Image : Fig. 11. Même tumeur que figure 10 : à l'immersion, altérations nucléaires et mitoses ; pas de fibrilles neurogliques

Image : Fig. 13. Tumeur du cas 5. Gliome très cellulaire dont l'aspect rappelle l'oligodendrogliome

Image : Fig. 15. Tumeur du cas 6, hémorragique, obturant le IVe ventriculaire

Image : Fig. 16. Préparation du faible grossissement. A cheval sur la tumeur et le tissu sain, la tumeur est très cellulaire (cas 6) / Fig. 17. Même tumeur que celle de la figure 16 à l'immersion ; la tumeur est formée de nombreuses petites cellules rondes sans arrangement spécial. L'aspect fait penser à l'oligodendrogliome ; en l'absence de préparation à l'argent, ce diagnostic ne peut cependant pas être affirmé

Image : Fig. 18. Tumeur de J. C. (cas 7) au faible grossissement, gliome très cellulaire. Médulloblastome

Image : Fig. 19. Tumeur du cas 7, au fort grossissement

Image : Fig. 20. Tumeur du cas 8, montrant des microcystes limités par des rangées de cellules épithélioïdes. Papillome du plexus choroïde

Image : Fig. 21. Photographie de V. D. B. avant l'opération. On remarque l'attitude caractéristique du cou en flexion

Image : Fig. 22. Tumeur de V. D. B. Cas 9, au faible grossissement la tumeur est formée de cellules polygonales à noyau ovoïde, peu de fibrilles neurogliques / Fig. 23. Même tumeur que celle de la figure 22, à l'immersion les flèches indiquent des blépharoplastes, gliome épendymaire

Image : Fig. 24. V. D. B. Cas 9, après l'opération, montrant l'étendue de la cicatrice / Fig. 25. Schéma montrant la situation de la tumeur du cas 10. La tumeur occupe toute la région du IVe ventricule

Image : Fig. 26. Aspect microscopique de la tumeur du cas 10. Kyste épidermoïde

Image : Fig. 28. Tumeur du cas 11, lésion hémorragique occupant le IVe ventricule

Image : Fig. 29. Aspect microscopique de la tumeur (cas 11). Cette portion de la tumeur est très riche en fibrilles neurogliques / Fig. 30. Partie plus cellulaire de la même tumeur (cas 11). Les cellules transversales reproduisent l'aspect des spongioblastes. Spongioblastome

Image : Fig. 31. Tumeur de l'angle ponto-cérébelleux droit (cas 12) / Fig. 32. Tumeur du cas 12, vue sur une coupe transversale / Fig. 33. Aspect microscopique de la tumeur du cas 12. A droite microcyste. Gliome de type indéterminé

Image : Fig. 34. Schéma montrant la situation respective de la tumeur dans les 12 cas qui font l'objet de notre travail

Image : Fig. 1. Coupe de la moelle au niveau du IIIe segment lombaire montrant la dégénérescence nette des cordons postérieurs ; intégrité de la zone cornu-commissurale et de la zone de Lissauer. Les racines postérieures sont intactes / Fig. 2. Topographie des lésions au niveau du IIe segment lombaire. Légère disparition des fibres des cornes antérieures résultant de la destruction des collatérales réflexes et des fibres au niveau des colonnes de Clarke. Dégénérescence des cellules des cordons de Goll et de Burdach. La zone de Lissauer est conservée / Fig. 3. Coupe de la moelle au niveau du IIIe segment sacré. La substance grise, comme la substance blanche est normale. Pas de dégénérescence des fibres des cordons postérieurs

Image : Fig. 4. Coupe de la moelle au niveau du IIIe segment cervical montrant une légère zone de dégénérescence des cordons de Goll et de Burdach (B). Les racines postérieures sont intactes / Fig. 5. Coupe de la moelle au niveau du IVe segment cervical. La lésion intéresse les cordons de Goll et de Burdach. Mais la région cornu-commissurale et la région dite radiculaire postérieure sont intactes, de même que la zone périphérique des cordons de Goll

Image : Fig. 6. Coupe du VIIe segment dorsal de la moelle épinière, montrant la dégénérescence des cordons postérieurs, excepté une bande de substance blanche qui avoisine les cornes postérieures et la zone cornu-commissurale. Les racines postérieures sont également conservées / Fig. 7. Coupe de la moelle, au niveau du VIIIe segment cervical. La dégénérescence est limitée à la moitié postérieure des cordons de Goll, à la périphérie desquels il y a une petite zone de fibres conservées. Les racines postérieures ne contiennent pas de fibres dégénérées

