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1 [Page de titre]
2 Ordre de tout l'oeuure. Oultre la premiere & seconde partie des Erreurs populaires, y est
3 A tres haute, tres excellente et studieuse Princesse, Marguerite de France, tres illustre Royne de Nauarre, fille, soeur, & femme de Roy, Laurent Ioubert, son tres humble & tres affectionné seruiteur Salut
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11 Diuision de la premiere partie en ses Liures & Chapitres. De la Medecine & des Medecins. Liure I
12 De la Conception & Generation. Liure deuxième
13 De la Groisse. Liure III / De l'Enfantement & Gesine. Liure quatrième
14 Diu laict, & de la nourriture des enfans. Liure cinquième
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16 A Monsieur Ioubert sur son oeuure des Erreurs populaires. Sonnet
1 Premier liure des la premiere parties des Erreurs populaires, touchant la Medecine & les Medecins. Chapitre premier. Excellence de l'art de Medecine, par dessus tous les arts humains
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8 S'il est possible par la Medecine allonger la vie des hommes. Chap. II
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16 Contre ceux qui ont opinion, que les Medecins prolongent les maux, & ne font qu'abuser le monde. Chap. III
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23 Que ce n'est peché, ou mal fait d'appeller des Medecins, & user de leurs remedes quand on est malade. Chap. IIII
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25 De l'ingratitude des malades enuers les Medecins. Chap. V
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29 Que le vulgaire n'estime rien si on ne guerit contre son opinion: que les derniers remedes ont tout l'honneur: & heureux le Medecin, qui vient à la declination du mal. Chap. VI
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33 Contre ceux qui iugent de la suffisance des Medecins par le succez, qui est souuent deu à l'heur, plus qu'au sçauoir. Chap. VII
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35 Contre ceux ausquels tout est suspect, & calomnient les Medecins, de la plus part des accidents qui suruiennent és maladies. Chap. VIII
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39 Qu'il y a plus de Medecins, que d'autre sorte de gens. Chap. IX
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41 Que ce n'est le profit des malades, d'auoir plusieurs Medecins d'ordinaire: mais qu'un Medecin y doit estre fort assidu. Chap. X
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45 Contre ceux qui se plaignent de la courte visitation de quelque Medecins. Chap. XI
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49 De combien sert la confiance du malade au Medecin. Chap. XII
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51 Contre ceux qui veulent des Medecins, & ne font ce qu'ils ordonnent. Chap. XIII
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53 De ceux qui en leurs maux ne veulent aucun Medecin ou remede, sinon contre les douleurs. Chap. XIIII
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55 Que les suiets à maladies, sont suiets à la Medecine: les autres non. Chap. XV
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57 Que ceux qui sçauent quelque peu la Medecine, sont plus mal aupres malades, que ceux qui ne sçauent rien du tout. Chap. XVI
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59 Second Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Conception & generation. Si une femme peut conceuoir sans auoir eu les fleurs. Chapitre premier
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63 S'il est possible qu'une fille conçoiue à neuf ou à dix ans. Chap. II
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68 Sçauoir mon si les taches rouges que les enfans portent de leur naissance sont de la conception. Et s'il est possible, qu'une femme conçoiue, durant qu'elle a ses fleurs. Chap. III
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70 Pourquoy est-ce que la femme conceuant à la fin de ses fleurs, ou tost apres, volontiers deuient grosse d'un fils: & celle que sur le retours, d'une fille. Chap. IIII
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73 Contre ceux qui conseillent de cognoistre la femme durant ses fleurs, pour ne saillir de l'engroisser. Chap. V
74 Contre ceux qui ne cessent d'embrasser pour auoir des enfans: & les autres qui le font peu souuent, afin d'en auoir moins. Chap. VI
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76 Qu'il ne faut cognoistre la femme auant dormir & que pource les trauailleurs sont moins goutteux, & ont plus d'enfans. Chap. VII
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79 Comment se doit entendre, qu'une heure plus tost, ou plus tard, fait qu'on engendre fils ou fille. Chap. VIII
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82 S'il est vray qu'un homme vieux ne puisse engendrer des fils. Chap. IX
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85 Pourquoy dit-on, que l'homme peut engendrer, tant qu'il peut leuer un quarton de son, & s'il est vray, que ceux qui ont les yeux enfoncez ont esté engendrez d'un vieillard. Chap. X
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89 Abus des femmes qui se baignent toutes pour engrosser: & de celles qui auec cinq cens diuers remedes n'y peuuent aduenir. Chap. XI
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92 Sçauoir-mon, si un ladre confirmé, ou un verolé, peut engendrer des enfans sains. Chap. XII
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95 Troisieme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant la Groisse. Comme se peut faire, que d'une ventre de la femme porte neuf enfans. Chapitre premier
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107 Si une femme peut porter plus de neuf mois, & comment il faut entendre le terme de la Groisse. Chap. II
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121 Qu'il n'est possible de cognoistre par les urines si une femme est grosse: & quels sont les vrais signes de la groisse. Chap. III
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126 S'il y a certaine cognoissance, que le fruict soit masle ou femelle, & qu'il n'y en ait qu'un ou deux. Chap. IIII
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128 Que c'est un grand abus, de mespriser les maux qui viennent à raison de la Groisse. Chap. V
