L. latine 254.  >
À Johannes Antonides Vander Linden,
le 9 août 1663

[Ms BIU Santé no 2007, fo 149 vo | LAT | IMG]

Au très distingué M. Johannes Antonides Vander Linden, docteur en médecine, à Leyde.

Très distingué Monsieur, [a][1]

J’ai reçu votre dernière par notre ami Lalouëtte, [2] avec une autre pour Pierre Petit que je lui ai immédiatement fait suivre. [3] J’attends chaque jour votre très cher fils ; [4] dès qu’il sera ici, je lui remettrai celle que vous m’avez envoyée pour lui, avec celle que vous aviez adressée à son oncle. [1] À de multiples titres, il me sera plus qu’éminemment recommandé. Mais le chagrin de M. Vorst me peine sincèrement et profondément ; [5] j’aurais souhaité que cela ne fût jamais arrivé. Ille quodammodo moritur qui suos amittit[2][6][7] Puisse Dieu consoler ce très éminent personnage d’une si grande perte. Je le salue de tout cœur, avec M. Stevartus ; [8] je reconnais être grandement débiteur à son égard depuis longtemps, mais ignore pourquoi il est resté si longtemps silencieux. J’espère que M. Rompf est rentré chez vous d’Angleterre sain et sauf. [9] J’ai confié hier à M. Rivet, le marchand, un paquet qu’un sien frère, négociant à Leyde, doit vous apporter ; vous y trouverez des courriers que je remets à votre confiance et à votre amour pour moi, afin qu’ils parviennent à leurs destinataires. Je vous enverrai autre chose avant l’hiver, en particulier l’Hollierus, in‑fo[10] avec le Fienus de Signis morborum[3][11][12] M. Le Rebours n’est pas encore revenu en cette ville ; [13] on dit qu’il séjourne à La Haye chez l’ambassadeur français. [14] Mes fils vous saluent et vous offrent tous leurs services. [15][16] Nos armées se préparent pour attaquer le pape. [17] Le Turc menace de destruction Venise et l’Italie tout entière ; [18][19] mais pour autant, le pape ne s’écroulera pas et ne sera pas renversé, pourvu que lui reste ce fourneau du purgatoire qui procure des avantages à tant de gens προς τα αλφιτα. [4][20][21][22] La reine mère ne va pas encore bien, [23] elle se languit de sa maladie qui la terrasse et de l’émétique d’antimoine qu’elle a pris, [24][25] ennemi de tous les viscères, en particulier de l’estomac et du foie. Un magistrat de Dijon, qui se nomme M. Lantin, [26] a tout prêt à être publié un livre manuscrit de Claude Saumaise, [27] de Manna et le saccharo ; [28][29] le fils de l’auteur l’a confié à ses soins ; [30] j’ai cherché un libraire propre à cela, et l’ai trouvé ; il s’attelle à le faire paraître le mois prochain, in‑8o[5] Le moment venu, je vous en enverrai quelques exemplaires, ainsi qu’à d’autres amis. Tandis que je vous écris cela, voici que votre fils très chéri entre dans mon étude avec notre ami Rompf ; je l’ai salué avec très grand plaisir et profonde joie ; après avoir un peu conversé, je lui ai remis votre livre destiné à M. Le Vasseur, [31][32] qu’ils vont aller voir et à qui ils le donneront ; ils reviendront me voir demain et je leur délivrerai l’argent que j’ai ici chez moi depuis quelques mois, destiné à remplir leurs besoins. [6] On parle ici de bataillons de soldats que notre roi envoie en Lorraine. [33] Est-ce contre le duc Charles, [34] est-ce vers Strasbourg, ou en Allemagne ? On ne le sait encore, c’est un secret politique, et de très grande importance, dont les curieux s’enquièrent en vain, car ils n’en obtiendront rien ; le temps nous en apprendra l’issue. Sur ordre de notre roi, le vice-légat d’Avignon a été renvoyé à Rome, et tout ce Comtat est entré en notre possession. [7][35][36][37] Voilà pour le pape, mais rien de nouveau jusqu’ici sur Fouquet, [38] et les autres vauriens et voleurs publics. Depuis hier matin, nous avons ici le livre du très distingué M. Samuel Bochart de Animantibus sacræ Scripturæ[39] tout récemment apporté d’Angleterre ; vers la fin de septembre, nous devrions avoir le Diogenes Laertius [40] commenté par divers auteurs, et en particulier par M. Ménage. [8][41] Vale, très distingué Monsieur, et aimez-moi.

