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[A Tres-haute, tresexcellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres illustre Royne de Navarre, fille, sœur et femmes de Roy ; Laurent Joubert, son tres-humble et tres affectionné serviteur, Salut., 1er janvier 1578, f. ã2r- ã5v ; A Monsieur Joubert sur son Œuvre des Erreurs populaires. Sonnet, Sal. Certon. Chatillonois, f. ã8v]
Cote : 32687.
la seconde partie est imprimée en 1600
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de pages : 544
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 [sans numérotation]  [Page de titre]
 [sans numérotation]  Ordre de tout l'oeuure
 [sans numérotation]  A tres-haute, tres excellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres-illustre Royne de Nauarre, fille, soeur & femme de Roy
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 [sans numérotation]  Diuision de la premiere partie en ses liures & chapitres
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 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  A Monsieur Ioubert sur son oeuure des Erreurs populaires. Sonnet
 1  Premier liure de la premiere partie des Erreurs populaires, touchant la Medecine & les Medecins. Excellence de l'art de Medecine, par dessus tous les arts humains. Chapitre premier
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 8  S'il est possible par la Medecine allonger la uie des hommes. Chap. II
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 16  Contre ceux qui ont opinion, que les Medecins prolongent les maux, & ne font qu'abuser le monde. Chap. III
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 23  Que ce n'est peché, ou mal fait d'appeller des Medecins, & user de leurs remedes quand on est malade. Chap. IIII
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 25  De l'ingratitude des malades enuers les Medecins. Chap. V
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 27  
 28  
 29  Que le uulgaire n'estime rien si on ne guerit contre son opinion: que les derniers remedes ont tout l'honneur: & heureux le Medecin, qui uient à la declination du mal. Chap. VI
 30  
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 32  
 33  Contre ceux qui iugent de la suffisance des Medecins par le succez, qui est souuent deu à l'heur, plus qu'au sçauoir. Chap. VII
 34  
 35  Contre ceux ausquels tout est suspect, & calomnient les Medecins, de la plupart des accidens qui suruiennent és maladies. Chap. VIII
 36  
 37  
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 39  Qu'il y a plus de Medecins, que d'autre sorte de gens. Chap. IX
 40  
 41  Que ce n'est le profit des malades, d'auoir plusieurs Medeicns d'ordinaire: mais qu'un Medecin y doit estre fort assidu. Chap. X
 42  
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 44  
 45  Contre ceux qui se plaignent de la courte uisitation de quelques Medecins. Chap. XI
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 49  De combien sert la confiance du malade au Medecin. Chap. XII
 50  
 51  Contre ceux qui ueulent des Medecins, & ne font ce qu'ils ordonnent. Chap. XIII
 52  
 53  De ceux qui en leurs maux ne ueulent aucun Medecin ou remede, sinon contre les douleurs. Chap. XIIII
 54  
 55  Que les suiets à maladies, sont suiets à la Medecine: les autres non. Chap. XV
 56  
 57  Que ceux qui sçauent quelque peu la Medecine, sont plus mal aupres des malades, que ceux qui ne sçauent rien du tout. Chap. XVI
 58  
 59  Second Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Conception & Generation. Si une femme peut conceuoir sans auoir eu ses fleurs. Chapitre premier
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 63  S'il est possible qu'une femme conçoiue à neuf ou à dix ans. Chap. II
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 68  Sçauoir mon si les taches rouges que les enfans portent en leur naissance sont de la Conception. Et s'il est possible, qu'une femme conçoiue, durant qu'elle à ses fleurs. Chap. III
 69  
 70  Pourquoy est'ce que la femme conçeuant à la fin de ses fleurs, ou tost apres, uolontiers deuient grosse d'un fils: & celle que sur le retour, d'une fille. Chap. IIII
 71  
 72  
 73  Contre ceux qui conseillent de cognoistre la femme durant ses fleurs, pour de faillir de l'ongroisser. Chap. V
