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[sans numérotation] Page de titre : Les secrets miracles de nature, et divers enseignemens de plusieurs choses, par raison probable & artiste coniecture expliquez en deux livres
2 Extraict du privilege du Roy
3 A tres honorable tres-vertueux seigneur, Monsieur Matthias Gallomontois de Heesuvnijck, tres-reverend Prelat à Metelbourg, Levin Lemne, Medecin, desire salut et prosperité. Epistre
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16 Table des principales matieres qui sont traitees es deux livres suyvans
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28 Preface de Levin Lemne, medecin, au debonnaire lecteur
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36 Le premier livre de Levin Lemne, medecin de Zirizee, des secrets miracles de nature. De la nature, vray instrument de la divinité. Chap. I
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42 De la dignité et excellence de l'homme. Chap. II
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47 Que c'est chose tres naturelle d'engendrer son semblable, et que pour-autant les hommes en doibvent user reveremment, comme d'un don divin et vraye institution de Dieu. Chap. III
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52 Comment il se fait que les enfans ressemblent à leur pere et mere : et par quelle raison l'enfant encores dens le ventre de la mere, est fait participant d'aucuns incidens qui adviennent exterieurement... Chap. IIII
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66 Du desordonné et sot appetit, et desir insaciable que ont les femmes enceintes à manger certaines choses : lesquelles si ont leur refuse, et qu'elles n'en puissent avoir, elles sont en danger. Chap. V
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71 Que la femme confere semence, aussi bien que l'homme, et qu'elle est compagne et participante de tout l'oeuvre. Chap. VI
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77 D’où despend l'espece et le sexe de l'animal, c'est-à-dire auquel des deux doit estre attribuee la procreation, ou à l'homme ou à la femme, au masle ou à la femelle. Chap. VII
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82 Des enfantemens prodigieux et monstrueus, et incidemment que signifie le proverbe, il est nay au deffaut de la lune, ici autrement expliqué qu'il n'est au livre par moy n'a pas longtemps mis en lumiere. Chap. VIII
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90 Par quelle maniere celuy qui desire avoir un fils ou une fille peut engendrer l'un ou l'autre : et incidemment par quelle cause s'engendrent les hermaphrodites, c'est-à-dire ceux qui ont l'un et l'autre sexe. Chap. IX
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100 A sçavoir mon si l'enfant est nourri de l'excrement menstrual : et si les ieunes filles peuvent concevoir avant qu'elles ayent leurs fleurs. Chap. X
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108 Que l'ame ne procede point des peres et meres, ains est infuse divinement : et qu'elle est exempte de toute mort et corruption. Plus assavoir mon le quantieme iour après la conception elle est introduite au corps. Chap. XI
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120 Que l'ame, iaçoit qu'elle soit incorporee, et que point elle ne consiste d'aucune composition de matiere, ny des elemens, ce-neantmoins est exposee aux affections, et sent ses perturbations, lesquelles redondent au corps. Chap. XII
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136 Que les ames des hommes point ne sont en tout egales, ny de mesme condition et dignité, ains que l'une est plus excellente que l'autre. Chap. XIII
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148 De l'immortalité de l'ame, et de l'indubitable, et certeine resurrection du corps humain, et en quelle sorte et maniere cela se fera. Aussi combien la congnoissance d'une si excellente prerogative fait eslever les coeurs à Dieu... Chap. XIIII
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173 Assavoir mon si és enfans qui naiscent prodigieuse et monstreux, et en ceux qui sont avortez, il y a une ame raisonnable, et s'ils seront participans de la resurrection. Et incidemment par quelle cause s'engendrent les monstres. Chap. XV
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179 Que les humeurs et les viandes manifestement changent la disposition du corps, et les inclinations de l'esprit : et que de là procede l'origine des affections, et les aiguillons et remors de la conscience... Chap. XVI
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199 Que les herbes, ainsi que les corps des hommes, sont subiectes à changemens, et que elles perdent leur forme, et leurs forces et vertus, si souvent vous ne les cultivez. Chap. XVII
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228 Combien est diverse la nature et condition d'un terroir à l'autre. Chap. XVIII
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232 Que le raisin croit et s'augmente, mais point se meure aux rayons de la lune. Chap. XIX
233 Pourquoy Hesiode reprouve le fumer les terres. Chap. XX
234 Par quel moyen on peut chasser et faire mourir les cossons et autres petits bestios qui endommagent et gastent les bleds. Chap. XXI
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238 De la sagacité et grand flairement qu'ont les vers qui naissent és corps humains. Et que signifie quand ils rampent par la bouche et par le nez. Chap. XXII
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243 Le second livre des choses secrettes & questions naturelles, par Levin Lemne, medecin de Zirizee
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246 Que les humeurs, et non les malings espris, causent les maladies : mais bien que les espris aëreus s'entremeslent parmi celles humeurs, ainsi que parmi les tempestes. Chap. I
