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tome 61. - Paris, 1923.
Cote : PF92.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 897 1-250 page précédente
7 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite)
Image : Fig. 4. — La suppression des culs-de-sac pyorrhéiques par Les cautérisations ignées. A l'aide d'une pointe fine de galvano cautère portée au rouge vif des ponctions sont faites dans la paroi gingivale des culs-de-sac parallèlement à l'axe de la racine
8 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite)
Image : Fig. 5. — Résultat de l’opération représentée Fig. 4. Comparer avec la Fig. 3 représentant la même dent avant traitement. Le cas choisi est intentionnellement un cas de pyorhée avancé afin de montrer plus clairement les lésions et les modifications obtenues
11 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite)
Image : Fig. 6. — Dents antérieures pyorrhéiques après curettage et suppression des culs-de-sac. La réfraction gingivale obtenue correspond exactement à la résorption alvéolaire sous-jacent ; les dents sont entourées par Une fibro-muqueuse saine, rose, ferme, indolore, formant un anneau fibreux autour de la racine de chacune d'elles sans aucun cul-de-sac; les portions dénudées des racines, régulièrement brossées sans aucun dentifrice, sont blanches, indolores, sans abrasion mécanique et sans carie
20 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite)
Image : Fig. 7. — Un cas de pyorrhée généralisée en occlusion normale. Les rapports des dents des deux arcades sont anormaux, néanmoins, le contact des dents de ces deux arcades entre elle existe sur un certain nombre de points de toutes les dents
24 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite)
Image : Fig. 8. — Le même cas que celui de la Fig. 7 mais articulé, la mâchoire inférieure en propulsion, incisives bout à bout (L'occlusion a été prise directement en bouche). Tout l'effort exercé par la mâchoire à ce moment porte uniquement sur l'incisive centrale supérieure gauche et l'incisive centrale inférieure du même côté; les molaires et prémolaires ainsi que les canines des arcades supérieures et inférieures sont distantes de plusieurs millimètres
25 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite)
Image : Fig. 9. — Le même cas que la Fig. 8 ci-contre après rétablissement de l’équilibre articulaire des dents, la mâchoire inférieure étant, comme dans le modèle précédent, placée en propulsion, les incisives bout à bout
46 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. L’aide apportée par la radiographie dans les traitements radiculaires par le Dr J. Polus
Image : Fig. 1. La prémolaire inférieure nous montre un fil de diagnostic nus en place et s’arrêtant au 2/3 de la racine / Fig. 2. Séries de molaires inférieures ne présentant aucune lésion du péri-apex / Fig. 3 dent couronnée et dévitalisée, sans réaction de la membrane / Fig. 4. Même remarque que pour la Fig. 1 / Fig. 5. Même remarque que pour la Fig. 2 et 3 / Fig. 6. Obturation incomplète en volume et en totalité
47 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. L’aide apportée par la radiographie dans les traitements radiculaires par le Dr J. Polus
Image : Fig. 7. Prémolaire. Un des canaux est obturé complètement, le second ne l'est pas. Grosse molaire. Obturation presque parfaite dans les 3 canaux. Méthode de Callahan / Fig. 8. Prémolaire et canine. Obturation radiculaire presque parfaite en surface. Dans la prémolaire un des canaux n'est pas atteint à l'apex. Méthode de Callahan / Fig. 9. Obturation presque parfaite. Méthode de Callahan / Fig. 10. Obturation totale dans la prémolaire. Grosse molaire. Canal palatin et le mésial mal obturé. Méthode de Callahan / Fig. 11. Obturation parfaite. Méthode de Callahan / Fig. 12. L'obturation semble parfaite. Méthode de Callahan
50 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. L’aide apportée par la radiographie dans les traitements radiculaires par le Dr J. Polus
Image : Fig. 13. Une des grosses molaires présente une obturation parfaite. Echec complet dans la seconde / Fig. 14a. Obturation parfaite de la racine dentale incomplète dans la mésiale / Fig. 14 bis. Obturation incomplète. Méthode de Callahan / Fig. 15. Obturation d'après la méthode de Callahan sans avoir au préalable ouvert les canaux. Le 1/3 supérieur est atteint / Fig. 16. Même remarque que pour la Fig. 15 / Fig. 17a. Abcès alvéolaire subaigu. Début du traitement
51 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. L’aide apportée par la radiographie dans les traitements radiculaires par le Dr J. Polus
Image : Fig. 17b. 15 jours après traitement, perforation de l'apex et mise en place d’un pansement au tri-krésol / Fig. 17c. 15 jours après l'image du 17b. La région s'éclaircit, la lésion est fortement réduite / Fig. 17d. Six semaines après le début du traitement. La lésion a fortement diminué. Il ne reste plus qu'un petit cul-de-sac latéral / Fig. 18a. Abcès alvéolaire subaigu, traitement méthode de Callahan (Acide sulfurique 50 0/0, obturation chloro-résine-percha) / Fig. 18b. Six mois après amélioration évidente / Fig. 19. Obturation parfaite pointe de cuivre + pâte
