Image : Fig. 1. - Schéma indiquant, d'après les travaux de Brodman et de Vogt, les rapports entre l'architectonie cellulaire (à gauche) et la myéloarchitectomie (à droite) (D'après Von Economo)

Image : Carte des champs architecturaux de la convexité (fig. 2) et de la face interne (fig. 3) de l'hémisphère cérébral

Image : Fig. 1 et Fig. 2 Parésie avec atrophie du quadriceps gauche, parésie des fléchisseurs de la cuisse sur le bassin. Affaiblissement du réflexe patellaire et du réflexe achilléen gauches. Extension de l'orteil bilatérale. L'excitation plantaire déclanche simultanément la rotation externe, la contraction du tenseur du fascia lata et de la paroi abdominale. L'élongation du crural et du sciatique, la pression de ces nerfs et de l'obturateur ne sont pas douloureuses ; la toux, l'éternuement et l'effort n'augmentent pas la douleur. Le réflexe cutané abdominal est aboli à gauche. La sensibilité superficielle (tact, piqûre, tube de glace, tube chauffé) est affaiblie ou abolie sur la face antérieure de la jambe, sur la face externe du genou, de la jambe. Les limites de l'anesthésie sont sensiblement les mêmes pour les divers modes de sensibilité ; la traction des poils ne provoque aucune douleur dans les zones d'anesthésie. Au contraire, la pression et le pincement sont désagréables sur toute la face antérieure du membre inférieur gauche, la face postérieure de la jambe, le bord postéro-externe de la cuisse

Image : Fig. 3 et Fig. 4 Dans toutes les plaques d'aréflexie, l'excitation provoquée par le passage d'un objet mousse fait apparaître une chair de poule intense au niveau de l'endroit excité (réaction locale)

Image : Fig. 5 et Fig. 6 Sur le tronc (réfion dorso-lombaire), depuis la crête iliaque jusqu'à l'union du tiers inférieur et du tiers moyen de l'omoplate, le réflexe manque dans un nombre assez considérable de zones distribuées assez irrégulièrement à droite et à gauche ; la sensibilité n'est pas altérée au niveau des plaques d'aréflexie. Le réflexe se comporte normalement partout ailleurs. Réaction locale normale

Image : Fig. 7 et Fig. 8 La plaque d'aréflexie pilomotrice persiste sur le membre inférieur gauche. En outre, à un examen plus minutieux, on constate la présence de deux plaques d'aréflexie pilomotrice : l'une située à peu près entièrement dans le territoire de la branche postérieure des cinquième, sixième, septième racines dorsales ; l'autre dans le territoire de la branche postérieure des racines lombaires : cette plaque déborde légèrement dans le territoire de la branche antérieure de L1 et de L2

Image : Fig. 8 La plaque d'aréflexie pilomotrice persiste sur le membre inférieur gauche. En outre, à un examen plus minutieux, on constate la présence de deux plaques d'aréflexie pilomotrice : l'une située à peu près entièrement dans le territoire de la branche postérieure des cinquième, sixième, septième racines dorsales ; l'autre dans le territoire de la branche psotérieure des racines lombaires : cette plaque déborde légèrement dans le territoire de la branche antérieure de L1 et L2

Image : Fig. 9 Au niveau de la plaque dorsale, la sensibilité superficielle (piqûre, froid, chaud) est nettement diminuée, le pincement est au contraire plus douloureux que dans le voisinage ou sur la zone correspondante du côté droit. Un sinapisme appliqué sur la zone aréflexique ne produit aucune vaso-dilatation, tandis que celle-ci est nette en dehors de la plaque

Image : Fig. 10 Ce malade s'est amaigri et s'est cachectisé progressivement, se plaignant des mêmes douleurs vagues mais n'ayant présenté à aucun moment des troubles d'ordre paralytique. Il a succombé le 8 janvier 1927. L'autopsie a confirmé l'existence de la cirrhose. Pendant les quelques mois qu'il a passés à l'hôpital, la glycosurie s'est montrée assez irrégulière

Image : Fig. 11 et Fig. 12 La chair de poule produite par l'excitation cervicale est facilement obtenue et irrégulière. Plusieurs zones situées sur la face postérieure du tronc et des fesses, sur la face antéro-interne de la cuisse gauche, sur l'hypocondre gauche, sont complètement aréflexiques, tandis que les grains sont très saillants dans les régions voisines. La réaction locale est conservée

Image : Fig. 13 On constate en outre une petite anomalie : après l'excitation cervicale gauche, la chair de poule déborde sur une zone très circonscrite située à droite de la ligne médiane, au niveau de l'extrémité inférieure du sacrum ; la même zone ne réagit pas lorsque l'excitation cervicale est appliquée à droite. La sensibilité et la réaction à la moutarde sont normales

Image : Fig. 1. - Projection postero-antérieure en décembre 1927

Image : Fig. 2. - Projection bilatérale gauche en décembre 1927

Image : Fig. 3. - Projection postéro-antérieure quelques jours après l'opération pour kyste hydratique pulmonaire en janvier 1928

Image : Fig. 1. - Pyélonéphrite tuberculeuse / Fig. 2. - Bonchopneumonie caséeuse

Image : Fig. 3. - Arthrite tuberculeuse de la hanche

Image : Fig. 1. - Radio-dermite ulcéreuse, état avant le traitement / Fig. 2. - Trois mois après le début du traitement

Image : Fig. 3. - État de l'ulcération en décembre 1927 / Fig. 4. - Cicatrisation complète et définitive

Image : Fig. 5. - État avant le traitement

Image : Fig. 6. - La plaie est cicatrisée