Image : Fig. 1. — Quatre facteurs de morphologie esthétique dans l’ajustage des porcelaines

Image : Fig. 2. — Formes des tubérosités du maxillaire supérieur (Sens MD et sens VL)

Image : Fig. 3. — Formes des tubérosités du maxillaire supérieur (Sens MD)

Image : Fig. 4. — Formes des trigones du maxillaire inférieur (Sens MD)

Image : Fig. 5. — Un bord de selle qui n'accompagne pas tangentiellement sur la plus grande hauteur possible, les courbes ascendantes ou descendantes des crêtes, des tubérosités et des trigones est presque toujours sécant. (Pas d’action sécante en a, b, c. )

Image : Fig. 6. — Zone d’appui osseux d ’une racine (En a), d’une selle d’appareil (En b) et oppositions aux forces de la mastication

Image : Fig. 7. — Angle rentrant en a, utilisé pour la rétention

Image : Fig. 8. — En a, ligne du point de contact et zone de liaison

Image : Planche n° 1 (Photographies 1 et 2) Indices Biologiques. Ligne verticale du point de contact ( + ) ; 2. Axe longitudinal des crêtes ( + ) ; 3. Tubérosités ou trigones ( + ); 4. Lignes obliques internes ou raphé (—); 5. Insertion du voile (—) ; 6. Insertion du frein (—) ; 7. Insertions musculaires (—) ; 8. Zones neutres palatines (—) ; 9. Traces de plans verticaux joignant les extrémités des segments édentés ; 10. Ligne « approchée » de symétrie transversale

Image : Planche n° 2 (Photographies 3, 4, 5, 6). On trace le contour des zones de liaison (Contacts), les lignes de crête, le contour des tubérosités ou des trigones, les lignes obliques internes, puis les embrasures linguales, les ailes de stabilisation, l’emplacement des entretoises palatines ou celui des barres linguales et cingulaire

Image : Planche n° 3 (Photographie 7). — Classe i, a. Segments encastrés (Deux). Type d’appareil très équilibré. Stabilisation par Ailes antérieures et postérieures, ces dernières descendent vers la fibro-muqueuse dense, au delà des zones palatines neutres. Remarquer le large dégagement des embrasures linguales. Cet appareil pourrait ne comporter qu’une seule entretoise palatine placée sur la ligne « approchée » de symétrie. Il serait possible d’utiliser des supports occlusaux homologues / (Photographie 8). — Classe i, b. Segments encastrés (Deux). Segments en extension (Un)

Image : Planche n° 4 (Photographie 9). — Classe i, b. Segment encastré (1). Segment en extension. Stabilisation moins sûre. Forces de flexion et de torsion. Une plus grande résistance des entretoises est nécessaire, une plus grande laxité des ancrages du côté droit est indiquée, notamment sur D4. Aile de stabilisation postérieure à droite très importante. Supports occlusaux contre-indiqués / (Photographie 10). — Classe i, c. Segments en extension (2). Selles totalement en extension. Mauvaise stabilisation. Nécessité d'ancrages à rupteurs ou emploi d’un cadre à rotules. En cas d’occlusion favorable, emploi de bras de Cummer ou d’une barre cingulaire

Image : Planche n° 5 (Photographie 11). — Classe ii, b. Segment encastré. Segment en extension. Assez bonne stabilisation, surtout dans le sens M D. Possibilité d’utilisation de trois supports occlusaux. La barre coronaire sert à la stabilisation transversale L et à la rétention. Renforcer en épaisseur l’éntretoise palatine et la partie de selle attenante à D4. Nécessité d'une aile de stabilisation antérieure assez prolongée / (Photographie 12). Classe II, c. Segment en extension. Entretoise palatine obligatoirement reliée aux dents opposées par Un ancrage à rupteur d’effort (Rotule, pit and pin, etc. . . )

Image : Planche n° 6 (Photographie 13). — Classe III, a. Segments encastrés (Quatre). Appareil bien équilibré, l’entretoise postérieure, prolongée par Les ailes, joue un rôle stabilisateur. En avant la même action peut être exercée par Une barre cingulaire si l’occlusion permet d’en placer une. Les barres coronaires de canines et de prémolaires sont toujours possibles. Remarquer le large décolletage / (Photographie 14). — Classe III, a. — Segments encastrés (Cinq). Cas à peu près identique. Des supports occlusaux peuvent être utilisés. Les barres coronaire et cingulaire ne sont pas tracées

