« il a pâti de la médecine qu’il s’est fait administrer par quelques médecins auliques qui professent un art qu’ils n’ont jamais compris : ainsi meurent les grands seigneurs ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 27 mars 1657, note 1.