De Paris, le 9e d’août 1663.

Vôtre de tout cœur, Guy Patin.


a.

Brouillon autographe d’une lettre que Guy Patin a écrite à Johannes Antonides Vander Linden, ms BIU Santé no 2007, fo 149 vo.

1.

V. note [1], lettre latine 192, pour M. de Lalouëtte, marchand parisien lettré qui voyageait en Hollande, à qui son ami Guy Patin donnait ici le nom latin d’Alauda.

Hendrik Vander Linden venait étudier la médecine à Paris. La mort de son père, le 5 mars 1664, allait le faire rentrer précipitamment en Hollande. Je n’ai pas identifié l’oncle qu’il avait à Paris.

2.

Homo toties moritur, quoties amittit suos [L’homme meurt chaque fois qu’il perd un des siens] (Publilius Syrus, v. note [9], lettre 511).

Adolf Vorst allait mourir le 8 octobre 1663 (18 octobre grégorien). Son Oratio funebris [Oraison funèbre] (Leyde, 1664, v. note [5], lettre latine 263), prononcée par Johannes Antonides Vander Linden, procure de précieux renseignements sur les derniers mois de son existence, et les souffrances personnelles et familiales qui les ont tourmentés (pages 37‑39) :

Extremis annis insomnia eum, et calculus, et arthritici subinde dolores inceperunt moleste habere. Nuper autem maceratus diuturno filiæ morbo ac mœrore, quem tamen fortiter comprimebat et dissimulabat, fastidire omnem cibum cœpit, neque fere quidquam, quantumvis olim placitum et suave, admittere præter potum, quem et pene unicum aliquot septimanis habuit sui corporis tum solatium adversus urgentissimam sitim aridamque linguam, tum sustentaculum virium paulatim defetiscentium. Quæ mala, quod inde ab initio valetudinis essent sine febre (ut retulit mihi Vir experientissimus et in medendo felicissimus, D. Daniel de Dieu, familiaris Defuncto medicus) nihil τω μακαριτη boni præsagiebant : quippe lingua (si hoc interponere ex Dictatore nostro licet) quæ initiis morborum rigidiuscula est, sed in colore manet, labentibus inde diebus exasperatur et livescit finditurque, mortifera. Ad quæ accessit anni tempestas varia et a seipsa prorsus mutata, et senibus inprimis incommoda. Ita inter focum et lectum se fortiter sustinentem, et sua amicorum visitationibus tædia minuentem invasit novissimis diebus febricula, maligni et clandestina uredine corrupti humoris effervescentia. Tum lingua nigra, et lecto noster in totum affigi.

Intervenerat aliquod serenum, quo etiam in publico visus est, feceratque spem, eum discrimen evasisse. At aliter visum Deo creatori ejus et fidelissimo Patri, cui vivimus, cui morimur, quotquot pie et vivere et mori studemus. Huic ergo cum placuit eum ex hoc ergastulo et vanitatis scena in tranquillam piarum mentium sedem transferre, facile istud serenum disparuit. Igitur sexto hujus mensis die, quum pridie ad eum invisissem et valentis instar accinctum reperissem, lecto affixus mansit.