Image : Planche n° 7 (Photographie 15). — Classe III, a. Segments encastrés (Trois). Cas à peu près identique. Meilleur appui sur la crête que dans les cas 13 et 14. Les supports occlusaux et les barres coronaires ne sont pas nécessaires. Pour une plaque portant plus de dents, la surface de muqueuse n’est guère plus recouverte que pour les cas 13 et 14 / (Photographie 16). — Classe III, a. Segments encastrés (Deux). Ici le grand hiatus de gauche est jugo-labial. L’entretoise postérieure et ses ailes doivent équilibrer la partie antérieure de la selle. Les ailes descendent pour trouver un point d’appui sur la fibro-muqueuse. Les ancrages postérieurs seront particulièrement robustes

Image : Planche n° 8 (Photographie 17). — Classe III, c. Segments en extension (Trois). Ici trois segments en extension, le segment antérieur en raison de son étendue, de sa courbure et de sa situation jugo-labiale ne pouvant être considéré comme encastré. Toutefois le cas est assez favorable en raison de la position symétrique des dents d’ancrages. La large entretoise postérieure et l’enveloppement des tubérosités compensent bien la position en extension de la partie antérieure de la plaque. Les barres coronaires sont indispensables, mais les supports occlusaux sont contre-indiqués. (Balancement antéropostérieur) / (Photographie 18). — Classe ITT, c. Segment en extension

Image : Planche n° 9 (Photographie 19). — Classe I, a. Segments encastrés (Deux). Cas aussi favorable que le correspondant 7 du maxillaire supérieur. Possibilité d’utiliser des supports occlusaux. Remarquer le large dégagement, très important, du collet lingual de d4 et g4 formé par Le tracé des barres cingulaires et linguales / (Photographie 20). — Classe T, b. Segments encastrés (Deux). Segment en extension (Un). En raison des situations homologues, des supports occlusaux sont utilisables. Les ancrages seront robustes. Une barre cingulaire n’est pas indispensable car les selles ont une large assise et le déplacement postéro-antérieur est neutralisé

Image : Planche n° 10 (Photographie 21). — Classe I, c. Segments en extension (2). Même cas que le n° 10 au maxillaire supérieur, mais la pesanteur exerce une action favorable. Ancrages rupteurs (Par élasticité) sur d3 et g3 / (Photographie 22). — Classe i, c. Segments en extension (2). Cas difficile en raison de la grande longueur des barres linguale et cingulaire (Cette dernière doit être très résistante, aussi peu déformable que possible, notamment au niveau de d2, d3)

Image : Planche n° 11 (Photographie 23). — Classe I, b. Segment encastré (Un). Segments en extension (Deux). Nécessité d’une barre linguale robuste en raison de l’encastrement de d4, nécessité d’une barre coronaire résistante sur d5 / (Photographie 24). — Classe II, c. Un segment en extension. Nous n’avons pas représenté la subdivision a (Segment encastré) qui pose souvent l’indication d’un pont fixe ou amovible selon la portée et quelquefois celle d’un appareil intercalaire (Appareil de Nesbett) ni la subdivision b (Un segment encastré, un segment en extension)

Image : _ planche n° 12 (Photographie 25). — Classe iii, a. Segments encastrés (Six). Des barres cingulaires ou coronaires contournent les faces linguales des dents intermédiaires. Des supports occlusaux sont nettement indiqués en raison du peu de surface des selles multiples et étroites. Les segments de barre linguale doivent être robustes pour éviter toute action scoliodontique sur les dents d’ancrage / (Photographie 26). — Classe iii, b. Segments encastrés (Trois). Segment en extension (Un). Cas assez favorable. On constate que l’on peut toujours décolleter. Les supports occlusaux sont contre-indiqués. Les barres coronaires sont indispensables. La subdivision c comparable aux cas 17 et 18 du maxillaire supérieur est plus favorable (La pesanteur agissant comme stabilisateur)

Image : à VI

Image : [ Les fêlures dentaires étude morphologique sur dents libres]

Image : Georges Villain (1881-1938)