« Dieu fasse qu’elle chemine heureusement ! » Ce vœu ne fut pas entièrement accompli : la lettre parvint bien à Charles Spon, mais seulement le 3 avril, en raison des troubles.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 19 février 1649, note 5.