Ita viribus, præsertim ex ischuriæ, quæ supervenerat, cruciatu in horas decrescentibus, et coercita loquendi facultate, tertio die, antequam quartus orientur Sol, animam Deo reddidit ; visitatus interim a Collegis et amicis, quorum sermones de spe et desiderio Chistianorum, de æterna felicitate, de vera justitia, de filii Dei beneficiiis, quibus se pius animus in ipsa morte solatur, avide excepit et, quantum infirmitas sinebat, assensu et confessione prosecutus est. Mihi quoque, horis admodum ante excessum novem, supremi Vale vicem ei dicenti, D. Jesus tibi sit ad dexteram et salutare animæ tuæ, annuit propense.

[Dans les dernières années de sa vie, une insomnie et un calcul urinaire entreprirent de le tourmenter, bientôt suivis de douleurs goutteuses. Récemment miné par la longue maladie de sa fille {a} et par un chagrin qu’il réprimait et dissimulait cependant courageusement, il commença à se dégoûter de tout aliment. Bien qu’il y eût jadis trouvé grand plaisir et agrément à manger, il n’absorba presque plus que des boissons. Pendant quelques semaines, elles furent à peu près tout ce qu’il consomma, tant pour soulager son corps d’une soif très pressante avec sécheresse de la langue, que pour soutenir ses forces qui déclinaient peu à peu. Quoique ces maux ne s’accompagnassent pas de fièvre (comme me l’a confié son médecin de famille, M. Daniel de Dieu, très exéprimenté et habile en l’art de remédier), ils ne présageaient en rien d’une heureuse issue. Sa langue (si notre Maître m’autorise à insérer ce détail) n’était qu’un peu raide au début de la maladie et conservait sa couleur, mais elle se racornit, se fissura et se plomba au fil des jours, annonçant une mort prochaine. {b} À quoi s’ajouta le temps variable de cette période de l’année, dont les caprices nuisent particulièrement aux vieillards. {c} Tandis qu’on le soutenait solidement pour qu’il allât du lit au coin de sa cheminée et qu’il restreignait les fatigues occasionnées par les visites de ses amis, survint une fébricule au cours des tout derniers jours, avec une maligne et sourde démangeaison, exprimant l’effervescence d’une humeur corrompue. La langue devint alors noire et notre ami fut cloué au lit.

Quelque embellie se fit jour, qui lui permit même de se montrer en public et nourrit l’espoir qu’il s’en sortirait ; mais Dieu, son créateur et son très fidèle Père en décida autrement, Lui à qui nous devons de vivre et de mourir, quelque effort que nous ayons fait pour vivre et mourir pieusement. Cette douce accalmie disparut donc car il Lui plut de transporter Vorst de la prison et du théâtre des vanités dans le séjour tranquille des âmes pieuses. Cela fit qu’à partir du sixième jour de ce mois, {d} il demeura au lit, alors que je lui avais rendu visite la veille et l’avais trouvé aussi dispos qu’un homme en belle santé.

Ses forces diminuèrent d’heure en heure, principalement en raison de la torture engendrée par l’ischurie qui s’était installée ; {e} en sorte qu’il rendit son âme à Dieu deux jours plus tard, quatre heures avant le lever du Soleil, après avoir perdu la faculté de parler. Entre-temps, Collègues et amis étaient venus le voir, dont il reçut avec avidité les discours sur l’espérance et le souhait des chrétiens, sur la félicité éternelle, sur la véritable justice, sur les bienfaits du fils de Dieu, dont cette pieuse âme fut réconfortée à l’approche de son trépas ; et dans toute la mesure où sa faiblesse le lui permettait, il les a accompagnées de son approbation et de la profession de sa foi. Seulement neuf heures avant son décès, je vins moi aussi pour un dernier adieu, il marqua son approbation d’un signe de la tête quand je lui dis que le Seigneur Jésus viendrait à son aide et assurerait le salut de son âme].


  1. Du mariage d’Adolf Vorst avec Catharina vander Meulen, en 1626, étaient nés un fils unique, Eberhard, et quatre filles. Sans donner son prénom, Vander Linden signale (page 31) la mort par phtisie (tuberculose) de la troisième, peu avant celle de son père.

