L. latine 419.  >
À Johann Rudolf Dinckel,
le 1er février 1667

[Ms BIU Santé no 2007, fo 213 ro | LAT | IMG]

Au très distingué M. Johann Dinckel, docteur en médecine, à Strasbourg.

Très distingué Monsieur, [a][1]

Je vous écris ce peu de mots par l’intermédiaire d’un gentilhomme allemand, étudiant en médecine, qui s’en retourne dans votre pays. Je vous ai envoyé, il y a un mois, quatre exemplaires de l’Hortus regius de M. Joncquet, [2][3] pour vous, pour MM. les deux Sebizius [4][5] et pour M. Valiser, francs de port[1] c’est-à-dire en ayant réglé la voiture ; je ne doute pas qu’ils vous aient été remis. Je n’ai rien d’autre à vous écrire aujourd’hui ; je vous donnerai pourtant d’autres nouvelles, après la fin de cet hiver très froid, et peut-être seront-elles meilleures. En attendant, souffrez, je vous prie, de saluer les très distingués MM. Sebizius, M. Boeckler, [6] etc. Quant à vous, vive, vale, et aimez-moi. [2]

De Paris, le 1er février 1667.

Vôtre de tout cœur, G.P.



Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Rudolf Dinckel, le 1er février 1667

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(Consulté le 19/04/2024)

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