[Ms BIU Santé no 2007, fo 51 vo | LAT | IMG]
À M. M. Hoffmann, docteur en médecine et professeur à Altdorf,
le 5e de mars 1655.
Très distingué Monsieur, [a][1]
Je vous remercie beaucoup pour votre singulière bienveillance à mon égard, vous dont je fais grand cas, tant pour votre érudition hors du commun que pour notre commun métier ; et même parce que, par votre propre nom de famille, vous m’avez fait revivre le souvenir de M. Caspar Hofmann, [2] jadis excellent homme et notre ami, que j’ai honoré comme une très grande étoile, et honorerai toujours. J’ai reçu votre thèse de Motu spiritus animalis, je n’ai pas encore pu la lire, [1][3]