55 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. L’aide apportée par la radiographie dans les traitements radiculaires par le Dr J. Polus
Image : Fig. 20. Même remarque que pour la Fig. 19. La pâte employée n'est pas radio-opaque / Fig. 21. Coiffage apical
61 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. Quelques réflexions sur la résection apicale par le Dr J. Polus
Image : Fig. 1. Granulome sur canine, limité au 1/3 sup. , cas favorable à la résection / Fig. 2. Granulome en voie de dégénérescence kystique sur première bicuspide limité au 1/3 sup. Mais accompagné de lésion du périodonte alvéolaire, cas défavorable à la résection / Fig. 3. Granulome sur 5 dépassant le 1/3 sup. Et s’étendant jusqu’à la 1/2 de la racine, cas défavorable / Fig. 4. Petite lésion apicale à la suite d’application arsenicale de trop longue durée ; l’intervention vient d'être faite / Fig. 3. Deux mois après la cavité s'est comblée de tissu néoformé / Fig. 6. Une résection a été faite à la canine inférieure il y a deux ans
62 Sociétés scientifiques. Société d’odontologie de Paris. Séance du 7 mars 1922. Quelques réflexions sur la résection apicale par le Dr J. Polus
Image : Fig. 7. Radiographie de la même lésion après résection / Fig. 8. Radiographie six mois après / Fig. 9. Radiographie d’une résection six mois après traitement. Guérison
[sans numérotation]
Image : Buste de Pierre Fauchard - Oeuvre de Paul Paulin inauguré à la Sorbonne le 16 Décembre 1922
86 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite et fin)
Image : Fig. 10. — Schéma de l'arcade supérieure. Les groupes de dents soumises aux mêmes efforts de déplacement horizontal dans les mouvements actifs de mastication sont entourés par Un même trait noir, sauf les canines qui sont seules de leur catégorie. Les flèches indiquent le sens dans lequel s’exercent ces efforts : linguo-vestibulaire pour les incisives et canines supérieures, dans les deux sens pour les prémolaires et molaires. L’axe de mobilisation des molaires est perpendiculaire à celui des incisives et l’axe des canines forme un angle de 450 avec les deux autres
87 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite et fin)
Image : Fig. 11. — Schéma de l’arcade inférieure. L'axe de mobilisation des différents groupes est le même qu’à l’arcade supérieure, représentée Fig. 10, mais de sens opposé pour les incisives et canines inférieures qui sont sollicitées par Les mouvements de mastication dans le sens vestibulo-lingual ; pour les prémolaires et molaires le sens est double comme pour l’arcade supérieure
98 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite et fin)
Image : Fig. 12. — Dessin représentant les rapports anatomiques normaux des tissus péridentaires ; le collet anatomique de la dent et le collet gingival concordent absolument
99 Travaux originaux. Le traitement de la pyorrhée alvéolaire par le Dr Maurice Roy (Suite et fin)
Image : Fig. 13. — Dessin analogue à celui de la figure 12, mais chez Un arthritique présentant de la pyorrhée à la période d’état. Le collet gingival ne concorde plus avec le collet anatomique de la dent, une portion du cément est à nu, mais il n'y a pas de cul-de-sac ; il y a parallélisme entre la résorption alvéolaire et la résorption gingivale
112 Travaux originaux. Redressement et immobilisation des dents dans un cas de pyorrhée alvéolaire par Eug. P. Darcissac
Image : Redressement et immobilisation des dents dans un cas de pyorrhée alvéolaire
113 Travaux originaux. Redressement et immobilisation des dents dans un cas de pyorrhée alvéolaire par Eug. P. Darcissac
Image : 1° Traitement de la pyorrhée alvéolaire ; 2° Correction de la malposition des dents ; 3° Contention et immobilisation
114 Travaux originaux. Redressement et immobilisation des dents dans un cas de pyorrhée alvéolaire par Eug. P. Darcissac
Image : [Redressement et immobilisation des dents dans un cas de pyorrhée alvéolaire]
166 Travaux originaux. Bridge attelle, fixe et démontable, sans mutilation des piliers - Parallèle avec un bridge à bagues fendues par Paul Housset
Image : Fig. 7 — Les 2 segments en place. La pièce formant pont et emboîtant les 2 entretoises centrale 4 et 4’ manque / Fig. 8. — Coupe longitudinale
169 Travaux originaux. Bridge attelle, fixe et démontable, sans mutilation des piliers - Parallèle avec un bridge à bagues fendues par Paul Housset
Image : Fig. 13. — Chevalet de maillechort monté sur les entretoises, maintenu par la vis provisoire V et portant la cire Ci pour enregistrement cinématique de l'articulation
172 Travaux originaux. L’orthodontie et l’occlusographe par Hourtiguet
Image : Fig. 1. — Description occlusographique d’une articulation avec prognathisme du maxillaire supérieur; l’enfant a 11 ans et la 4| et |4 n’ont pas atteint le complet développement et présentent la particularité d’être presque couché sur la gencive, leurs tubercules prenant une direction antéro-postérieure surtout plus marquées sur la |4 / Fig. 2. — Détails d’une articulation se rapprochant le plus de la normale
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