[sans numérotation] Mémoires. Le problème des chéloïdes et le point de vue colonial, par L. Pales... I. Les chéloïdes en général
Image : Fig. 1. Australiens, l'un à cheveux lisses, l'autre à cheveux très frisés. Le premier présente des chéloïdes sternales consécutives aux scarifications transversales ethniques, fréquentes à ce niveau chez les Australiens / Fig. 2. Homme de 25 ans. Race noire. Groupe soudanais Sara, de la région de Fort-Archambault (Tchad-Sud). Chéloïdes apparues sur des cicatrices de ventouses scarifiées posées à l'hôpital de Fort-Lamy. Sur la figure à gauche, on distingue les balafres faciales en relief habituelles dans ce groupe
[sans numérotation] Mémoires. Le problème des chéloïdes et le point de vue colonial, par L. Pales... I. Les chéloïdes en général
Image : Fig. 10. Chéloïde acquise (microphoto). Sujet de la fig. 8 à un plus fort grossissement. Faisceaux collagènes épais et onduleux, séparés par des espaces occupés par des fibroblastes jeunes, dont on aperçoit les prolongements cytoplasmiques. Certaines régions ont un aspect hyalin sans structure fibrillaire / Fig. 11. Chéloïde acquise. (Microphoto. Gross., 380 diam.). Détail du tatouage chez un Noir, montrant à un plus fort grossissement l'intrication de gros faisceaux de collagène, anormaux par leur épaississement, leur aspect hyalinisé, et le tissu conjonctif grêle, lâche, comme oedémateux et très riche en grandes cellules conjonctives
[sans numérotation] Mémoires. Le problème des chéloïdes et le point de vue colonial, par L. Pales... I. Les chéloïdes en général
Image : Fig. 12. «Race blanche» d'Afrique noire. Femme Poulo (ou Foulbe, ou Fellata) du Fouta-Djallon (Guinée Française). Cicatrices chéloïdiennes récentes en voie d'évolution, consécutives à l'application d'un emplâtre vésicant à base de végétaux et de cendres : traitement indigène de la trypanosomiase / Fig. 13. Femme. Race noire. Groupe soudanais. Sango (Haut-Oubangui). Cicatrices charnues (chéloïdes pisiformes ethniques) du front et de la racine du nez. Cicatrices en relief de scarifications brachio-thoraco-abdominales, dont certaines dans la région sternale sont en évolution chéloïdienne
[sans numérotation] Mémoires. L'érythroblastose de l'adulte. Considérations sur un cas de crypto-érythroblastose d'origine paludéenne. Place que peut occuper cette affection en pathologie coloniale, par G. Saleun... et R. Bonnet...
Image : Splénogramme. Fig. I. Anisocytose et polychromatophilie. Remarquer la richesse en éléments jeunes de la lignée érythroblastique : proérythroblastes, érythroblastes. Un mégaloblaste en mitose. En haut, à gauche : un plasmocyte. Fig. II. Dans le champ microscopique, on reconnaît : un mégacaryocyte ; au milieu à droite : un hémocytoblaste, trois érythroblastes ; en haut à droite, un proérythroblaste en division nucléaire / Hépatogramme. Fig. III. Un champ typique ; au centre : un mégaloblaste ; au-dessous à gauche, un proérythroblaste dont le noyau est en caryocynèse ; par ailleurs : un proérythroblaste et deux érythroblastes polychromatophiles. Noter à gauche : un groupe de cellules hépatiques / Médullogramme. Fig. IV. L'étalement montrait une extrême pauvreté en éléments cellulaires ; ce champ doit être considéré comme particulièrement riche. On aperçoit : un mégaloblaste, deux érythroblastes, deux myélocytes, un métamyclocyte et quatre polynucléaires neutrophiles