 74  Contre ceux qui ne cessent d'embrasser pour auoir des enfans, & les autres qui le font peu souuent, afin d'en auoir moins. Chap. VI
 75  
 76  Qu'il ne faut cognoistre la femme auant dormir: & que pource les trauailleurs sont moins goutteux, & ont plus d'enfans. Chap. VII
 77  
 78  
 79  Comment se doit entendre, qu'une heure plus tost, ou plus tard, fait qu'on engendre fils ou fille. Chap. VIII
 80  
 81  
 82  S'il est vray qu'un homme uieux ne puisse engendrer des fils. Chap. IX
 83  
 84  
 85  Pourquoy dit-on, que l'homme peut engendrer, tant qu'il peut leuer un quarton de son, & s'il est uray, que ceux qui ont les yeux enfoncez ont esté engendrez d'un vieillard. Chap. X
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 89  Abus des femmes qui se baignent toutes pour engroisser, & de celles qui auec cinq cens diuers remedes n'y peuuent aduenir. Chap. XI
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 92  Sçauoir-mon, si un ladre confirmé, ou un verollé, peut engendrer des enfans sains. Chap. XII
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 95  Troisiesme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Groisse. Comme se peut faire, que d'une uentree la femme porte neuf enfans. Chapitre premier
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 107  Si une femme peut porter plus de neuf mois, & comment il faut entendre le terme de la groisse. Chap. II
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 121  Qu'il n'est possible de cognoistre par les urines si une femme est grosse: & quels sont les vrais signes de la groisse. Chap. III
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 126  S'il y a certaine cognoissance, que le fruict soit masle ou femelle, & qu'il n'y en ait qu'un ou deux. Chap. IIII
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 128  Que c'est un grand abus, de mespriser les maux qui viennent à raison de la groisse. Chap. V
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 133  Pourquoy dit on, que qui refuse quelque chose à une femme grosse, un orgeol luy naist en l'oeil. Chap. VI
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 136  Pourquoy conseille-on à la femme grosse de mettre la main à son derriere, si elle ne peut soudain estre satisfaite de son appetit. Chap. VII
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 139  Des femmes qui mangent à force codignac durant leur grossesse, pour faire que l'enfant ait bon esprit: & des raisins de panse, à ce qu'ils ayent meilleure ueuë. Chap. VIII
 140  
 141  
 142  S'il est uray que le premier morceau que mange la femme enceinte, va à son enfant. Chap. IX
 143  
 144  
 154  Quatriesme liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant l'Enfantement & la Gesine. Que l'oz Bertrand ne s'ouure point pour donner passage à l'enfant. Chapitre premier
 146  
 147  
 148  
 149  S'il est bon de faire asseoir la femme sur le cul d'un chaudron chaud, ou de luy mettre sur le ventre le bonnet de son mary, pour auoir meilleure deliurance, & quels sont les meilleurs moyens d'accoucher. Chap. II
 150  
 151  
 152  Que les matrones faillent grandement, de n'appeller Medecins à l'enfantement: & autres maux peculiers des femmes, & que mesmes les sages-femmes doiuent estre enseignees des Medecins. Chap. III
 153  
 154  De faire bonne mesure aux garçons, & non aux filles: & comment il faut gouuerner la vedille, & si celle des filles sert à leur faire des amoureux. Chap. IIII
 155  
 156  
 157  S'il est vray qu'on puisse cognositre aux noeuds des cordes de l'arriere-faix, combien d'enfans aura la femme qui accouche. Chap. V
 158  
 159  
 160  Des enfans qui naissent uestus, s'ils sont plus heureux que les autres: & si leur chemise preserue de danger ceux qui en portent. Chap. VI
 161  
 162  Des Harpies qu'on dit uoler, & attacher aux courtines. Chap. VII
 163  
 164  
 165  
 166  S'il est vray que la femme accouchant en pleine Lune fera depuis un fils, & si en nouuelle, une fille. Chap. VIII
 167  
 168  De l'huile d'amandres douces, auec du sucre candi, qu'aucunes femmes boiuent dés aussi tost qu'elles ont enfanté, & de la nourriture qu'on leur donne mal à propos. Chap. IX
 169  
 170  
 171  
 172  Qu'on nourrit trop les accouchees, disant que la matrice est vuide, & qu'il la faut remplir. Chap. X
 173  S'il est vray qu'une accouchee puisse pisser le laict. Chap. XI
