« en conséquence de la funeste santé de l’Éminentissime. » Le monde commençait à croire à la mort prochaine de Mazarin, mais elle ne survint que le 9 mars 1661, après qu’il eut établi la paix en Europe.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 29 mars 1658, note 3.