Image : Fig. 8. Coupe du IVe segment lombaire (méthode de Nissl), donnant l'aspect général et la topographie des noyaux : central, antéro-externe, postéro-externe et postéro-interne y correspondant le premier aux muscles de la région fessière, le second aux muscles de la cuisse et le troisième aux muscles de la jambe. Dans les deux derniers, il y a quelques cellules réduites de volume et, en outre, on voit des cellules plus pâles correspondant aux cellules à chromatolyse centrale / Fig. 9. Coupe montrant en bas deux nodules résiduels (I. ganglion sacré) (méthode de Nissl). En haut, à gauche, on voit une cellule relativement normale, traitée par la méthode pour les oxydases. A droite, un nodule résiduel, traité également par la méthode pour les oxydases. Les cellules satellites se sont substituées à la cellule nerveuse dont il n'en reste que l'axone (a)

Image : Fig. 10. Coupe représentant une région du tronc du sciatique, au niveau de la cuisse (méthode de Ramon y Cajal). On y voit un certain nombre de fibres fines, isolées, ou réunies en faisceaux, traversant le syncytium de Schwann, pauvre en noyaux, disséminés sur les travées du syncytium / Fig. 11. Coupe longitudinale du tibial postérieur. La plupart des fibres à myéline sont disparues. Mais on aperçoit quelques fibres grêles (f. g), représentant les fibres qui persistent ou bien les fibres en voie de régénérescence (méthode de Ramon y Cajal)

Image : Fig. 12. Section longitudinale du nerf tibial postérieur, traitée par la méthode de Herxheimer (Scharlach hématoxyline). La plupart des fibres à myéline ont disparu, il ne reste que des fibres plus grêles, avec une couche mince de myéline. En bas, une fibre large à myéline, fragmentée. Au centre de la figure, un vaisseau vif à parois hyalinisées et à peu près oblitéré (v.)

Image : Fig. 13. Coupe longitudinale d'un nerf intramusculaire du fléchisseur plantaire. Au milieu de la figure, on voit deux fibres intactes à myéline et, dans le reste, on ne voit que les travées du syncytium de Schwan avec beaucoup de noyaux / Fig. 14. Coupe longitudinale d'un fragment de muscle (jumeau interne) montrant des fibres tout à fait atrophiées (f. a.), parmi lesquelles trois contiennent un grand nombre de granulations sudanophiles (f. g.). Ensuite, on voit au milieu une fibre présentant sur son trajet deux renflements (g.a.) dus à l'autolyse. En haut, il y a deux vaisseaux à parois épaissies (v.)

Image : Fig. 15. Cellules du groupe postéro-interne correspondant à l'origine du sciatique poplité interne. La plupart des cellules sont arrondies, la substance chromatophile pulvérulente au centre (chromatolyse centrale) et le noyau projeté à la périphérie. C'est le type de réaction à distance ou de lésion secondaire. La cellule y offre une vacuole (v.), comme cela arrive lorsqu'il n'y a pas de période de réparation

Image : Fig. 16. Groupe postéro-interne du Ve segment lombaire représentant l'origine du sciatique poplité interne, provenant d'un cas de polynévrite. La plupart des cellules sont en réaction à distance et dans quelques-unes le centre est en chromatolyse, voire même en achromatose à comparer avec la figure précédente pour la similitude des lésions

Image : Fig. 17. Coupe longitudinale d'un fragment de sciatique poplité externe (méthode des oxydases). Le syncytium de Schwann est représenté par quelques travées dépourvues de granulations. Celles-ci n'existent qu'à la surface de quelques fibres possédant une couche mince de myéline

Image : Fig. 1. [Dystonies]

Image : Fig. 2. [Dystonies]

Image : Fig. 3. [Dystonies]

Image : Fig. 4. [Dystonies]

Image : Fig. 5. [Dystonies]

Image : Fig. 1. [Atrophie du muscle vaste interne dans les paralysies anciennes du sciatique poplité externe]

Image : Pierre Masson (1865-1928)

Image : Fig. 1. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 2. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 3. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 4. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 5. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 6. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 7. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 8. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 9. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 10. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 11. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 12. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 13. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 14. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 15. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 16. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 17. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 18. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 19. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 20. [La cytoarchitectonie et la cérébration progressive]

Image : Fig. 1. La tumeur, arrondie au niveau de la moelle lombo-sacrée et de la queue de cheval / Fig. 2. M, moelle au niveau du cône. R, racines de la queue de cheval rejetées à la périphérie de la tumeur et histologiquement intactes. La tumeur à proprement parler est entourée d'une coque conjonctive très dense

Image : Fig. 3. La moelle lombaire au niveau de L4. Coloration de la myéline, Loyez. Remaniement profond des cordons et de la substance grise. VSP, veine spinale postérieure / Fig. 4. Moelle dorsale au niveau de D4. Coloration de la myéline, Loyez. Dégénérescence vacuolaire et démyélinisation des territoires S3-L4

Image : Fig. 1. [Nanisme hypophysaire] / Fig. 2. [Nanisme hypophysaire]