Charles Guillemeau apostrophait Siméon Courtaud, qu’il tenait à juste titre pour le parrain, sinon l’auteur, de la Seconde Apologie (v. supra note [6]).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Les deux Vies latines de Jean Héroard, premier médecin de Louis xiii, note 20.