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259 Que les melancoliques, maniaques, phrenetiques, et qui par quelque autre cause sont espris de fureur, parlent quelquefois un langage estrange qu'ils n'ont iamais aprins, et toutefois ne sont point demoniacles. Chap. II
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293 De la violence et extreme passion de l'epilepsie : laquelle tant les anciens que modernes du menu peuple attribuent à certains saints. Et par quelle maniere on y peut obsister et la guerir... Chap. III
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275 Comment et pourquoy il se fait que les maladies sont longues et diuturnes, et que facilement elles ne s'en vont par medicamens. Aussi d’où procedent les fievres recidives, ... Chap. IIII
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282 De ceux qui tout endormis se levent de leur lict, et cheminent et grimpent par-dessus les toicts des maisons, et font plusieurs choses en dormant, que estans reveillez ils n'oseroyent aucunement entreprendre, ... Chap. V
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288 Que de ceux qui se sont noyez les corps morts des hommes flotent le ventre dessus, et ceux des femmes le ventre dessous : et si le polmon leur est osté ils demeurent en fons, et ne reviennent point sus l'eau. Chap. VI
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292 Que les corps des personnes noyees, quand sont tirez hors de l'eau, et sont produits en veuë comme aussi de ceux qui ont esté tuez de glaive, gettent de sang par le nez ou autre partie du corps, ... Chap. VII
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296 Du heaulme ou tenue et molle pellicule des petis enfans recentement naiz, de laquelle quand ils sortent du ventre de la mere, leur face apparoit couverte en maniere d'un masque. Chap. VIII
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300 Pourquoy en Flandres ceux qui sont d'un cerveau vacillant et peu arresté, sont dits hanter et frequenter parmi les febves : ce qu'ils disent vulgairement in die boonen. Chap. IX
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304 Que toute odeur forte et puante n'est nuisible à l'homme : mesmes qu'il y en a aucunes qui obvient aux maladies putrides, et en deschassent la contagion... Chap. X
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306 De l'excellence du doigt de la main gauche le plus prochain du petit : lequel le dernier de tous est atteint de goute, et quand il en est atteint bien tost après la mort ensuit... Chap. XI
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309 Qu'il y a certeines choses qui ne peuvent estre brulees ni endommagees par le feu ny flammes. Et par qu'elle raison cela se fait. Chap. XII
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312 Que la chaleur naturelle de l'homme est entretenue et augmentee par la chaleur d'aucuns petis animaus, et principalement des petis enfans, s'ils sont ioints à la partie debile du corps... Chap. XIII
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315 Pourquoy la verole n'est à present si mauvaise ne si violente que elle estoit au temps passé : et en quelles maladies elle degenere. Chap. XIIII
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318 Par quelle raison ceux qui viennent à mourir, encores qu'ils n'ayent perdu le sens et entendement, gettent une voix enrouee, et reciproquante, que vulgairement on appelle le ranquet. Chap. XV
319 Que la mort de l'homme et de toutes autres choses, est contre nature, et peu proprement dite naturelle. Toutefois qu'il nous faut estre d'un coeur si asseuré, que elle ne nous soit point formidable... Chap. XVI
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322 Les incommoditez qui procedent de l'yvrongnerie et quelles choses luy resistent et remedient. Chap. XVII
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326 Que l'intemperence du boire est plus dommageable que celle du manger. Chap. XVIII
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328 Que le vin enyvre par une autre force et en une autre maniere, et autrement dispose les personnes, que ne fait la biere, ne ce que nous appellons cervoise, ny toutes autres sortes de bruvages. Chap. XIX
329 Que les hommes grans et gros de corps sont quelquefois de plus courte vie que les hommes gresles, et moins courageusement resistent aux maladies... Chap. XX
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333 Que ceux qui desieunent de matin, pourveu que cela se fasse moderément, mangent de meilleur appetit au disner, et sont moins offensez du vin, encores qu'ils en boivent largement... Chap. XXI
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338 Que la noix muscade et le coral portez sus l'homme, deviennent meilleurs, mais si la femme les porte, ils s'empirent. Chap. XXII
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340 Que la plus-part de ceus sont steriles, ausquels la semence descoule d'elle mesme, et se poluent, et par quelle raison cela se fait. Chap. XXIII
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342 Que les corps croissent et s'alongissent és maladies, iaçoit qu'ils mangent moins : mais qu'ils se diminuent de grosseur. Chap. XXIIII
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345 A sçavoir-mon s'il est expedient d'inciser la vene avant ou apres avoir mangé. Et s'il est bon de s'endormir incontinent apres la saignee. Chap. XXV
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348 Que la phisionomie, c'est-à-dire la science de connoitre la nature et les moeurs d'une personne, par laquelle suyvant les marques et signals du corps, nous comprenons et iugeons à quoy les espris sont enclins, ... Chap. XXVI
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354 Assavoir-mon lequel est le plus sain, ou de dormir la bouche ouverte, ou la bouche close, et les levres serrees. Chap. XXVII
