Conclusion de cette œuvre [a][1]
Voilà ce que j’ai eu dessein de dire et proposer brièvement de la conservation de la santé par un légitime usage des six choses non naturelles, [2] laquelle est un trésor préférable à tout autre, tout ainsi que quand elle est déchue ou incommodée, il n’y a rien de plus malheureux et de plus laborieux. Vivons donc, ami lecteur, medice et modice, c’est-à-dire selon les règles de médecine et avec modération, afin que nous vivions longuement et sainement, puisque, selon le docte et incomparable Fernel, quiconque mettra la tempérance et la continence pour fondement de sa vie et de sa santé, ne sera jamais affligé d’aucune incommodité. [1][3]
Aux charlatans [4]
Bonnes gens qui ne pouvez vivre
Sans piper et charlataner,
Ne regardez dedans ce livre,
Que pour vous y voir condamnés.
Fin
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