220 Examen buccal et hérédo-syphilis, par M. Hissard. Que conclure de l'étude précédente ? / Hyperkératose syphilitique foliée du pli articulaire phalango-phalanginien, par G. Milian
Image : Fig. 1 On voit, en effet, sur le pli de flexion de l'articulation phalango-phalanginienne du medius droit, trois crêtes cornées et même quatre, disposées comme de petits éventails perpendiculairement à l'axe du doigt. Ces crêtes cornées ont une hauteur d'un centimètre et demi environ. Elles sont séparées chacunepar des sillons de même profondeur / Fig. 2 Il existe une lésion analogue, mais moins accentuée, à la base de l'annulaire droit au pli de flexion métacarpo-phalangienne, mais qui est moins saillante, parce que plus ancienne, et elle aurait été traitée au thermo en 1919
232 Les principes de l'électrocardiographie, par MM. Maurice Perrin et Gabriel Richard. Notions indispensables
Image : Fig. 1 Au début de l'excitation de ce point P, cette portion du muscle entre en activité, devient par conséquent électriquement négative et donne une ligne a dirigée vers en haut / Fig. 2 Quand l'activité musculaire abandonnant la région P passe vers D, le sens du courant se renverse et la courbe prend la direction opposée à la première, elle descend : a' / Fig. 3 On a ainsi deux phases, deux courbes de direction opposées, constituant une courbe diphasique / Fig. 4 Entre ces deux phases, se place, pendant un court instant, un stade d'isoélectricité qui correspond à l'entrée en activité de tout le segment musculaire et manifeste un stade pendant lequel il n'y a plus production de courant ; sur la courbe, ce moment s'inscrit sous forme d'une courte ligne bb', interposée entre la courbe ascendante et la courbe descendante / Fig. 5 Si la contraction se propage non plus de P en D, le courant se renverse et l'on a une courbe diphasique dont la direction est opposée à celle de la précédente / Fig. 6 De même si l'on porte l'excitation en un point du faisceau musculaire également distant de P et de D (C), les ondes d'excitation et de contraction se propagent à la même vitesse vers P et vers D ; les deux effets se neutralisent ; il n'y a pas de courbe / Fig. 7 et Fig. 8 L'amplitude de la courbe est directement proportionnelle à l'intervalle de temps qui s'étend entre la réception de l'excitation électrique sous et l'autre contacts