 174  Pourquoy est-ce que du premier enfant communément on a moins des tranchees. Chap. XII
 175  
 176  Cinquiesme liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant le laict & la nourriture des enfans. Exhortation à toutes meres, de nourrir leurs enfans. Chapitre premier
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 190  Quand est bon le laict d'une accouchee, combien d'heures doit estre l'enfant sans tetter, & qu'est ce qu'on luy doit donner premierement. Chap. II
 191  
 192  
 193  Qu'une pucelle peut auoir du laict en quantité notable. Chap. III
 194  
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 198  S'il y a certaine cognoissance du pucellage d'une fille. Chap. IIII
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 216  D'où vient le consentement des mammelles, & de la matrice, qu'on voit si euident. Chap. V
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 218  
 219  
 220  Pourquoy est ce que le laict de celle qui a fait un fils, est meilleur à nourrir une fille, & au contraire. Chap. VI
 221  
 222  
 223  
 224  
 225  Superstitieuse & fausse opinion des femmes, qui croyent les mammelles tarir, à celles de qui on chauffe le laict. Chap. VII
 226  
 227  
 228  
 229  
 230  
 231  Qu'il ne faut endurcir les tetins, pour euiter les tendrieres. Chap. VIII
 232  De muer l'enfant à toute heure qu'il est ord, & s'il doit auoir certaines heures à tetter. Chap. IX
 233  
 234  
 235  
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 237  
 238  
 239  Contre ceux qui trouuent bon que les enfans crient & pleurent. Chap. X
 240  
 241  Qui doit plus longuement tetter, un fils ou une fille: & combien le chacun. Chap. XI
 242  
 243  
 244  
 245  
 246  
 [sans numérotation]  Au Lecteur d'esprit libre et studieux
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Diuision de toute l'oeuure en six parties, contenant trente Liures
 [sans numérotation]  Diuision de la seconde partie en ses liures & chapitres
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Diuision de la troisieme partie en ses liures & chapitres
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Diuision de la quatriesme partie en ses liures & chapitres
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Diuision de la cinquiesme partie en ses liures & chapitres
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Diuision de la sixieme partie en ses liures & chapitres
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Aduertissement
 [sans numérotation]  [Page de titre]
 [page blanche]  
 [sans numérotation]  A mon tres-honoré Seigneur Monseigneur de Neufuille, Seigneur de Villeroy, Conseiller & Secretaire d'estat du Roy, grand tresorier general de l'ordre de sa Maiesté, Barthelemy Cabrol son tres-humble seruiteur, Salut
 [sans numérotation]  Epistre Dedicatoire
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Epistre de B. Cabrol, Maistre iuré en la faculté de Chirurgie, de l'Uniuersité, Cité, & Ville de Montpellier, Chirurgien ordinaire du Roy. Repulsiue des enuieux & venimeux propos tenus contre l'Autheur des Erreurs populaires. Addressee au tres-uertueux magnifique et genereux Seigneur, M. Anthoine de Clermont, Baron de Montoison, & gentilhomme de la chambre du Roy
 [sans numérotation]  Epistre Apologitique
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
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 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  Indice des chapitres et matieres, contenues en ceste seconde partie des Erreurs populaires, & propos vulgaires
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  
 [sans numérotation]  [Sonnet]
 [sans numérotation]  [Sonnet]
 [sans numérotation]  [Sonnet]
 [page blanche]  
 [page blanche]  
 1  La seconde partie des Erreurs populaires, et propos vulgaires, touchant la Medecine & le regime de santé. Que l'on se peut & doit souuent passer du vin, dont il n'est tant necessaire, que cuide le vulgaire. Chapitre premier
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 8  Contre ceux qui pensent toute fieure estre de froid, hormis celle qu'on nomme chaude. D'où procede le frisson, & le retour des fieures terminees. Chap. II
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 12  
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 14  
