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Livre de compte
de l'apothicaire
Simonnet
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| Livre de compte de l'apothicaire Simonnet |
BIU Santé Pharmacie. Cote : Registre 79, pièce 12
(Tous droits réservés) |
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Selon Simonnet, Parmentier a l'étoffe d'un excellent pharmacien. Il ne doute pas de sa réussite. Mais pour ouvrir une officine, il faut beaucoup d'argent... et le Picard n'en a
pas ! Il lui faut donc trouver une autre voie pour entrer dans la profession. Par exemple : s'enrôler dans l'armée qui manque cruellement d'apothicaires pour mener ses nouvelles guerres...
La guerre de Sept Ans va lui donner sa chance. |
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Parmentier se décide en février 1757. Convoqué à l'Hôtel royal des Invalides, il répond brillamment aux questions d'un examinateur, Louis-Claude Cadet de Gassicourt. Il en ressort
avec une affectation à l'armée de Hanovre en qualité de pharmacien de 3 ème classe. |
| Louis-Claude Cadet de Gassicourt (1731-1799) |
CHP-CNOP. Cote : INV 1967 1.1994
(Tous droits réservés) |
| Au moment où Louis-Claude Cadet de Gassicourt (1731-1799) rencontre Parmentier, celui-ci occupe la charge de pharmacien en chef des armées en Allemagne
et au Portugal. A Paris, il exerce également les fonctions d’apothicaire-major à l’Hôtel des Invalides et de commissaire du roi pour la chimie près la manufacture de porcelaine
de Sèvres. Louis-Claude Cadet de Gassicourt est le fils du chirurgien Claude Cadet (1695-1745) et le frère aîné d’Antoine Cadet de Vaux (1743-1828). Si les noms varient
d’un Cadet à l’autre, c’est que les membres de cette nombreuse famille, ont choisi d’ajouter à leur patronyme le nom du lieu où ils furent placés en nourrice. C’est ainsi
qu’il y eut Jean-Baptiste Cadet de Senneville (ou Saineville), Louis-Claude Cadet de Gassicourt, Jean Cadet de Limay, Charles-Edme Cadet de Chambine, Pierre Cadet de Fontenay
et Antoine-Alexis Cadet de Vaux. |
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Louis-Claude Cadet
de Gassicourt
(1731-1799)
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