  2. L’italique cite les propos du « maître » (traduction qui m’a paru la meilleure du mot latin Dictator), c’est-à-dire du médecin Daniel de Dieu, l’un des onze enfants de Louis de Dieu, pasteur de Leyde, dont la famille était originaire de Bruxelles (Bayle).

    Sa description de la langue du malade marque un état de déshydratation profonde : une « langue de perroquet » dans le jargon médical expressif.

  3. Référence hippocratique aux méfaits de l’automne. Né le 23 novembre 1597 (3 décembre grégorien), Vorst approchait de son 66e anniversaire.

  4. Le 16 octobre 1663 dans le calendrier grégorien.

  5. V. note [10], lettre 209 pour l’ischurie (ou anurie). Tous ces signes permettent de penser que Vorst succomba à une insuffisance rénale terminale (maladie richement décrite et expliquée dans la lettre de Jan van Beverwijk datée du 30 juillet 1640, v. ses notes [21][30]), qui était probablement liée à une lithiase urinaire, et compliquée de déshydratation aiguë et de surinfection. Le prurit est un signe fréquent de la défaillance rénale.

3.

V. notes [14], lettre 738, pour la réédition (Paris, 1664), dédiée à Guy Patin, de Jacques Houllier « sur les Maladies internes », et [2], lettre 776, pour le livre de « Fienus (Thomas Feyens) sur les Signes des maladies » (Sémiotique, Lyon, 1663).

4.

« pour leur subsistance », expression inspirée de l’adage no 1516 d’Érasme, Ne verba pro farina [De la farine, pas des mots !] :

Veteres quicquid ad victum pertineret, αλφιτα vocabant. […] De proverbio Aristophanico Ουδεν προς τα αλφιτα.

[Les anciens appelaient farine tout ce qui concernait notre subsistance. (…) On a parlé ailleurs du proverbe d’Aristophane Ça ne sert à rien pour la farine]. {a}


  1. Adage no 2531, Quid ad farinas ? [À quoi bon pour la farine ?] : « Cela s’applique bien aux arts stériles, comme la poésie, qui ουδεν προς τα αλφιτα [ne servent à rien pour le pain quotidien], ce qu’on dit communément du fait de gagner son pain, expression plus connue que savante. »

Gallican jusqu’à épouser les idées de la Réforme, Guy Patin prenait ombrage des indulgences que vendait Rome aux catholiques (v. note [7], lettre 31) : en prétendant raccourcir le séjour des âmes impures au purgatoire (v. note [28], lettre 79), elles assuraient d’inépuisables revenus à la papauté et garantissaient sa survie, quelles que fussent les circonstances (ici la menace ottomane).

5.

V. notes [16], lettre 95, pour l’essai de Claude i Saumaise « sur la Manne et le sucre » (Paris, 1663), et [14], lettre latine 170, pour la contribution de Jean-Baptiste Lantin et de Claude ii Saumaise, sieur de Saint-Loup, à sa parution. Guy Patin dévoilait ici la sienne, en convainquant le libraire parisien Charles Du Mesnil d’imprimer cet ouvrage.

6.

V. notes :

7.

V. notes [9], lettre 735, pour l’annexion d’Avignon par la France (23 juillet 1663), et [4], lettre latine 241, pour les laborieux pourparlers entre Rome et Paris, où le pape était représenté par son légat, Cesare Maria Antonio Rasponi (v. note [6], lettre 750) ; elles aboutirent au traité de Pise en février 1664.

8.

V. note [14], lettre 585, pour le livre de Samuel Bochart « sur les Animaux de la Sainte Écriture » (Hierozoïcon, Londres, 1663), et [17], lettre 750, pour le « Diogène Laërce » commenté par de savants auteurs (ibid. 1664).

s.

Ms BIU Santé no 2007, fo 149 vo.

