Agrégé au Collège des médecins de Lyon, conseiller médecin du roi, souvent mentionné, jusqu’à sa mort en décembre 1660, dans a correspondance de Guy Patin avec Charles Spon et André Falconet, ses collègues lyonnais. On trouve notamment Pierre Guillemin [1] au chevet de Madame Royale à Turin, avec une lettre qu’il a écrite à Patin sur ce sujet le 14 août 1657. Patin l’a quelquefois appelé « de La Guilleminière ».