 15  Du Morfondement & Larfondement: & comment le peuple s'abuse, cuidant que tous les maux des trauailleurs (ou la pluspart) soit de Morfondement. Chap. III
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 17  
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 19  Pourquoy ordonne l'on de boire du uin pur à ceux qui sont fort eschauffez, & de pisser auant que se mettre en repos, quand on a fort trauaillé. Chap. IIII
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 25  Qu'il faut souuent changer de linge aux febricitans. Chap. V
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 29  Que les femmes tuent les febricitans d'abstinence de boire, abondance des uiures, & ennuyeuse couuerture. Et quel regime il conuient obseruer aux febricitans. Chap. VI
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 41  Contre ceux qui ne permettent aux febricitans de boire durant leur accez: & les autres qui ueulent qu'ils boiuent chaud pour suer plustot & mieux. Chap. VII
 42  Des boüillons & orge-mondez qu'on baille à minuict, ou le matin, fort indiscrettement. Chap. VIII
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 45  
 46  Si c'est mal fait, de boire à l'heure du coucher. Chap. IX
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 50  S'il faut boire aussi chaud qu'on a le sang, mesmement en Esté: & s'il est mauuais de raffraischir le vin. Chap. X
 51  
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 53  Contre ceux qui se plaignent en Esté, de la chaleur des nuicts: & cependant ils couchent sur la plume, les fenestres fermees. Chap. XI
 54  
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 56  Que les boudins ne ualent rien gardez: & que de là est uenue la coustume d'en faire des presens. Chap. XII
 57  
 58  
 59  Contre ceux qui craignent par trop la saignee, & ont opinion que la premiere sauue la uie. Chap. XIII
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 65  Qu'on peut saigner les femmes grosses, les enfans & les uieux. Chap. XIIII
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 70  Contre ceux qui temerairement & trop souuent usent de la saignee. Chap. XV
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 72  Que la purgation peut conuenir à toute saison, uoire durant les iours caniculaires. Chap. XVI
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 76  
 77  Comment il se faut gouuerner le iour qu'on prend medecine. Si on peut dormir apres: De l'heure du bouillon lauatif: Des repas qui conuiennenet à ce iour là: & pourquoy on ne doit sortir de la chambre. Chap. XVII
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 87  D'où uient communément, que les plus cheris meurent le plus souuent. Chap. XVIII
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 90  Contre ceux qui disent, que mort ne fut iamais sans regret. Chap. XIX
 91  
 92  Contre ceux, qui pour auoir le uentre lasche, marchent pieds nuds sur un lieu froid: ou boiuent de l'huile en quantité: & qu'est-ce qu'auoir bon uentre. Chap. XX
 93  
 94  
 95  Sçauoir-mon si les huitres, & les truffes, rendent l'homme plus gaillard à l'acte venerien. Chap. XXI
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 101  A M. Franc. Ioubert, Cheualier du S. Sepulchre de Hierusalem, Conseiller & maistre des Requestes ordinaire de l'hostel du Roy de Nauarre, Iuge mage de Valance. Christophle de Beau-chastel, son treshumble neueu. Salut
 102  
 103  Contre ceux qui iugent de la suffisance des medecins par le succés, qui est deu souuent à l'heur, plus qu'au sçauoir. Chap. XXII
 104  Que le uulgaire n'estime rien, si on ne guerit contre son opinion: que les derniers remedes ont tout l'honneur, & bien heureux le Medecin, qui uient à la declination du mal. Chap. XXIII
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 107  Des importuns & supçonneux, qui calomnient les procedures du Medecin. Des outrecuidez & presomptueux, dangereux aupres d'un malade. Chap. XXIIII
 108  
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 111  
 112  Que ce n'est le profit des Malades, d'auoir plusieurs Medecins d'un ordinaire. Chap. XXV
 113  Meslanges d'autres propos uulgaires, & erreurs populaires
 114  
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 116  
 117  