Cl. Viro D. Io. Ant. Vander Linden, Medicinæ Doctori, Leidam.

Postremam tuam accepi, Vir Cl. per Alaudam nostrum, cum altera pro Petro
Petito
, quam ad eum illico misi. Quotidie expecto carissimum Filium tuum, cui
statim atque venerit, tuam illam reddam quam misisti : cum ea quam ejus avun-
culo destinaras. Erit ille mihi plusquam commendatissimus, multiplici nomine. Sed
seriò et fortiter doleo de luctu D. Vorstij : quod utinam numquam contigisset. Ille
quodammodo moritur qui suos amittit.
Pro tanta jactura utinam Deus Viro Cl.
solatium ferat : quem ex animo saluto, cum D. Stevarto, cui jamdudum me plurima
debere fateor : sed unde sileat tamdiu, nescio. Utinam D. Romphius ad vos ex
Anglia sanus et incolumis revertatur. Heri fasciculum tradidi D. Rivet, mer-
catori, Tibi reddendum Leidæ per fratrem quem illic habet negotiantem : quæ
illic inclusa reperies, fidei tuæ commendo, et amori in me tuo committo, ut ijs reddantur
quibus sunt destinata. Ante hyemem aliud mittam, et præsertim Hollerium, in
fol. cum Fieno de signis morborum. Dominus Le Rebours nondum reversus est in hanc
Urbem : dicitur hærere Hagæ Comitis apud Legatum Gallicum. Filij mei Te salut[ant]
cum amplissima gratiarum actione. Legiones nostræ armatæ incedunt adversus Papam
destinatæ. Turca perniciem minatur Venetis, et toti Italiæ : nec ideo Papa concidet,
aut prosternetur, modò sibi remaneat Purgatoria illa ustrina, quæ tot illis com-
moditates attulit προς τα αλφιτα. Regina Parens nondum bene habet, imò lan-
guet adhuc, ex prægresso morbo, et assumpto suo stibiali emetico, omnibus viscer[ib.]
inimico, præsertim ventriculo et hepati. Senator quidam Divionensis, dictus D.
Lantin,
habet paratum ad editionem librum MS. Cl. Salmasij, qui est
de Manna et Saccharo, ab Authoris filio sibi curæ suæ commissum : idoneum
Bibliopolam ad hoc quæsivit, et nactus est : qui se accingit ad ejus editionem in 8.
mense proximo. Tibi et alijs Amicis tum temporis mittam aliquot exemplaria : de
quibus dum scribo, ecce Filius tuus dilectissimus cum Romphio nostro, qui Musæum
meum ingreditur : cum gaudio summo plenáq. lætitia eum salutavi : post
aliquot sermones tradidi illi librum tuum destinatum D. le Vasseur : quem sunt
adituri, eiq. tradituri : cras sunt ad me reversuri, et pecuniam accepturi, quam
ejus usib. destinatam hîc apud me habeo ab aliquot mensibus. Hîc agitur
de turmis quibusdam militaribus quas Rex noster mittit in Lotharingiam : an
contra Ducem Carolum ? an circa Argentinam ? an in Germaniam ? nondum
scitur : mysterium est politicum, et ilud maximum : in quod frustra in-
quirant curiosi : neq. enim ideo assequentur : eventus docebit cum tempore. Regis
nostri jussu Avenionensis Vice Legatus Romam relegatus est, et totus ille
Comitatus noster factus est : De Papa : de Fuqueto, et alijs nebulonibus
atque furibus publicis, nihil adhuc novi. Hîc habemus ab hesterna luce, librum
Cl. viri D. Sam. Bocharti, de Animantib. sacræ Scripturæ : ex Anglia recens
allatum : sub finem Sept. habituri sumus Diogenem Laertium variorum ; et
præsertim D. Menagij. Vale, Vir Cl. et me ama. Parisijs, 9. Augusti, 1663.

Tuus ex animo, Guido Patin.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 août 1663

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1287

(Consulté le 20/04/2024)

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