« ni en parole, ni en écrit, de blesser quiconque, et surtout pas l’homme le plus érudit et le plus aimable, dont je vénère et admire la doctrine [Fernel]. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 28 octobre 1631, note 5.