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133 Pourquoy dit on, que qui refuse quelque chose à une femme grosse, un orgeol luy naist en l'oeil. Chap. VI
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136 Pourquoy conseille on & la femme grosse de mettre la main à son derriere, si elle ne put soudain estre satisfaite de son appetit. Chap. VII
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139 Des femmes qui mangent à force codignac durant leur grossesse, pour faire que l'enfant ait bon esprit: & des raisins de panse, à ce qu'ils ayent meilleure veuë. Chap. VIII
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142 S'il est vray que le premier morceau que mange la femme enceinte, va à son enfant. Chap. IX
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145 Quatrieme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant l'Enfantement & la Gessine. Que l'oz Bertrand ne s'ouure point pour donner passage à l'enfant. Chapitre premier
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149 S'il est bon de faire asseoir la femme sur le cul d'un chauderon chaud, ou de luy mettre sur le ventre le bonnet de son mary, pour auoir meilleure deliurance, & quels sont les meilleurs moyens de accoucher. Chap. II
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152 Que les matrones faillent grandement, de n'appeler Medecins à l'enfantement: & que mesmes les sages-femmes doiuent estre enseignees des Medecins. Chap. III
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154 De faire bonne mesure aux garçons, & non aux filles: & comment il faut gouuerner la vedille, & si celle des filles sert à leur faire des amoureux. Chap. IIII
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157 S'il est vray qu'on puisse cognoistre aux noeuds des cordes de l'arriere-faix, combien d'enfans aura la femme qui accouche. Chap. V
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160 Des enfans qui naissent vestus, s'ils sont plus heureux que les autres: & si leur chemise preserue de danger ceux qui en portent. Chap. VI
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162 Des Harpies qu'on dit voler, & s'attacher aux courtines. Chap. VII
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166 S'il est vray que la femme accouchant en pleine Lune fera depuis un fils, & si en nouuelle, une fille. Chap. VIII
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168 De l'huile d'amandres douces, auec du succre candi, qu'aucunes femmes boiuent dés aussi tost qu'elles ont enfanté, & de la nourriture qu'on leur donne mal à propos. Chap. IX
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172 Qu'on nourrit trop les accouchees, disant que la matrice est vuide, & qu'il la faut remplir. Chap. X
173 S'il est vray qu'une accouchee puisse pisser le laict. Chap. XI
174 Pourquoy est-ce que du premier enfant communément on a moins de tranchees. Chap. XII
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176 Cinquieme Liure de la premiere partie des Erreurs populaires touchant le laict & la nourriture des enfans. Exhortation à toutes meres, de nourrit leurs enfans. Chapitre premier
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190 Quand est bon le laict d'une accouchee, combien d'heures doit estre l'enfant sans tetter, & qu'est-ce qu'on luy doit donner premierement. Chap. II
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193 Qu'un'pucelle peut auoir du laict en quantité notable. Chap. III
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198 S'il y a certaine cognoissance du pucellage d'une fille. Chap. IIII
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216 D'où vient le consentement des mammelles, & de la matrice, qu'on voit si euident. Chap. V
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220 Pourquoy est-ce que le laict de celle qui a fait un fils, est meilleur à nourrir une fille, & au contraire. Chap. VI
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225 Superstitieuse & fausse opinion des femmes, qui croyent les mammelles tarir, à celles de qui on chauffe le laict. Chap. VII
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231 Qu'il ne faut endurcir les tetins, pour euiter les tendrieres. Chap. VIII
232 De muer l'enfant à toute heure qu'il est ord, & s'il doit auoir certaines heures à tetter. Chap. IX
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239 Contre ceux qui trouuent bon que les enfans crient & pleurent. Chap. X
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241 Qui doit plus longuement tetter, un fils ou une fille: & combien le chacun. Chap. XI
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[sans numérotation] Au Lecteur d'esprit libre et studieux
[sans numérotation]
[sans numérotation] Diuision de toute l'oeuure en six parties, contenant trente Liures
[sans numérotation] Diuision de la seconde parties en ses Liures & Chapitres. De la complexion & coustume. Liure sixième / De l'air & des vestemens. Liure 7
[sans numérotation] De l'appetit & de la soif. Liure 8 / Des repas, & de l'embon-point. Liure 9
[sans numérotation] De la digestion. Liure 10 / Diuision de la troisieme partie en ses Liures & Chapitres. Du manger & des viandes. Liure onzième
[sans numérotation] De l'apprest & ordre en l'usage des viandes. Liure 12
[sans numérotation] Des fruicts & salades particulierement. Liure 13 / Du boire. Liure 14
[sans numérotation] Traicté du vin. Liure 15 / Diuision de la quatrieme partie en ses Liures & Chapitres. Du coucher & dormir. Liure 16
[sans numérotation] Des causes de maladie. Liure 17
[sans numérotation] Des maladies. Liure 18 / Des iugements és maladies. Liure 19 / Des viures en maladie. Liure 20
[sans numérotation] Diuision de la cinquieme partie en ses Liures & Chapitres. De la curation des maladies. Liure 21 / Des abus és remedes. Liure 22
[sans numérotation] Des mauuaises cures, & remedes extrauagans. Liure 23 / Des remedes superstitieux & vains. Liure 24
[sans numérotation] Des bons & vrais remedes. Liure 25 / Diuision de la sixieme partie en ses Liures & Chapitres. Des euacuations communes. Liure 26 / Des purgations ou medecines. Liure 27
[sans numérotation] Regime de ceux que lon purge. Liure 28 / De la saignee. Liure 29
[sans numérotation] De la mort. Liure 30 / Advertissement