 118  Ramas de propos uulgaires, et erreurs populaires, auec quelques problemes, enuoyez de plusieurs à M. Ioubert
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 139  Catalogue de plusieurs diuers propos uulgaires & erreurs populaires, colligez de plusieurs, & donnez à M. Ioubert, par M. Barthelemy Cabrol
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 143  
 144  
 145  
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 147  Catalans. Espagnols. Italiens
 148  
 149  Latins
 150  A tres uertueux et uenerable Seigneur, M. Estienne de Rate, Conseiller du Roy, & General en la souueraine Cour des Aydes, à Montpellier, Iean Imbert compagnon Apoticaire, Salut
 151  
 152  Sommaire de ce qui est traitté en ceste suitte. Explication de quelque Phrases & mots uulgaires touchant les maladies, principalement
 153  Remedes Metaphoriques & extrauagans. Des remedes superstitieux ou uains, & ceremonieux. Propos fabuleux. Deux Paradoxes de M. Ioubert, traduits par Isaac son fils
 154  Explication des quelques phrases et mots uulgaires, touchant les maladies, principalement / 1. - Fleurs, flux, flux menstrual, mois, menstrues, perdement, rhodais, chemise, doit auoir, son cas, malade, male semaine, temps, cardinal, marquis
 155  2. - auorter, affouler, blesser, dessarrier, gaster
 156  3. - Desuerdiat, desantourat, desourat, deflorer
 157  4. - Retaillat / 5. - Mal de mere
 158  6. - Dysanterie, eprensas, seintegne, cague-sangue / 7. - Nephritique, phrenetique, colique uenteuse, nephritique, & pierreuse
 159  8. - Colique, masclon, colique d'estomach / 9. - Goutte, dessente, theume, catarrhe, goutte naturelle
 160  10. - Sciatique / 11. - Squinance, morceau d'Adam
 161  10. - Noli me tangere / 13. - Saigner du nez / 14. - Migraine / 15. - Lunatic, & tenir la Lune
 162  16. - Mal caduc, mau de terre, mal S. Iean, mau de las passeras, haut-mal
 163  17. - Mau-loubet / 18. La male bosse, la ghiandozza / 19. - Escannar
 164  20. - Aualisque, euanoyr, spasme, pasmaison / 21. - Desieuner, boire, ressiner, gouter, souper, dementir
 165  22. - Grasse matinee
 166  23. - Penser un malade
 167  Remedes metaphoriques et extrauagans / 1. - Pour la multiplication de semence, & la fecondité
 168  2. - pour enfanter plus aisémént, & pour empescher l'auortissement
 169  3. - Pour rompre la pierre dans le corps
 170  4. - Contraire à la memoire
 171  Des remedes superstitieux ou uains, & ceremonieux / 1. Pour arrester tout flux de sang
 172  2. Contre la iaunisse / 3. - Contre la goutte grampe / 4. - Pour faire sortir plust ost les dents aux petits enfans / 5. - Pour ne uomir point sur mer / 6. - A faire perdre le laict
 173  7. - Contre toute fieure / 8. - Contre la fieure quarte / 9. - Pour faire perdre ses uerrues / 10. - Pour guerir de l'hydropisie
 174  11. - Contre le masclon / 12. - Contre le mal de maire / 13. - Coniuration de l'amarry delouee, en langue Agenoise
 175  Propos fabuleux
 176  
 177  1. - De la uipere
 178  2. - Du bieure, dit castor / 3. - De la salamandre
 179  4. - De l'ours
 180  A Monsieur Ioubert Conseiller & Medecin ordinaire du Roy, & du Roy de Nauarre, Chancelier de l'Uniuersité en Medecine de Montpellier, à Paris
 181  1. Si on peut limiter que les poisons ne peuuent estre bailles à certain iour, ne faire mourir à certain temps: au tres-renommé Docteur en Medecine, M. Pierre Perreau, le ieune
 182  
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 184  
 185  
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 187  
 188  
 189  
 190  
 191  2. Qu'il y a raison, que quelques uns puissent uiure sans manger, durant plusieurs iours & annees: au tres-renommé Iurisconsulte, M. Iean Papon, Conseiller du Roy, Iuge & Lieutenant general au Bailliage de Forest
 192  
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 208  Ce qui s'ensuit est traduit de la seconde partie des Opuscules de M. Ioubert, pag. 136 où il est noté, pour adiouster à ce Paradoxe
 209  
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 212  Question uulgaire. Quel langage parleroit un enfant qui n'auroit iamais ouy parler. Qu'un sourd de naissance est muet necessairement, comme aussi celuy qui est nourri parmi les muets & non au contraire, qu'un muet de nature, soit sourd, & d'où prouient, que l'homme est si tardif à sçauoir parler
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