À Charles Spon, le 3 septembre 1649
Note [22]
« tant à cause de l’auteur, mon ami le plus doux, qu’à cause du savoir varié et de l’érudition étendue qui y séduiront de toutes parts ».
Le Jugement de tout ce qui a été imprimé… est présenté sous la forme d’un dialogue entre le libraire Saint-Ange, d’Aix-en-Provence, et l’imprimeur Mascurat, de Paris.