle métallique ; radiographie deux mois après l'intervention / Fig. 5. - Fracture oblique de jambe au tiers moyen
151 Instrumentation pour ostéosynthèse. Un serre-ligatures à usages multiples, par J. Tourneix
Image : Fig. 6. - Cerclage par deux boucles métalliques / Fig. 7. - Fracture transversale de jambe au tiers moyen / Fig. 8. - La coaptation est réalisée par deux agrafes de Cunéo que maintiennent deux ligatures simples et une bouche métallique
187 L'importance de l'examen cytologique du suc duodénal, par le Professeur Jules Hatzieganu. Recherches personnelles
Image : Fig. 2. - Aspect microscopique du sédiment duodénal dans un cas d'ictère catarrhal grave
228 De la mobilisation physiologique et permanente du maxillaire inférieur en chirurgie maxillo-faciale, par Marcel Darcissac
Image : Fig. 1 et Fig. 2 L'appareil est constitué par deux gouttières robustes en vulcanite, qui emboîtent les arcades dentaires sur lesquelles elles répartissent uniformément la pression, condition indispensable pour l'application d'une traction élastique permanente et parfois assez forte ; ces gouttières sont munies latéralement de tubes métalliques de forme ovale, dans lesquels viennent s'emboîter quatre tiges rigides qui sortent de la cavité buccale au niveau de chaque commissure, où elles s'accolent deux à deux, de façon à ne pas gêner l'occlusion labiale ; dès leur sortie de la bouche, les tiges se recourbent en dehors et viennent s'appliquer contre la face externe des joues, où elles affectent une disposition différente, suivant que l'on considère celles qui sont solidaires de la gouttière supérieure, ou celles qui sont adaptées à la gouttière inférieure, disposition que l'examen de la figure ci-contre permet de saisir facilement. Chaque tige porte deux crochets où se fixent les anses élastiques à l'aide desquelles on abaisse et on dévie le maxillaire inférieur, et dont il est facile de graduer la force
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