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356 Que les maudissons dont les peres et meres maudissent leurs enfans, viennent quelquefois à effait. Comme aussi les benedictions par lesquelles ils leur desirent tout bien et felicité, ... Chap. XXVIII
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358 Qui est la cause pourquoy, selon le commun proverbe, quasi nul par avoir esté malade, ou par avoir fait quelque lointain voyage, n'en devient pas meilleur, ny n'enemende pas plus sa vie. Chap. XXIX
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361 Quelle force et vertu ont les pierres et gemmes qui sont extraites de la terre et de la mer, ou des corps des animaus : et par quelle raison elles ont certeine vertu. Chap. XXX
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366 Des evenemens des songes, et iusques où on les doit observer, et leur adiouster foy. Chap. XXXI
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371 De l'an climacteric (c'est-à-dire qui va comme par degrez) septiéme et neuviéme : esquels les corps des hommes manifestement se changent, et ceux des vieilles gens principalement au troisiésme et sixiéme an... Chap. XXXII
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377 Par quelle raison et maniere un miroer represente les choses qui luy sont mises au devant. Et quel profit et commodité la nette polissure d'iceluy apporte à la veuë de ceux qui estudient,... Chap. XXXIII
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382 Quelle force et efficace a l'eau de vie, ou vin ardent, et à qui on peut donner à boire sans danger. Et incidemment d'aucunes grandes vertus et effaits admirables que a ladite eau. Chap. XXXIIII
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386 De la prodigieuse force et nature du vif argent, que les Flamens à cause de sa grande mobilité appellent quicksilver. Chap. XXXV
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389 Par quelle raison, en deffaut de sel, on peut contregarder la chair et autres viandes, de ne se pourrir point. Et incidemment de la merveilleuse force du sel et du vinaigre. Chap. XXXVI
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395 Que les femmes pales sont sans comparaison plus luxurieuses, et ont beaucoup plus grande envie d'estre embrassees des hommes, que celles qui sont rouges de visage : et les maigres plus que les grasses. Chap. XXXVII
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397 Assavoir-mon si quand l'on a soif, ou que l'on prent son repas à table, il est bon de boire à coup et à longs traits, ou de boire peu et à petites traites, et par certains intervales. Chap. XXXVIII
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401 Que toutes choses viennent promptement à maturité, et à leur parfaite grandeur, aussi soudain s'en vont en decadence, et ne durent longuement : ainsi que l'on voit en quelques enfans, et en certains genres de plantes. Chap. XXXIX
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404 Que les viandes sont quelquefois viciees et envenimees par l'attouchement d'aucuns petis bestions. Et mesmes que par aucunes ordures difuses és corps des hommes, ... Chap. XL
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409 De la force et nature du soleil et de la lune à causer et esmouvoir les tempestes, et qui apporte le changement de l'air et des vents aux corps et espris des hommes... Chap. XLI
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421 De la nature et des forces de la laitue, et à qui elle est bonne ou mauvaise. Chap. XLII
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423 De l'herbe hippolapathe, vulgairement dite pacience. Chap. XLIII
424 De l'efficace et vertu de la salive de l'homme. Chap. XLIIII
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426 Pourquoy il est bon ou mauvais de manger du laict et de la créme, et mesmement du premier laict qu'on tire de la beste incontinent après qu'elle est delivree de sa portee... Chap. XLV
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428 Pourquoy les podagres et gouteus sont fort enclins à la paillardise, comme aussi tous ceux qui couchent coustumierement sus le dos, et sur quelque couche dure. Chap. XLVI
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431 Assavoir-mon si l'on peut faire venir en avant les pustules de la petite verole qui vient aux enfans, et icelles guerir après qu'elles sont sorties, par le vin rouge, et par le lait de vache que les femmes ont accoustumé leur donner à boire. Chap. XLVII
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433 Que le vin et la cervoise viennent à se corrompre et se gaster par le tonnerre et par la foudre : et par quelles choses on obvie à cela, et les restitue l'on en leurs premieres forces. Chap. XLVIII
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436 Des presages de la tempeste à avenir, par manier l'eau de la mer. Et que pretendent les tonnerres qui se font en hyver. Chap. XLIX
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438 Que les petis enfans aiment ce qui est beau, et ont en horreur les vieilles laides et ridees. Et pour-autant qu'ils ne les faut point coucher avec de femmes vieilles, et moins encores à leurd pieds au contraire d'elles. Chap. L
439 Comment et pourquoy il se fait, que les ieunes gens, les femmes enseintes, le prestres, et ceux qui vivent solitairement, et les mechaniques artisans, sont volontiers tous les premiers surprins de peste, ou autre maladie contagieuse. Chap. LI
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441 Divers enseignemens de Nature, avec un plaisant recueil de plusieurs choses diverses et estranges : lesquelles pource que mon intention est de les traiter brievement et succinctement, ... Chap. LII
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[sans numérotation] Indice des matieres contenues au present traicté
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